Désolé de toute cette attente pour chaque histoire... Même en ayant gardé l'amour des belles phrases, j'avais perdu le goût de l'écriture. Souvent ont dit qu'il faut être malheureux et ressentir du manque pour être bon dans son art. Bah écouter, me revoilà plus malheureuse et en manque que jamais !
ATTENDEZ ! j'ai oublié de vous dire que je vous adore mes petits chats !
Le vent frais caresse ton visage. C'est si apaisant, cette brise est si douce. Tu pris une grande inspiration avant de d'ouvrir à nouveau les yeux. Devant toi se trouvait les lumières de la ville. La nuit était tombée vite ce soir et tu pouvais encore percevoir la lumière du crépuscule s'éteindre au loin.
Tu pris une grande inspiration, encore. Tu remplissais tes poumon d'un air frais, pollué et sec. Malgré la position dans laquelle tu étais, tu te sentais bien. Finalement c'était pas si mal ici, pensas-tu. Tu regardais les toits des maisons aux alentours. Le soir, la ville est si calme que s'en est presque oppressant.
Ce soir, allais-tu oser ?
Cela faisais quelques temps que tu montais en haut de cet immeuble, que tu ouvrais la petite porte qui donne accès au toit, que tu montes jusqu'au point le plus haut de l'édifice. Ce soir , tu étais passée au dessus de la rambarde de sécurité. Ta main était agrippé à une barre en métal. L'un de tes pied flottait dans le vide. Le regard plongé dans l'immensité de l'horizon, tu te sentais enfin bien à cet endroit.
- Cinq étages...murmuras-tu d'une voix presque enjouée
Un sourire béat était scotché sur ton visage. Tu avais si souvent eu peur du vide, même debout sur un tabouret. Aujourd'hui, ce soir, cela te semblait à présent ridicule. Le pied survolant le vide, tu te sentais bien, à ta place.
Tu avais posé toutes tes maigres affaires près de l'unique porte menant au toit. Il s'agissait entre autre d'une veste, d'un petit sac contenant tes clés, un téléphone et une lettre.
Debout, ton corps survolait le vide. Le moindre coup de vent aurait pu être fatal en ce mois de juin. Tu tournas la tête vers la porte, ouverte, vers tes affaires, éparpillées sur le sol, dans la poussière.
Tu te posas une dernière question : En avais-tu vraiment envie ?
- Oui !
Tu regardas droit devant toi. Tu te murmurais à toi même
- Il ne viendrait pas, personne ne viendra, il a pris sa décision. C'est terminé.
Tu inspiras plein poumon
- J'ai pris ma décision moi aussi c'e-
Tu entendis un vacarme pas possible dans les escaliers et des hurlements, venant d'une voix que tu connaissais trop bien.
- (T/P) ! NON ! NE FAIT PAS CA !
Tu tournas ton buste vers lui, tes deux pieds posés sur le sol de l'immeuble. Des larmes coulaient de tes joues.
Pourquoi faut-il toujours que les choses soient si compliqués ?
- Qu'est-ce que tu viens faire ici ? Demandas-tu sans réel conviction
- Je viens t'empêcher de faire une erreur !
- Pourquoi ?
- Parce que je tiens à toi
Il était essoufflé. Ses paroles raisonnaient dans ta tête. Son désespoir t'attristait. Il s'approcha doucement de toi
- Ne t'approche pas ! Hurla tu
- ok ... Mais (T/p), s'il te plait descend de là
-non
-P-pourquoi
-A quoi bon ?
- Ta famille et tes amis t'aiment
- MAIS QU'EST CE QUE J'EN AI A FAIRE !!!
- Tu veux vraiment leur faire vivre ça ?
Tu soupira et lâcha dans un murmure
- Et qu'est ce que ça peut te foutre ...
- (T/p) ... Je m'inquiète pour toi
Voir Castiel dans cet état de detresse, lui qui semblait toujours si fort, toujours dans le controle de ce genre d'emotion, te fis froid dans le dos.
Un rire traversa tes lèvres
- Putain mais laisse moi rire ! Parce que TOI tu prétend tenir à moi ?
- Attend viens on en parle là, en sécurité
- Tu as déjà tout dis...
- (T/p) ... Attend
- Tu faisais semblant ! Tu as mentis ! Tu disais que tu m'aimais mais ce n'était que des mensonges !
Tu hurlais ces mots, des larmes coulants sur tes joues
- Je n'ai jamais fait semblant ! Il avait crié ces quelques mots, qui avaient résonné au loin
- Me dire que tu m'aimais pour me laisser quelques jour plus tard ... Un rire nerveux s'échappa de ta gorge ... C'était pas un mensonge ?
- (T/p) ... Tu compte pour moi
- ARRETE DE MENTIR !
- Tu crois pas que c'est dur aussi pour moi
- Alors pourquoi ?!
- Parce que je ne t'aime plus ! J'ai peur que si ... Si ça continue... j pourrais te tromper !
- Laisse moi mourir ... murmura tu
- Non
- Pourquoi ?!
- Parce que j'ai encore des sentiments pour toi !
- Me quitter alors que tu as encore des sentiments pour moi ... C'est vraiment ridicule
- (T/p) ... Ne fais pas ça ... Pense à ta famille, à nos amis ...
- Pourquoi maintenant ?
- Je ne pouvais plus attendre
- J'étais au plus bas ! ... J'avais ... J'avais besoin de toi
- Tu aurais toujours eut besoin de moi ...
- Je n'aurais plus jamais besoin de toi maintenant !
- (T/P) ! NE FAIS PAS CA !
Tu prends alors une grande inspiration, tu regarde dans le vide une dernière fois, avant de te tourné pour le regarder lui. Ses yeux trahissent sa panique et sa peur. Tu le regarde avant de lâché la rambarde. Il court pour essayer d'attraper ta main. Mais ces trop tard. Il échoue.
Un sourire se fige sur ton visage tandis que tu t'éloignes du bâtiment. La chute parait durée une éternité...
La rupture du titre n'est pas seulement celle du couple Castiel x reader... ou encore la mienne ( dans la vraie vie ), mais on peut voir aussi dans ce titre quelque chose de plus " gore " la rupture des os du lecteur dans sa chute ... Bonne nuit ou bonne journée !
Je vous laisse sur cette douce image !
Et à la question : est ce que certain éléments sont tirés d'une histoire vrai ?
la réponse est oui !
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Perso manga/OC X Readers/oc
Fiksi PenggemarRecueil d'OS et de X Reader ! Je poste tous les lundis ou le dimanche ? Ouuais le dimanche c'est bien ! Pour toute commande, envoyez moi un message. Tous les manga et animé ou autre que je fais son dans mon recueil. Ne mettez pas trop de détails (vo...