Chapitre 34

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Quelques mois étaient passé, l'été avait été signe d'amour. Juliette alternant les vacances chez chacune de ses grand mère, avait pu laisser Alice et Fred qui n'avaient pas de vacances en amoureux. Aujourd'hui, Juliette avait fait sa rentrée en première. Alice avait quitté le bureau plus tôt pour rentrer se reposer. Lorsque Fred rentra elle était allongée dans le canapé à lire.

- Qu'est-ce qu'il t'arrive pour partir du bureau si tôt ?
- Je crois j'ai besoin de jours de repos, je m'endormais en relisant les éléments du dossier.
- Dodo tôt alors mon amour ? Et après cette affaire on prend quelques jours ?
- Alors la je dis oui sans hésiter une seconde.
- Elle est où ma fille ?
- ta fille est rentrée poser ses affaires et elle a demandé si elle pouvait ressortir avec ses copines je lui ai dit que oui.
- Elle les voit beaucoup ses copines depuis qu'elle est rentrée y a deux semaines non ?
- Mais non Fred, elle est jeune, elle a raison de profiter et l'année a pas encore vraiment commencé. Puis tu devrais être content elle sorte, elle voit du monde, elle reprend goût à la vie.
- C'est vrai qu'elle a l'air bien heureuse en ce moment, ça faisait longtemps. Mais dites moi madame la juge vous avez l'air de beaucoup la défendre, qu'est ce qu'elle me cache ?
- Oula commandant vous devenez parano.
- Je suis rentrée ! Fit Juliette.
- Alors cette rentrée ? Demanda Fred.
- Une rentrée, rien de fou. J'ai récupéré mon emploi du temps et mes livres c'est tout.
- T'étais avec qui ?
- Julia, Mélanie et Marion
- C'est laquelle des trois qui te fait des suçons dans le cou ?
- Laisse la rho !
- C'est Max.
- C'est qui Max ?
- Max c'est mon petit copain.
- Toi tu savais ?
- Oui je savais. Mais elle m'a fait promettre de pas te dire pour pas que tu t'énerves. Mais je surveillais la situation.
- Ok. Si je vous dérange toute les deux dites le tout de suite.
- papa ce n'est pas ça. C'est juste que j'avais peur de ta réaction. Je te connais.
- Je suis horrible à ce point là ?
- Non, t'es un papa merveilleux mais on ne va pas se mentir quand il est question des garçons t'oublies que j'ai 16ans.
- Il t'a pas fais de mal au moins ?
- papa je suis heureuse, il est incroyable avec moi et ça me fait du bien. Et si tu veux tout savoir on ne l'a pas fait. Et on ne le fera pas tant que je me sentirai pas prête.
- Ça fait combien de temps ?
- 3 mois.
- Et toi t'es au courant depuis longtemps ?
- Un peu plus de 3 mois. Elle m'en a parlé quand elle hésitait à se lançait dans tout ça par peur de souffrir.
- Je vois. Par contre quand il vient à la maison la porte de la chambre reste ouverte mademoiselle.
- Promis.

Fred passa en cuisine pour préparer le diner. Ils mangèrent en famille et profitèrent d'un moment tranquille tout les trois devant un film. Alice c'était endormie des le début du film contre Fred.

- Je vais aller dormir moi.
- Tu veux pas regarder la fin ?
- Non je m'endors.
- Bonne nuit alors ma princesse !
- Bonne nuit mon petit papa ! Eh ?
- Oui ?
- Je serai toujours ton petit bébé, tu le sais ça ?
- Je t'aime fort mon trésor !
- Moi aussi je t'aime fort papa !

Juliette embrassa son papa avant d'aller se coucher. Une fois le film fini Fred porta Alice jusque dans le lit.

- Toi t'es vraiment fatiguée ! Dit il en passant sa main dans les cheveux de sa belle.

Alice ne se réveilla pas et continua sa nuit contre Fred. Ce dernier fini par s'endormir aussi. Lorsqu'il se réveilla, Alice dormait encore, elle avait une main sur son ventre, Fred sourit. Il imaginait cette même image avec un ventre arrondi. Il espérait qu'une chose, qu'elle retombe enceinte. Il savait qu'ils avaient dit qu'ils ne se mettraient pas la pression mais il avait tellement espérait qu'elle retombe enceinte rapidement,

- Mon amour faut se réveiller !
- Hm non.
- Si Si.
- Je suis fatiguée.
- Je vois ça. Et je voulais te dire...
- Oui ?
- Merci d'être si merveilleuse avec ma fille !
- Je l'aime beaucoup ta fille.
- ça se voit. Faut se lever on va être en retard.

Et puis un jour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant