Chapitre 44

824 28 8
                                    

Quelques semaines étaient passé depuis noel, Fred passa les portes de la crime ce midi là, comme à son habitude. Il fut surpris de tomber sur sa compagne assise à sa place, les pieds sur son bureau.

- Que me vaut cette charmante visite ! Fit Fred sans décoller le nez de son dossier.
- J'y crois pas t'as oublié.
- Non on a rendez vous dans deux heures.
- Elle est pas à l'heure ta montre c'est dans Une heure.
- Allons-y alors !
- T'es drôlement calme.
- Je vais voir mon bébé je ne peux qu'être heureux.

Fred posa son dossier pour aller embrasser sa belle. Alice attrapa une sucette dans le pot à bonbons avant de se lever pour sortir accompagné de son homme. A peine des bureau Fred tenta de voler la sucette d'Alice.

- Eh !

Il rigola en voyant sa petite moue râleuse. Il porta la sucette à sa bouche avant de la lui rendre.

- Fred ?
- Oui ?
- J'ai envie de savoir si c'est une fille ou un garçon.
- Si J'ai envie de garder la surprise encore ?
- On peut demander au gynéco de l'écrire sur une feuille dans une enveloppe et l'ouvrir quand on aura envie tout les deux ?
- Mouais mais hors de questions de l'ouvrir sans moi.
- D'accord.

Alice embrassa furtivement son commandant avant de rentrer dans la voiture jusqu'a la clinique où ils avaient rendez-vous. Ils furent pris en charge directement. Alice s'installa pour l'échographie, Fred était à côté d'elle, il lui tenait la main.

- Alors voyons voir comment grandit votre bébé.

C'est en larmes qu'Alice termina à peine elle entendit le cœur de son bébé battre.

- Ce bébé grandit parfaitement bien. Vous voulez toujours pas savoir le sexe ?
- Alors justement on commence à hésiter. Est ce que vous accepteriez de l'écrire sur une feuille et le glisser dans cette enveloppe ?
- Oui bien sur madame Nevers ça serait avec plaisir. Je vous laisse remettre correctement votre haut je vais le faire en attendant.
- Merci beaucoup.
- Et je vous sors les petites photos.

Alice sourit laissant le médecin retourner à son bureau. Fred lui déposa un tendre baiser sur les lèvres avant de l'aider à se relever. Ils avancèrent main dans la main jusqu'au bureau.

- Et voilà pour vous ! J'ai glissé l'enveloppe dans le dossier.
- Merci.
- Et vous comment vous vous sentez ?
- A part certaines odeurs depuis quelques semaines que j'ai du mal à supporter tout va bien.
- Vous ne vous sentez pas fatiguée ?
- Non ça va, j'ai eu tellement de fatigue au début de ma grossesse que j'arrive à gérer. Il peut m'arriver de faire des siestes si je sens que ça commence à être compliqué.
- Bien faut pas hésiter si vous êtes fatiguée à lever le pied.
- Je fais au mieux malheureusement les crimes eux ne s'arrêtent pas. Mais je m'octroie régulièrement le luxe de travailler de chez moi, c'est moins de stress et je peux me reposer.
- Vous avez bien raison. Il faut vous ménager au maximum. Je ne vous retiens pas plus longtemps.
- Encore Merci !

Alice et Fred quittèrent la clinique l'un contre l'autre. Alice ne cessait de regarder les images de l'échographie.

- C'est notre bébé qui grandit et qui dans quelques mois sera avec nous.
- J'ai hâte de faire sa rencontre, de sentir ses petits doigts.
- ça va venir vite mon amour. On est à la mi janvier. J'accouche normalement fin avril. En attendant va falloir préparer sa chambre parce que j'ai entendu dire que tu voulais t'y mettre et faire quelque chose de beau, depuis je n'ai rien vu ça va faire un mois.
- C'est faux Madame la juge ! J'y passe du temps et je dois même dire que ça avance. Je suis très étonné que tu n'es pas râler pour l'odeur de peinture.
- Je n'ai pas fait attention.
- Et pourtant...
- Et donc je la vois quand cette chambre ?
- Quand tu veux ! Tout n'est pas encore parfait mais ça avance plutôt bien. Ce bébé pourrait arriver demain qu'on serait bon.
- Alors la pas du tout je me suis pas encore penchée sur la valise de maternité et comment te dire que je vais encore attendre un petit peu.
- On a encore le temps, la chambre C'est juste que je sais qu'avec les affaires qui peuvent s'enchaîner c'est parfois compliqué de trouver du temps pour monter des murs ou peindre des murs alors des que j'ai un peu de temps je m'y met. Souvent pendant tes siestes d'ailleurs.
- Je t'aime ! Tu sais que t'as un papa merveilleux toi.
- Je te ramène à la maison ou au palais ?
- A la maison.
- A vos ordres mon amour !

Et puis un jour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant