Chapitre 68

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Les jeunes mariés finirent par rejoindre l'hôtel de Joséphine pour retrouver leurs amis et leur famille.

- Je vais aller poser ta robe dans la chambre.
- Non Fred attend.
- Quoi ?
- J'ai prête ma chambre à ta fille et son petit copain.
- Je vois donc je la laisse dans la voiture pour l'instant.
- Voilà. Oh regarde y en a une qui s'amuse bien.

Alice a peine sortie de la voiture se dirigea dans les jardins de l'hôtel où sa fille jouait avec Colette.

- Regarde petite puce qui c'est qui est là !
- Ma-man !
- Mon amour t'as bien dormi avec mamie et papy ? Oh bah C'est un gros câlin, je t'ai manqué.
- Elle C'est réveillé quand on est monté ce coucher, elle a réclamé maman un peu mais elle c'est vite endormi.
- C'est deux nuits un peu bizarre d'affilée, dans des lieux diffèrent à chaque fois. Ce soir tu vas faire dodo avec papa et maman et même je pense que maman va faire la sieste avec toi.
- La nuit a été courte ?
- Sans parler de tout qui retombe, le stress et tout.
- t'as l'air heureuse.
- Comment ne pas l'être, je me suis mariée avec l'homme de ma vie, j'ai une merveilleuse petite fille et bientôt le petit frère ou la petite sœur.
- Oh c'est génial ça ! Félicitations Alice !
- papa t'avais pas dit ?
- Non, il me l'avait pas dit.
- On l'a pas encore dit à Juliette donc pour l'instant c'est encore un peu secret.
- Ne t'en fais pas je ne dirais rien.

Alice sourit et remonta avec sa fille vers l'hôtel. Elle retrouva tout le monde dans la salle à discuter.

- Ah bah enfin vous voilà ! Vous avez dormi quand même ? Fit Valerie.
- Je te trouve bien curieuse ! S'exclama Fred en passant sa main dans le dos d'Alice.
- Vu le sourire radieux de ta femme Fred je sais que vous n'avez pas fait que dormir.
- Bon ça suffit oui. Ajouta Alice. La grande elle dort toujours ?
- On ne l'a pas encore vu.
- D'accord. Je te confie celle ci. Et toi viens avec moi.

Alice monta avec Fred elle toqua à la porte en disant que c'était eux et qu'ils avaient besoin de lui parler. Ils attendirent devant la porte de la chambre. Fred regardait Alice suspicieux.

- Max tu peux nous laisser s'il te plaît. On n'en pas pour longtemps.
- Euuuh oui bien sur madame Marquand !
- Je t'ai déjà dit de m'appeler Alice.

Ils s'installèrent sur le canapé avec Juliette au centre.

- Vous me faites peur... Fit la jeune fille.
- Rien de grave. Répondit Alice. Juste avec ton père on avait quelque chose à t'annoncer.
- Oui ?
- C'est assez inattendu mais on va avoir un deuxième bébé.
- C'est vrai ?
- Oui... On voulait prendre le temps de te l'annoncer parce que ta grand mère et mon père sont déjà au courant. On ne voulait pas que tu l'apprennes par quelqu'un d'autres.
- C'est chouette mais j'espère que vous savez que l'année prochaine je serai plus à la maison ?
- On le sait ma puce. Fit Fred.
- Vous le méritez ce bonheur tout les deux. Puis je pourrais les garder certains week-ends.
- Je t'aime ma fille !

Ils se prirent tout les trois dans les bras avant de descendre manger avec tout le monde en bas. Ils étaient tous à rire. L'après midi ce passait bien. Mina dormait dans les bras de sa maman qui était elle dans les bras de son mari, la tête dans le creux de son cou.

- Ça fait un moment qu'on n'à pas vu ma mère.
- C'est vrai ça.
- Je l'ai trouvé bizarre à la fin du repas.
- Un peu.
- Je vais monter.
- Fred attend je vais venir avec toi.

Alice se leva et posa Mina dans les bras de son père avant de partir avec Fred.

- Vous allez où ? La nuit vous a pas suffit ?
- Val C'est pas le moment pour Les vannes douteuses.
- Qu'Est ce qu'il y a ?
- Rien.

Et puis un jour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant