Chapitre 57 : Première Fois

114 11 19
                                    


⚠️🔞⚠️🔞⚠️🔞⚠️🔞⚠️🔞⚠️🔞⚠️🔞⚠️🔞

PDV Zamyr

La nuit a été trop longue à mon avis. Je suis prête et Rubens ne va plus tarder. Il est tout aussi excité que moi pour ce week-end. Ça me fait plaisir de voir que Papa a assez confiance en moi pour me laisser y aller avec lui.

Pendant que Rubens est assis sagement dans la salle d'attente, je suis dans le bureau du Dr Nayir. Elle me pose quelques questions comme d'habitude et on passe aux analyses. J'ai hâte d'en finir pour retrouver mon copain.

Dr Nayir Alors, ça va aller pour votre week-end ? [...]

Moi : Je l'espère.

Dr Nayir : C'est bien. Mais fais attention à toi. Et souviens-toi que tu peux m'appeler à n'importe quelle heure. Je t'appellerai à ton retour pour les résultats.

Moi : Merci, docteur.

Je me dirige vers le bureau de mon père pour lui dire au revoir avant de quitter l'hôpital en compagnie de mon chéri. Il met de la musique, nous chantons et rigolons comme des gamins, après tout, on en a pour deux heures, non ?

Je ne sais pas à quel moment je me suis endormie, mais je sens une douce caresse sur ma joue qui me force à ouvrir les yeux. Je reconnais le doux visage de mon copain, je lui souris en me redressant sur ma chaise.

Rubens : Bien dormi ? On est arrivé ma chérie !

Moi : Wouah, mais c'est vraiment magnifique ici. Dis-je en fermant la portière.

La maison est gigantesque, un peu moins que celle en ville, mais quand même, il y a des fleurs tout autour. Deux personnes apparaissent dans mon champ de vision alors que je contemple la beauté de cet endroit.

... Monsieur Felty, bon retour chez vous. Dit la dame.

Rubens : Merci Maria. Comment vas-tu ? Juan. dit-il en serrant la main du monsieur.

Juan : Tout est prêt, monsieur, nous vous attendons.

Rubens : Je vous remercie...

Maria : Ça fait plaisir de vous voir.

Rubens : Moi aussi. Maria, Juan, je vous présente Zamyr, ma petite amie.

Maria : Enchantée, Mademoiselle.

Moi : À moi de même.

Juan : Bienvenue, Mademoiselle.

Moi : Merci.

La chambre est très grande, bien aérée et bien arrangée. À côté, il y a une grande salle de bain avec un dressing. À en voir la déco, je dirais que c'est la sienne. Il y a plein de photos collées sur les murs. Les mains de mon copain sur mes hanches m'ont fait sursauter.

Rubens : T'es tellement jolie. Dit-il en poussant une mèche derrière mon oreille.

Moi : Ah ouais !

Rubens : Mmh... Mumure-t-il contre mes lèvres ?

Puis il colle nos fronts.

Rubens : Je t'aide à ranger un peu...

Moi : Non, je vais le faire toute seule.

Rubens : Tu en es sûre ? [...] D'accord, je te laisse faire, mais d'abord, fais-moi un bisou.

Pendant que j'arrange nos affaires, je ressens une migraine atroce, donc je regarde dans mon sac si j'ai pris mes médicaments et Dieu merci, ils sont là.

Une fois la migraine passée, je retourne à mes occupations. Rubens n'est toujours pas revenu, je me demande bien où il peut être. Il ne serait pas parti à la plage sans moi, si ? Non, je ne pense pas. J'attrape mon portable pour l'appeler et là, je le vois dans le jardin avec son plus beau sourire qui prend des photos. Quand il me voit, il m'envoie des bisous.
J'en fais de même pour ensuite me diriger vers la salle de bain.

Le dîner est délicieux, les plats de Maria sont succulents. Nous la remercions et Rubens m'emmène au jardin. C'est paisible.

La fatiguée commence à se faire sentir. Je préfère monter me reposer un peu.

Je farfouille dans mon sac pour trouver mon roman. De là où je suis, j'ai une vue parfaite sur la plage et le jardin. À fond dans ma lecture, j'entends un cri qui me pousse à lever la tête. Ça vient en direction de la plage. Rubens est là avec une fille qu'il prend dans ses bras alors qu'elle aussi le serre très fort. Émouvantes retrouvailles Je n'aime pas ce que je vois. Prise de nausée, je cours vers la salle de bain. La tête dans la cuvette, je vomis la totalité de mon dîner. Mon estomac me fait mal, j'ai envie de pleurer tant que j'ai mal. Ma peau est très pâle.

Rubens : Mon cœur, t'es là ? ... Mon amour ? Zamyr T'es ou ?

