''Mon Histoire, Avec Lui '' [Terminée]

Bonus : And Life Goes On... Or Not

Un an et 6 mois plus tard

PDV Zamyr

La nature, il n'y a rien de plus magnifique. Encore plus à Dubaï. Le soleil sur ma peau, le bruit des vagues, les mains de mon homme sur mon corps, sa langue cherchant la mienne, les mouvements synchrones de nos hanches. À chaque fois que cet homme pose la main sur moi, ça me rend folle de désir.

Moi : Han...

Rubens : Je t'aime.

Il accélère les mouvements de ces hanches et j'atteins un orgasme comme lui seul arrive toujours à me donner. Je prends le dessus et m'assois sur lui en califourchon. Je recommence à bouger mes hanches alors qu'il m'embrasse la poitrine. Ces mains caressent mon dos, je suis en extase alors que je viens tout juste d'avoir un orgasme. Nos gémissements résonnent dans la chambre. À chaque fois, c'est comme si c'était la première. Il m'a fait découvrir plusieurs trucs sexuels et on ne s'ennuie pas du tout.

Rubens m'a demandé en mariage il y a quelques jours alors que nous étions en train de dîner tout en haut de la Tour Eiffel. Je ne vous dis pas comme je suis heureuse. Nous avons passé l'année à voyager, et chaque pays que nous visitons, nous découvrons un peu plus sur la vie, et surtout l'amour.

Nos familles vont bien, nous leur parlons souvent en Skype. Ma sœur a beaucoup grandi et est devenue une magnifique jeune fille. Elle va bientôt avoir 16 ans. Ma mère est plus épanouie que jamais, elle et mon père projettent de partir en vacances, ils l'ont bien mérité, ça leur fera du bien.

Rubens : À quoi tu penses ? Demande-t-il en m'enlacant sous la douche.

Moi : Au fait que nous allons rentrer demain et voir nos familles et nos amis (es)... Cette année a été merveilleuse, mon amour, et chaque minute passée avec toi me comble de bonheur.

Rubens : Mon bonheur, c'est toi. Je t'aime. Dit-il avant de m'embrasser.

Je passe mes mains derrière sa nuque pour approfondir notre baiser, en glissant ma langue dans sa bouche.

Nous atterrissons aux environs de 16 heures. Rubens me conduit au cimetière. Ça fait longtemps que je ne suis pas venue sur la tombe de ma grand-mère. Elle est toujours très bien entretenue et ça me fait plaisir. Il m'accompagne jusqu'à la tombe de Mamie, il prend ma main et entrelace nos doigts. Comme d'habitude, je raconte à grand-mère les choses merveilleuses que je viens de vivre auprès de cet homme fabuleux et lui annonce par la même occasion nos fiançailles.


Pour l'instant, je vais passer quelques semaines chez mes parents, mais avec Rubens, nous avons repéré une magnifique maison qui nous ressemble à tous les deux dans une ville non loin d'ici. Je vais en parler avec mes parents ce soir pendant le dîner.

Cette maison va me manquer, mais grandir, c'est ça aussi. Et je sais que je pourrai toujours compter sur mes parents.

Sabine : Zamyr, ma chérie, tu es magnifique. Cette robe te va très bien. Dit-elle en me faisant la bise.

Skensbeurg : Comment Vas-tu ? Ma femme a raison, tu es très jolie.

Moi : Je vous remercie,

Sabine : J'espère que mon fils s'est bien comporté avec toi.

Moi : Il s'est comporté en un vrai gentleman, je vous assure.

Keissa : Sans aucun doute. Dit-elle en me faisant un clin d'œil avant de rejoindre Julie et Dora.


Ma mère a mis les petits plats dans les grands, ce dîner a été une excellente idée. Nos derniers invités arrivent, à savoir Josh, Diego, Michèle, Ellie et Marco. Nous nous prenons dans les bras. Ils m'ont trop manqué. Nous sommes tous contents de nous retrouver. Pendant que nous prenons l'apéritif, nous papotons ensemble sur cette année. Nous leur parlons de nos voyages, les autres parlent de leurs cours.
Josh est le premier à remarquer ma bague de fiançailles. Il a l'air surpris, je lui fais signe de ne rien dire.

Rubens : Je ne te l'ai pas encore dit, mon ange, mais tu es magnifique dans cette robe. J'ai trop hâte de te les enlever. Me chuchote-t-il ?

Moi : Seulement si tu es sage. Dis-je alors que je commence déjà à sentir ces fameux papillons dans le ventre.

Tout est vraiment délicieux. Maman s'est surpassée. Nos parents sont maintenant de très bons amis, pour notre plus grand bonheur. Même ma marraine semble proche de Sabrina maintenant. La preuve, elles nous racontent leurs diverses sorties ensemble pendant que nous n'étions pas là, ça fait vraiment plaisir.

Soudain, Rubens se lève avec une coupe de Champagne. Il frappe sur son verre pour attirer l'attention de tout le monde.

