Chapitre 53

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Les jours défilaient, on était arrivé fin juin, Juliette passait ses épreuves du bac. Elle passait ses journée à réviser avec Alice.

- Bon si on faisait une pause ? S'exclama Alice.
- Je peux inviter Max à venir réviser un peu avec moi ?
- Si tu veux. Je vais aller faire un petit tour au palais avec Mina et voir ton père.
- Tu m'envoies un sms quand vous quittez la crime ?
- C'est bien parce que ça fait trois jours que tu bosses à fond.
- Merci Alice.
- Bon mademoiselle on va aller voir tonton, marraine et papa nous. Fit Alice a Mina.

Elle se leva pour changer son petit bout. Elle lui mit une petite veste à sa fille et elles quittèrent toute les deux l'appartement en direction du palais. Alice retrouva Victor et Valérie à la cafétéria.

- Ma beauté et ma princesse ! Maman elle a mis ta jolie petite robe.
- Oui on C'est fait belle pour venir voir marraine et son papa.
- Et tonton non ? Fit Victor.
- Évidement que si mon petit Victor tonton aussi. Mais faut que vous passiez à la maison aussi. Nous on s'ennuie toute les deux... enfin en ce moment on aide Juliette à réviser son bac.
- me dis pas Ça beauté je suis capable de venir tout les jours pour voir cette petite bouille d'amour.
- Oh bah je dirais pas non.

Alice discuta avec ses amis un long moment avant d'aller faire un tour à la crime.

- Toc toc toc !
- Oh Alice ! madame la Juge Monier si vous voulez bien excusez !
- Oui bien sur allez y !

Fred se leva pour serrer sa belle dans ses bras, il lui déposa un tendre baiser à la vu de tous avant de se pencher vers la poussette de Mina.

- T'es venu avec maman mon trésor ! Fit Fred en prenant sa fille fièrement dans ses bras.
- On se disait qu'on te voyait plus trop du coup on c'est préparé pour venir te voir.
- ça me fait plaisir !
- qu'est ce qu'il y a ? j'ai l'impression de te déranger...
- Jamais tu me déranges mon amour ! Dit il en l'embrassant à nouveau. C'est juste une affaire compliquée, qui me prendre un peu la tête.
- Je vois bien t'es tendu en ce moment. Mais dis toi que je reprend du service Lundi...
- Lundi ?
- Oui je viens de voir le president du palais.
- Ça veut dire que tu vas recommencer à travailler avec moi ?
- C'est ça même. Au début comme quand j'étais enceinte un peu au bureau et un peu à la maison pour ce petit trésor mais oui ensemble.
- Ça te dit d'aller profiter du beau temps et du sommeil de cette petite princesse sur les quais ? Dit il en posant sa fille délicatement dans sa poussette.
- Comme avant.
- Comme avant !

Ils quittèrent la crime l'un contre l'autre, Fred s'installa sur le banc attirant Alice dans ses bras.

- J'aime bien quand vous êtes jalouse madame la juge !
- Je ne vois pas ce que vous voulez dire commandant.
- Je t'aime !
- Je doute tellement de moi en ce moment que là voir si belle, si sûr d'elle dans ton bureau.
- Mon amour Elle ne t'arrivera jamais à la cheville.
- Elle aussi tu l'appelles madame la juge !
- tu voudrais que je l'appelle comment ? Elle est juge et elle est une madame. Mais jamais jamais je l'appellerai madame la juge avec cette envie irrésistible de l'embrasser comme j'ai envie de t'embrasser. Puis elle n'a pas ce sourire qui me fait craquer, ton regard si tendre. Puis il n'y a qu'à toi que je suis connectée que ça soit dans la vie perso ou au travail.
- On se mari quand ?
- Quand tu veux !
- J'aurais le droit à ma robe de princesse ?
- T'auras le droit a tout ce que tu veux, je veux que ça soit le plus beau jour de ta vie. Celui dont tu as rêvé petite fille.
- Je vais te surprendre mais je ne l'ai jamais imaginé.
- Ah Oui ?
- ça ne fait qu'un mois que je m'y intéresse depuis que tu m'as mis cette bague au doigt.

Mina se réveilla, Fred ne pu s'empêcher de la prendre dans ses bras, il lui donna son biberon, tout en gardant Alice contre lui, elle avait sa tête posé sur son épaule.

Et puis un jour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant