Partie 9

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...

    Le lendemain matin, un garde part emmener de la nourriture pour la captive emprisonnée dans le cachot.

    Alors qu'il allait mettre cette nourriture par terre, il remarquait qu'il y avait aucun bruit derrière la porte blindée.
   Le garde ouvre rapidement la porte du cachot et il est heurté de voir la belle jeune femme parterre.

   Il s'approche d'elle pour vérifier son pouls, et il est alerté par la température gravement basse de la jeune femme ; cette dernière respirait longtemps. Elle ne tardera pas à mourir alors que le Shâh avait bien ordonné de la garder en vie.

    Le garde alerte ses collègues, et ces derniers emmènent la jeune femme dans l'infirmerie pour que l'infirmière fasse quelques chose.

    Le Shâh était avec la consort Aïcha. assit autour de la table du petit déjeuner, ils discutaient de tout ce qui s'était passé dans le palais depuis les six derniers mois vers la conquête de Samarcande.

    - Cette ville a été à nous pendant deux ans, mais ces moins que rien l'ont repris, mais la prochaine fois Samarcande sera Moghol pour toujours ! Dit la consort Aïcha.

    Le Shâh dégustait son thé avec un goût amère, renoncer à cette terre n'était point de ses objectifs.

    - Les paroles n'apporteront jamais la victoire Aïcha.

    La consort sourit avec amabilité, cette terre ne lui importe peu car sont objectifs et d'imposer sa gouvernance au sein du palais, et de détrôner les autres consorts.
   Après tout le Shâh est son cousin et ils viennent tout deux du clan Timouride, mais désormais il a d'autres femmes et il ne la regarde plus comme une simple alliée.

    Être une princesse Timouride est plus valeureux, c'est le clan qui a fondé l'empire moghol ; inadmissible pour le clan de quelques autres femmes.

     Un eunuque rejoint rapidement les appartement du Shâh. La panique se fait voir et le souverain est étonné.

   - Votre Majesté le Shâh et la consort, veuillez m'excuser de vous avoir dérangé.

  - Qu'est-ce qu'il y a ? Dit le Shâh en changeant de ton.

    L'eunuque ferme les yeux pour essayer de garder son calme.

- La captive de Samarcande a perdu connaissance, et son état est très grave.

    Le Shâh se lève d'un seul coup sous l'incompréhension total de sa femme.

    Il avait prévu de rejoindre cette femme ce soir pour l'interroger, puis il se souvient de son beau visage ; les fabuleux cheveux qui viennent habiller son allure irrésistible ; des yeux vert extrait de la beauté de la nature.

    Il rejoint rapidement l'infirmerie et des pensées noirs viennent s'ajouter dans son esprit. Il n'accepterait pas que cette femme meurt car il lui avait dit qu'il ne lui fera pas le plaisir de lui offrir ce qu'elle voulait.

    Le Shâh est un homme sans pitié et sans une étincelle de pardon dans ses yeux, malgré la beauté intrigante de la jeune femme et la façon dont elle lui fait face, il garde sa personnalité sombre.

    - Comment va-t-elle ? Dit le Shâh à l'infirmière.

- Son état est stable, son corps s'est réchauffé mais elle est faible.

Le Shâh Zahir observait le visage pâle de la blonde, il n'a jamais vue de tels cheveux et une telle apparence.
    Les moghols avait tous une peau plus ou moins foncée, et des traits dure, des cheveux noirs et des yeux bruns.

    Il s'assoit à côté et il se met à observer minutieusement le visage de sa captive.
    Alors qu'il pensait qu'elle était une simple jeune femme qu'il lui révélera le secret de Samarcande, à ses yeux elle devient plus attirante que ce qu'il croyait.

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