Chapitre 25

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La journée pour Alice et Juliette se passa tranquillement. Elles discutèrent du déménagement avec Joséphine avant de préparer des cartons. Le lendemain Alice s'échappa à son appartement pour avancer ses cartons avec son amie Valérie. Les deux femmes avancèrent très vite, la moitié de l'appartement était mis en carton en une journée Alice fini par se laisser tomber sur le canapé épuisée.

- Toi tu m'as l'air bien épuisée.
- Je le suis Mais ça va j'ai encore quelques jours d'arrêt pour me reposer.
- T'es arrêté ? Toi ?
- Oui moi, je cumulais beaucoup de fatigue et des baisses de tensions. Mon médecin m'a prescrit une semaine de repos.
- T'as une drôle définition du repos toi. Dit Valérie en regardant les cartons entassés un peu partout.
- C'est moi !
- Dans le salon mon amour !

Fred resta sans voix en voyant les piles de carton. Il s'approcha d'Alice pour lui déposer un tendre baiser.

- Valérie, Fred ! Fred, Valérie !
- Depuis le temps qu'elle me parle de toi je suis heureuse de te rencontrer.
- De Même. Vous avez fait tout ça aujourd'hui ?
- Oui je trouve qu'on n'a pas trop mal géré, hein Val.
- Tu devais pas te reposer ?
- Je me suis reposée des que je me sentais un peu fatiguée je me posais, j'ai pas forcé.
- Bon ça va alors. Mais t'as une petite mine quand même.
- Oui la je commence à bien fatiguée. Vous voulez boire quelque chose ?
- Il est trop tôt pour l'apéro ou bien ? S'exclama Valérie.
- Moi personnellement je vais prendre un thé mais peut être que Fred va t'accompagner sur le vin.
- Non mais je rigole un petit café ça sera parfait.
- Et toi mon chéri ?
- Reste assise je vais aller faire et je me servirai ce que j'ai envie.
- Merci.

Fred qui ne c'était pas encore assis se dirigea vers la cuisine pour préparer les boissons de tout le monde laissant Alice avec son ami.

- Tu déconnais pas quand tu disais qu'il était au petit soin avec toi.
- T'imagines même pas depuis quelques jours il l'est encore plus.
- Depuis quelque jour ? Ça fait autant de jours que tu préfères le thé à l'apéro et que t'es fatiguée au point d'être en arrêt ?
- Oui.... Dit elle en baissant la tête l'air coupable.
- C'est génial ma puce, je suis contente pour toi tu le mérites. Je t'avais dit que je serai vite marraine.
- Tu m'en veux pas de pas te l'avoir dit ?
- Pourquoi je t'en voudrais je comprend que t'attendes. C'est juste qu'à moi tu peux rien me cacher je te connais par cœur.
- Et voilà, mesdames sont servi !
- Merci Fred ! Fit Valérie.

Ce dernier après avoir poser les boissons sur la table prit place à côté de sa cher et tendre, passant son bras par dessus son épaule. Alice tourna la tête pour l'embrasser avant de se pencher pour attraper son thé.

- Du coup tu fais quoi dans la vie Valérie ?
- Je suis avocate.
- C'est comme ça que vous vous êtes connu ?
- Non du tout, on c'est connu au lycée on a fait notre première et notre terminal ensemble et puis on a fini dans la même Fac et on était Coloc pendant plusieurs années Même après nos études.
- Voila tu sais tout. Fit Alice.
- Je t'aurais bien dit et toi mais je crois que je sais déjà tout ce qui a savoir en deux trois soirées elle a largement eu le temps de me faire ton portrait en long, en large, en travers. Ria Valérie.
- Ah oui à ce point ? Dis donc madame la juge je ne vous pensais pas aussi accro.
- Non mais c'était avant que vous vous mettiez ensemble.
- Ca suffit oui. Fit Alice qui rougissait.
- sinon était comment jeune ? Enchaîna Fred
- Bah c'est toujours la même qu' aujourd'hui au début elle paraît froide et ennuyeuse puis on découvre une fille géniale avec un sacré grain de folie. Elle était juste un peu plus folle que maintenant elle c'est assagît avec le temps.
- Tu te souviens notre appartement c'était un squat y avait toujours quelqu'un qui venait boire un apéro. Je sais même pas comment on a pu s'en sortir dans nos études avec le rythme de vie qu'on avait.
- Tu te souviens quand on était aller à nos partiels avec une gueule de bois monumentale ?
- Et nos têtes quand on avait vu qu'on avait validé malgré tout.
- Oui donc je suis entrain de m'engager avec une femme très surprenante. S'exclama Fred.
- Tu n'imagines même pas à quel point mon amour !

Et puis un jour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant