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23 : Midorima ( knb ) X Reader 2ème partie

Cette partie sera un peu plus hot que d'habitude...

Cela faisait maintenant 3 mois que Midorima sortait avec toi. Il n'était pas très affectueux avec toi en publique. Mais quand vous étiez seuls tous les deux, il était un peu plus démonstratif, enfin démonstratif pour un tsundere. Il n'était pas très entreprenant, certes. Mais il pouvait t'embrasser délicatement pendant tandis que tu était occupé à autre chose. Cela te faisais toujours sourire. Pour le taquiner, il t'arrivais de venir vers lui et de l'embrasser ou même de le serrer dans tes bras en publique. Il en était si gêné que son visage devenait extrêmement rouge. La plus part du temps, il bafouillait avant de s'éloigner rapidement de toi. C'était comme si un contact avec toi était brûlant et dangereux.

Midorima était toujours très timide, surtout lorsque tu venais l'embrasser.

La famille du vert était partie en voyage en Australie, tandis que lui était resté chez lui afin de réviser pour ses examen de fin d'année. Tu avais ainsi décidé de passer chez lui, parce d'une part chez toi c'était trop bruyant pour que tu puisses travailler convenablement et d'une autre part, parce que tu appréciais passer du temps avec ton copain.

Alors qu'il était assis sur le canapé à regarder un documentaire à la télé. Tu décidas qu'aujourd'hui tu allais le chauffer un peu. Oui, étant une casse pied international ! Il FALLAIT que tu joues un peu avec ton copain aujourd'hui. Tu ne savais pas vraiment comme Midorima réagirait, mais, tu avais envie de jouer un peu avec ses nerf.

Tu commenças par le scruter de loin en cherchant comment tu allais t'y prendre pour le titiller sans te faire jeter... Pas le choix, il fallait la jouer discret et séductrice !

Tu approchas à pas de loup et passa délicatement ta main sur son épaule. Il sursauta, tu surpris un frisson parcourir sa peau, un sourire sournois se glissa alors sur ton visage. La partie avait commencer ! Il ne te regardait pas. Tu savais très bien qu'un contact visuel le ferait rougir et il savait que tu te moquerais de lui. Comment ne pas le faire ? Le voir dans cet état de perturbation te faisais tellement rire !

Tu montas à califourchon sur ses genoux et te retrouva alors face à lui.

- A quoi tu joue ?

- Moi ? A rien ...

Si il savait ! Pensas-tu

Tes mains jouaient dans sa nuque et dans ses cheveux. Les joue de ton petit ami étaient rouges, cependant, il jouait l'impassibilité totale.

Tu te pencha vers lui et embrassa chastement son cou. Il soupira. Tu lécha alors son cou avec arrogance.

- (T/p) ... Ca suffit

- Je ne crois pas ... CA viens juste de commencer...

Il posa maladroitement ses mains sur tes hanches et pendant que tu venais chercher ses lèvres, il caressa ton dos, lentement, passionnément.

Tu caressa alors de ta langue la lèvre inférieur de ton copain, qui se laissa faire. Il plongea ses doigts dans tes cheveux afin d'approfondir le baiser. Tu distinguas un sourire étirant ses lèvres.

Tu te détachas de ses lèvres et lécha son cou, l'embrassa, le mordit gentiment. Tes mains se faufilèrent alors dans son T-shirt. Tu le sentis se raidir, il posa ses mains sur tes poignets et les écartas légèrement.

- (T/p) ...

Tu mordis son cou en guise de réponde, le faisant gémir. Il te gronda alors d'arrêter à l'oreille. Tu lèves alors la tête, un sourire triomphant sur le visage.

- Ca va tu t'amuses bien ?

Midorima est vraiment perturbé, tu trouves cela tellement mignon.

Tu passes alors tes mains dans ses cheveux et l'embrasses, sa langue caresse tes lèvres, commence alors une valse passionnée. Ses mains devenaient de plus en plus baladeuses caressant tantôt ton dos, tantôt tes fesses, tantôt tes cuisses.

Tu t'allonges alors sur le côté inoccupé du canapé et le tire vers toi. Il s'allonge sur toi et embrasse délicatement ton cou. Un petit rire t'échappe et tes mains se faufile sous son T-shirt

- T'as gagné !

Tu ondules légèrement sous le corps de Midorima et l'embrasses dans le cou. Il suit ce mouvement de son bassin. Quand le vert pose à nouveau ses mains sur tes fesses rebondis, il s'écarte un peu de toi

- Dis-moi ? C'est un élastique pour cheveux que je sens dans ta poche ?

Un sourire sournois ourla tes lèvres et tu murmuras à son oreille :

- Il n'y a qu'un moyen de le vérifier ...

Il passa alors sa main hésitante dans ta poche arrière et en sortit une capote. Son visage devînt alors extrêmement rouge et il balbutia

- P-pourquoi t-tu tu a ça ...

- Hmm ... Bonne question réponds-tu avec une voix des plus salace

Tu n'était pas nimphomane, mais le fait que le vert soit aussi peut tactile avec toi te dérangeait un peu. Tu avais besoin de plus que quelques baiser voler. Il est vrai que toi, ayant déjà confier ça lors de l'action ou vérité qui avait en quelques soit lancer votre couple. En effet tu avais déjà eu des partenaires et tu t'était déjà adonnée au plaisir de la chair. Alors cette sensation de plaisir, ce déferlement d'émotions te manquaient.

Il semblerait aujourd'hui, ton désir l'emporte sur ta volonté. Ainsi, en ce jour, tu avais décider de montrer à ton amoureux, ce que ça faisais de monter au septième ciel.

Il le posa sur le côté au niveau de la table base. Ensuite, il place son visage au niveau de ton cou. Sa respiration est saccadé, tu caresses ses cheveux soyeux et respire son odeur.

Il semblerait que Midorima pèse le pour et le contre. Tu sens alors comme un sourire qui étire ses lèvres contre ta peau.

Il ne lève pas la tête mais formule la phrase suivante :

- Tu ne crois pas qu'on serait mieux dans la chambre ?

Sans attendre il se lève et te soulève du canapé, tes jambes se places alors automatiquement sur ses hanches. Tes bras viennent s'enrouler autour de sa nuque et tes lèvres se posent avec fougue sur sa bouche. Tu étais outré, il t'avait, de lui même, proposer de continuer dans la chambre !

Midorima peine à trouver la poignet de porte tant tu le déconcentres et le gène. De plus, l'une de ses mains te tient de peur que tu ne tombe. Quand il arrive enfin à ouvrir la porte, il s'engouffre dans la chambre avec toi dans les bras. Il te dépose sur le lit avec douceur.

Vous passèrent ensuite une nuit des plus torride...