Partie 25

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Deux jours plus tard, un événement se prépare dans la ville d'Agra et tous les habitants sont concernés. Le soleil est à son zénith, les commerçants d'autres provinces vinrent mettre leur produits importés en vente. Toutes les cultures sont mises en priorité pour époustoufler les potentiels intéressées.

La capitale est bondée de monde, et des intrus se sont infiltrées sans aucunes difficultés vue le nombre important d'étrangers dans les lieux.

Alors que la bonne humeur règne dans la ville d'Agra, au palais, les concubines sont toujours face à une incompréhension totale au sujet du Shâh. Ces dernière ne trouvaient pas logique que le souverain s'intéresse à une simple captive, et elles se demandaient pourquoi la belle blonde est toujours dans les appartement du Shâh et l'agacement est visible sur le visage de la consort Zainab.

Dans l'aile est du palais, le Shâh exerçait ses fonctions d'état sur son bureau, il lisait attentivement tout le contenu des manuscrit pour reconnaître toutes les failles que ses alliés pourraient lui infliger, un dicton dit qu'on doit se méfier de ses alliés et non pas de ses ennemis, car ces derniers pourront profiter de la confiance qu'on leur a accordé et un désastre totale pourrait éclater.

Le souverain observait parfois la belle blonde toujours endormie sur son lit, un moment de vide venait le déstabiliser mais il se remettait vite au travail.

Pendant qu'il essayait de comprendre une lettre, il se fait alerter par la belle captive qui cogitait sur son lit. Atiyah ouvre ses yeux, et elle était totalement perdue dans un trou blanc.

Déjà cinq minutes depuis qu'elle s'est réveillée, la jeune femme n'a pas bouger d'un pouce. La réalité refait surface et elle comprenait enfin qu'elle n'était pas morte et qu'elle se trouvait dans un endroit inconnu, les trois mois loin de chez-elle viennent défiler devant ses yeux, elle se sentait mal et seule, elle n'avait personne. Pourquoi lui infliger de telles souffrances ?

- Bonjour demoiselle Atiyah, dit le Shâh en s'approchant de la jeune femme.

Atiyah se lève et elle se met à l'aise sur le lit, et elle regardait le Shâh avec une touche de colère, elle cachait sa tristesse pour mettre son courage en avant.

- Qu'est-ce que je fais ici ? répondit-elle d'une voix faible.

- On vous a sauvé d'une mort certaine car vous avez perdu connaissance, dieu vous a protégé, dit le Shâh d'un air neutre.

La jeune femme était désemparée, elle commençait à crier et elle essayait de se lever du lit mais le souverain lui en empêche.

- Vous ne comprenez pas ! Je me suis laissée mourir et vous me sauvez ! dit-elle en se remettant dans le lit, elle était tellement déçue, pourquoi vivre dans ce monde si injuste ?

- La religion interdit le suicide ! Voulez-vous commettre ce pécher qui vous conduira en enfer ? dit-il en criant sur elle pour la remettre en raison.

Atiyah affiche un sourire au coin sous l'incompréhension totale du Shâh.

- C'est vous qui m'avez emmener au cachot ! répondit-elle aussitôt.

Le Shâh admirait la jeune femme même si elle était malade, sa beauté et son charme était toute fois envoutant, ses cheveux ajoutent une touche mystique.
    Mais il devait se remettre en raison, la captive lui a manqué de respect et si il n'arrive pas à imposer son autorité au sein du palais, sa parole sera veine et il n'aurait plus le respect de ses sujets.

- Vous m'avez manquer de respect ! je suis un souverain ! dit-il en la dévisageant du regard.

Atiyah était prête à lui faire face et répliquer à chaque fois qu'il essayait de la minimaliser ou de la défier, pourquoi devrait-elle le respecter alors qui la tient contre sa volonté ?

- Vous n'êtes pas mon souverain, qu'attendez-vous pour me tuer ? dit-elle avec un visage avide de peur.

Le Shâh savait très bien que cette question avez le don de remettre en question toute la discussion, il n'imaginait pas la retrouver morte, une chose lui en empêcher, il voulait de cette femme bien plus qu'un service d'une simple captive.

- Vous devez souffrir pour m'avoir manquer de respect car la mort n'est pas douloureuse ! dit-il aussitôt pour se justifier et il reconnaissait qu'elle l'avait mit dans l'embarras.

Atiyah baisse la tête et elle se met à rire, le souverain la regardait étrangement et il essayer de lire dans son regard ses intentions.

- C'est d'accord j'ai compris votre petit jeu, mais vous devez m'expliquer pourquoi je suis au petit soins dans vos appartement !

Cette dernière phrase vient de terrasser le Shâh et il sait au fond de lui qu'il ne va pas résister et il va lui révéler la vérité.

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Pour toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant