Chapitre 67

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Je l’embrasse chastement avant de le prendre dans mes bras. Nous nous faisons soudain mettre au sol par des hommes armés, ils nous attachent avant de nous ramener près des autres. Octavia leurs demande le droit de passage en disant que Lincoln nous a envoyé, ils nous détache et nous distribue de petites fioles, Clark, Jasper et Octavia le bois et perde connaissance. Bellamy et moi avalons également le contenu de la fiole et perdons connaissance nos mains liées. Pendant que je suis évanouie, je ressens une douleur au niveau des poignets, j’entend des hurlements, je vois une croix, du sang ensuite plus rien. J’ouvre les yeux en même temps que les autres dans une énorme boîte de fer, nous sommes désarmés. Une femme au cheveux bouclés entre et se place devant nous.

O : Luna ?

L : Où est Lincoln ?

O : Il a été tué…

C : Il disait que tu nous aiderait, nous avons besoin d’aide pour sauver ton peuple d’une mort certaine.

L : Non.

Nous sortons pour la suivre et découvrons que nous sommes en pleine mer. J'accourt vers le bord et vomis mes tripes, Octavia cours, attrape mes cheveux alors que les autres nous rejoignent.

O : ça va ?

C : C’est la mer, je crois qu’on appelle ça le mal de mer.

R : C’est pas le mal de mer, ce sont mes visions, c’est pas toujours hyper cool comme image.

Plus tard, je suis assise, ma tête couchée sur l’épaule de Bellamy.

B : Qu’est ce que tu as vu ?

R : Une croix, du sang, des douleurs et après ça s’est arrêté mais ce n'était pas par la mort…

B : La pastille ?

R : Sûrement…

B : Je l’aime pas ton don, j’ai l’impression qu’il te fait plus de mal qu’autre chose.

Je finis par m’endormir contre le brun en voyant un sourire collé sur le visage de Jasper. Quelques heures ont passé, je suis éveillé, Clark parle avec Luna alors que les Blake sont ensemble, je suis aux côtés de Jasper qui rigole avec une autre fille quand un jeune homme vient s’asseoir en face de moi.

-Vous venez vraiment du ciel ?

R : Oui…

-C’est génial, je n’ai jamais quitté cet endroit, au faite je m’appelle Aaron.

Je sers la main qu’il me tend et lui souris.

R : Rose, crois moi, c’est mieux d’être ici.

Prisonnière 89Où les histoires vivent. Découvrez maintenant