Je m'empresse d'essuyer les larmes sur mes joues. Je me regarde dans le miroir, je n'ai pas fait attention, mais je semble avoir perdu du poids. Je descends mon T-shirt et me dirige vers la chambre.

Rubens : Qu'est-ce qui se passe ? Tu ne te sens pas bien ? [...]

Moi : Ça va... Juste un peu fatiguée...

Rubens : C'est quoi cette tête que tu fais là ? [...] Regarde tes yeux, t'as pleuré... Dit-il en me caressant la joue.

J'essaie de me dégager de son emprise, mais sans succès, il me serre contre lui et sans savoir pourquoi, j'éclate en sanglots.

Rubens : Mon amour, mais calme-toi. Dit-il en me caressant le dos... Je déteste te voir pleurer, tu le sais ça... Maintenant, dis-moi ce qui se passe ?

Moi : Mais rien.

Rubens : On avait dit plus de mensonges, tu te souviens ?

Je ne peux pas lui dire pour ma migraine, encore moi pour cette crampe d'estomac. Je ne veux pas qu'il s'inquiète. Pourtant, il faut trouver un truc à lui dire.

Moi : ... Je... Je t'ai vue avec elle. Dis-je en reniflant.

Rubens : Mais t'es jalouse...

Moi : Ce n'est pas drôle, Rubens.

Rubens : d'accord. Je suis désolé, mon petit cœur... Mais ce n'était rien.

Moi : Ah oui ? Rien, tu dis ? Tu faisais quoi là-bas ? Qui était-ce d'ailleurs ?

Rubens : Mon amour, respire... C'est Mayera... La fille de Maria et de Juan C'est une amie d'enfance.

Moi : Alors vous n'êtes pas...

Rubens : Bien sûr que non. C'est juste une amie... Pas besoin d'être jalouse. Cela dit, j'aime bien quand tu fais ta jalouse.

Moi : mais je ne le suis pas.

Rubens : Bien sûr... Dit-il en souriant en me ramenant par la taille.

Moi : Désolée...

Rubens : Je t'aime, Zamyr, je sais que je t'ai déjà blessé, et je m'en veux pour ça. Mais crois-moi quand je te dis que je ne suis pas assez stupide pour recommencer... Et si je t'ai amené ici, c'est juste parce que je veux que tu en profites...

Moi : je sais. Dis-je en passant mes mains autour de sa nuque.

Rubens : Alors ? Dit-il en me soulevant le menton pour le regarder.

Moi : Tu me pardonnes ?

Rubens : D'abord, voyons comment tu vas m'embrasser.

Moi : Hum, je vois qu'on marchande monsieur Felty... Dis-je en approchant mon visage du sien.

Je commence à l'embrasser, passionnément, avec douceur et envie. Puis il décolle nos lèvres, pour me prendre dans ses bras et me serrer très fort pendant un moment. Ensuite, il me regarde dans les yeux et m'embrasse à nouveau. La chambre n'est éclairée que par les deux lampes.

Rubens : Ça va ?

Moi : Hmm... Et toi ?

Rubens : Oui, ma chérie.

Moi : Alors tais-toi et embrasse-moi.

Il s'exécute, cette fois, je sens vraiment que lui aussi en a envie, je ne veux pas attendre plus longtemps. Je lui demande accès à sa langue, mais pour une raison que je ne comprends pas, il me le refuse en mettant fin à notre baiser.

Moi : Mon amour, qui y a-t-il ?

Rubens : Rien

Moi : Je sais ce que tu te dis, mais je te le promets, j'en ai très envie.

Rubens : Quoi ? Je veux dire...

Je suis dans cette splendide maison avec lui. À cette heure-ci, je suis sûre que nous ne sommes que tous les deux dans la maison. Je ne sais pas pour lui, mais pour moi, c'est tout décidé. Il n'y a pas meilleur endroit pour perdre ma virginité.

Moi : C'est bon, je suis prête...

Rubens : Zam...

Moi : Je comprends, tu n'en as pas envie, c'est ça ? [...]

Rubens : Ne dis pas de bêtise. Mon ange, j'ai tout le temps très envie de toi... Et être avec toi dans cette maison avec la plage à côté a décuplé mes envies...

Moi : Alors pourquoi...

Rubens : Parce que je ne voudrais pas que tu le regrettes après. Je t'ai déjà fait souffrir et je ne supporterai pas de te faire mal à nouveau. Dit-il en détournant le regard.

Moi : Je vais bien, Rubens... Hé, regarde-moi. J'ai envie que tu me fasses l'amour, c'est avec toi que je veux le faire là maintenant, dans cet endroit magnifique et dans ce lit. Dis-je en le forçant à me regarder.


