Enola [ En réécriture]

Chapitre 47

Précédemment dans Enola :

Nous nous mettons à nous raconter chacun un peu notre vie et je finis par déposer ma tête sur le torse de Sam et m'endormir lentement.

J'arrive à entendre à moitié.

- Bonne nuit Dany.

- Aller on se lève les amoureux !

J'arrive à peine à déceler la voix de Sarah. En ouvrant les yeux, je suis aveugler par le soleil et met du temps avant de me rendre compte que j'ai dormis près de Sam.

- Bonjour. Me dit celui ci.

- Salut.

- Bien dormis ?

- Comme un bébé.

Et c'est vraie puisque je ne me souviens absolument plus de rien après avoir fermer les yeux.

- J'ai vraiment insister pour que Bryan ne vous lève pas mais là faut partir ...  insiste ma sœur.

- Déjà, on a même pas prit le petit dej. Répond Sam.

- Nous si. Lui dit celle-ci.

Nous finissons par nous relever et ramasser les couettes dans lesquels nous avons dormit.
Je m'apprête à prendre mon sac mais Sam me l'arrache des mains.

- Ne te fatigues pas, je le prend.

- C'est tellement mignon. Déclare Sarah.

J'esquisse un sourire gêné et remercie Sam.

Les garçons sont à l'avant et je marche difficilement à l'arrière avec mes sœurs.

- Il y'en a qui ont bien dormit. dit Sarah.

- Oh c'est bon. Râlai-je

- Tu l'aime bien ce Sam ? Me demande Celle-ci.

- Non, c'est un ami. Lui répondis Morgane, c'est Rémy qu'elle préfère.

- Je viens de me lever et on m'agresse déjà, je suis pas du matin les filles s'il vous plaît.  Suppliais-Je

- Bon ok, mais ne l'oublie pas lui, Dany, il a tellement fait pour toi. Réplique Morgane avant de nous laisser et de rejoindre les garçons.

Je comprend d'un coup que mon rapprochement avec Sam, ne fait pas l'unanimité et Morgane paraît presque me faire la tête à cause de ça.

Il faut dire que je m'attendais à tout sauf à me rapprocher de Sam. Il a l'air tellement attentionné envers moi et je ne cache pas que ça fait du bien de se sentir apprécié par quelqu'un.

Au bout d'une heure de marche j'arrive à apercevoir un grand nombre de maisons l'une à côté de l'autre. Elles paraissent plutôt récentes mais le silence règnent dans cette ville. Nous entendons à peine le chant de quelques oiseaux.

- On est arrivé. Déclare Bryan.

Nous nous réunissons alors.