Rubens : Tout d'abord, je veux vous remercier d'être là ce soir. Malheureusement, les autres n'ont pas pu venir, mais nous pourrons bientôt être tous réunis. Je ne pouvais pas rêver mieux comme famille. Je veux que vous sachiez que je vous aime tous.

Marco : Oh non, ne me dis pas que tu l'as mise enceinte.

Marraine : Mon chéri, laisse-le parler.

Ellie : Ecoute ta mère, mon cœur.

Rubens : Ce n'est pas pour cette année, je crois, même si j'aurais bien aimé.

Ce qui fait rire tout le monde.

Rubens : nous avons une excellente nouvelle à vous annoncer.

Moi : Rubens m'a demandé en mariage et j'ai dit oui. Dis-je en leur montrant ma bague.

Maman : Oh Mon Dieu. Mais c'est merveilleux. Félicitations, ma chérie. Dit-elle en me prenant dans les bras.

Sabrina : Félicitations, les enfants. Dit-elle en prenant son fils dans ses bras.

Papa : Félicitations, ma chérie.

Michèle : Je suis trop contente pour vous, les gars.

Je ne me doutais pas qu'ils allaient tous être contents pour nous. C'est ça une famille. Et c'est la nôtre. Tout le monde nous félicite et le bonheur que je ressens en ce moment est incommensurable. Nous leur annonçons par la suite que nous allons déménager. Par contre, cette nouvelle n'a pas été aussi bonne pour tout le monde que la précédente.

Papa : Vous en êtes sûr ? Vous êtes encore jeunes tous les deux.

Moi : Oui, papa, et c'est justement pour ça qu'on a envie de vivre à fond notre amour.

Sabrina : Ils sont trop mignons.

Maman : Et puis vous ne partirez pas trop loin, pas vrai ?

Moi : non, maman.

Skensbeurg : Vous savez que vous pouvez toujours compter sur nous.

Rubens : Oui, papa, ne t'en fais pas.

Marco : Rubens, on va avoir une sacrée discussion, toi et moi...

Parrain : et c'est reparti.

Tout le monde se met à rire. Mon frère ne changera jamais. Qui sait ce qu'il s'apprête à lui dire ? Dora se lève d'un coup et monte les escaliers. Je sais pourquoi elle réagit ainsi. Nous avons passé un an sans nous voir et quand je reviens, je lui annonce que je vais déménager. Ce n'est pas facile pour elle, je le sais. Mais je ne veux pas qu'elle le prenne comme de l'abandon.

Dora : Donc tu vas quitter la maison ?

Moi : je vais juste déménager, pas vous abandonner.

DORA : C'est tout comme. Je suis habituée à vivre avec toi dans cette maison, ça va être bizarre sans toi.

Moi : Je ne serai pas très loin. Viens la ma puce. Dis-je en l'accueillant dans mes bras... Je ne partirai pas tout de suite, et puis tu pourras venir nous rendre visite, qu'en penses-tu ? Dis-je en essuyant les larmes sur sa joue.

DORA : Ça pourrait être génial... Tu vas me manquer. Dit-elle en me serrant dans ses bras.

Moi : Tu vas me manquer aussi, ma princesse.

Je sais ma sœur. Elle avait seulement besoin d'être rassurée, tout comme mon père d'ailleurs. Comment pourrais-je abandonner ma famille après tout ça ?
Après le dîner, les parents restent dans le jardin pour discuter, alors qu'avec nos potes, nous passons au salon pour se raconter nos vies.


Trois semaines plus tard

PDV RUBENS

Ma mère et Sabine tenaient vraiment à nous aider pour le déménagement, et elles ne plaisantaient pas. Avec Zamyr, nous avons seulement apporté les cartons dans la maison, moi plus qu'elle en tout cas. Elles ont parfaitement tout bien rangé à notre goût à tous les deux, ce sont nos mères après tout, elles nous connaissent mieux que quiconque.

Maman : Bon, nous avons terminé.

Zamyr : C'est très jolie. Nous vous remercions.

Moi : Merci à toutes les deux.

Sabine : Nous allons partir maintenant, je crois que vous avez besoin de vous retrouver seuls tous les deux.

Maman : Ne fais pas trop de bêtises quand même, hein.

Moi : Maman. Dis-je alors que Zamyr se cache derrière moi.

Toujours aussi timide, mon petit Ange. Notre maison est un peu grande pour nous deux, mais rien qu'un peu, hein. Et puis nous sommes habitués à vivre dans des grandes maisons, de grands espaces, quoi ? Zamyr arrive dans son piyama sexy et s'allonge à côté de moi devant la télé.

Moi : Fatiguée mon coeur?

Zamyr : Pas du tout. Tu as un truc derrière la tête toi.

Moi : Un tas de trucs, oui. Je peux te montrer si tu veux. Dis-je en la prenant par la taille pour qu'elle soit assise en califourchon sur moi.

Zamyr : Hmm... J'attends de voir ça.

C'est notre première nuit dans notre chez nous. Rien que tous les deux, et je compte bien marquer le coup.

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