Mes mains derrière sa nuque, il passe sa main sous mon T-shirt et attrape un de mes seins qu'il commence à malaxer. Je lui enlève son T-shirt et il en fait de même sans me quitter du regard. Ses mains sont à présent dans mon dos en train de détacher mon soutien-gorge. Sentant ma gêne, il m'embrasse pour me rassurer en nous conduisant vers le lit. Pendant qu'il s'allonge, il me fait signe de le rejoindre. Assise en califourchon sur lui, il me touche les fesses pendant qu'il m'embrasse.

Soudainement, il nous fait tourner pour prendre le dessus. Il m'enlève mon short pour ensuite s'emparer de mon sein droit, le malaxer et prendre l'autre en bouche. Ce n'est pas la première fois qu'il me fait ça et j'aime la sensation que ça me procure. Il remonte jusqu'à ma bouche pour embrasser mes lèvres, puis redescend en dessinant une ligne depuis ma bouche jusqu'à mon ombilic rien qu'avec des petits baisers. Je passe ma main dans ces cheveux et tire dessus, ce qui me vaut un grognement assez sexy. Je sais qu'il aime ça.

Il retire ma culotte qu'il envoie valser par terre. Je suis complètement nue devant lui et ça me gêne un peu. Je cache mon visage derrière mes mains.

Rubens : Je t'aime, ma belle, et ne te cache jamais devant moi.

Il est toujours en jogging, mais j'arrive quand même à sentir son érection. Tout à coup, je sens une chaleur au niveau de mon bas ventre à l'idée de la sentir en moi. Est-ce que je vais avoir mal ? Est-ce qu'il ira jusqu'au bout ?

Il me sort de mes pensées en introduisant un doigt dans mon vagin et s'amuse à faire des mouvements de va-et-vient tout en me regardant. Il m'a déjà doigté plusieurs fois, mais là, avoir son doigt en moi, c'est juste divin. Quand il me met un deuxième doigt, mon envie augmente ainsi que les sensations de ces doigts à l'intérieur de moi. Il va de plus en plus vite. Je sens que je ne vais pas tarder à avoir un orgasme avec les muscles de mon vagin qui se contractent autour de ces doigts. Dieu que j'aime ça.

Je le fais basculer et reprends le dessus, à mon tour de le déshabiller. Son pénis qui est déjà bien dur et ne demande qu'à être caressé, ce que je fais avec une main comme il me l'a montré. Ses petits gémissements me prouvent que je le fais correctement et qu'il aime ça. Quelques minutes plus tard, il jouit dans ma main.

Il va dans la salle de bain et revient avec un préservatif qu'il ouvre aidé de sa bouche.

Moi : attends... Montre-moi comment faire.

Il me prend la main et me montre comment la lui mettre. Ce n'est pas si difficile. Je m'allonge à nouveau, il m'écarte un peu les cuisses, puis m'embrasse.

Rubens : Dernière chance...

Moi : Vas-y.

Rubens : D'accord,... Tu vas avoir un peu mal, mais la douleur sera vite remplacée par du plaisir, je te le promets, d'accord ?

Je lui fais signe que oui. Il présente son pénis à mon sexe et me pénètre lentement. Putain, il avait raison, ça fait mal. Par simple réflexe, je ferme les yeux en grimaçant, alors que je suis quasiment sûre qu'il n'est pas complètement à l'intérieur de moi.

Rubens : Ouvre les yeux, mon petit cœur... Regarde moi mon ange... Ce n'est que moi, d'accord ?

J'ouvre les yeux et quand nos regards se croisent, je vois que lui aussi en a très envie. Je sais ce que je dois faire. Me focaliser sur ces beaux yeux marrons plutôt que sur la douleur. Je lui souris, signe qu'il peut continuer. Et quand il me pénètre complètement, je ne peux m'empêcher de lâcher un cri.

Rubens : Mon cœur, je suis désolé, on arrête...

Moi : Non, mon amour, ça va... Je t'aime,

Rubens : Je t'aime tellement... Je vais bouger un peu d'accord ?

Au fur et à mesure qu'il bouge, la douleur disparaît pour faire place aux plaisirs, comme il me l'a promis. Bonté divine, ces coups de reins sont synchrones avec les mouvements de mes hanches. Il va de plus en plus vite, cette sensation que je ressens à chaque fois que je vais jouir ne tarde pas à se montrer. Lui aussi, d'ailleurs, vit la façon qu'il se retient. Je n'en peux plus.

Moi : Ru... ben.

Rubens : Vas-y, mon amour... Jouis

J'explose dans un orgasme paradisiaque, il me suit lui aussi. Il m'embrasse et se dirige vers la salle de bain pour jeter la capote. Il revient dans le lit et s'allonge sur moi sans m'écraser, sa tête sur ma poitrine, je lui caresse les cheveux. Et voilà comment nous nous endormons.

___________________________________

''Mon Histoire, Avec Lui '' [Terminée] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant