Tome 2: Chapitre 18

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Bonne lecture 😁

Je prends mon bébé dans mes bras et lui pose des milliards de baisers sur le visage alors qu'il éclate de rire, sentir mon bébé contre moi me faisait renaître une nouvelle fois.

Je remonte la tête et croise le regard attendri de Ronan, je lui souris et il m'enveloppe de ses bras protecteurs.

- Tu m'as manqué beauté

- Toi aussi Ronan, tellement

Il pose un baiser sur mon front, pendant un instant j'avais oublier où nous étions et que nous n'étions pas seuls, tout ce qui m'importais à ce moment précis était le merveilleux être dans mes bras qui touchait avec ses petites mains mes cheveux.

Ronan finit par se décaler et de se gratter le nuque gêné, je me retourne finalement et me fige en croisant leur regards d'incompréhension.

- Il t'a appelé comment la ?! S'exclame Marine hébétée

- C'est quoi ces conneries encore ? Demande Framal

- Kaheliss qu'est-ce qui se passe ? Me questionne Hakim

Je tourne la tête vers Ken et ce que je vois me déchire le cœur, il fixe mon bébé les larmes aux yeux puis Ronan.

Oh non Ken ce n'est pas ce que tu penses

- Kaheliss ! de qui est ce bébé ? S'énerve Lou

Je lâche Ken du regard et baisse la tête vers mon bébé, je souris tendrement en croisant ses yeux azur.

- C'est le mien, c'est mon bébé, c'est mon fils

Un long silence s'installe sans que je n'ai le courage de lever le regard vers mes amis, je n'entends que leurs respirations lourdes.

- wesh mais c'est impossible ! S'écrit Zer2

- Tu es partie presque que sept mois tu n'as pas pu ....commence Maëlle perdue

- Sauf si elle était déjà enceinte avant de partir n'est-ce pas Kaheliss ? me crache Ken

- Aiden a dix mois Ken, je ne t'ai jamais trahis

- Tu te fous de moi la ! et ce mec derrière toi c'est le baby-sitter peut-être ?

- Tu vas redescendre très vite, tu vas baisser le ton parce que tu fais peur à mon fils la

Il s'arrête tout de suite sans me lancer un regard noir avant.

- Ronan n'est pas le père de mon fils, c'est un ami à moi, que j'ai rencontré à Dublin, il m'a ramené mon fils pour pouvoir récupérer sa fille.

Je me tourne vers lui qui est très mal à l'aise.

- A quelle heure est ton vol ? Lui demandais je

- Dans deux heures, j'aurais vraiment aimé rester mais je dois y aller

- Non, bien sur récupère ta fille, ma maison c'est la votre aussi,

- On viendra te voir

- J'espère bien, je veux rencontrer ta fille

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