De retour à Paris, Alice et Fred récupèrent Juliette. Ils profitèrent de la journée en famille. Quelques semaines étaient passé, Fred était en cuisine à préparer le dîner.
- Tu veux que je t'aide ? Fit Alice.
- Non tout est prêt mon amour ! Je file à la douche. T'es sublime !
- Merci.
Alice retourna dans le salon, elle regardait par la fenêtre en attendant son père.
- Toi aussi tu fais la fête mon trésor ! J'ai hâte que ton papa puisse sentir tes petits coups.
- Tu le sens ? Demanda Juliette.
- Oui depuis 3 semaines mais on ne peut pas encore le sentir à la main. J'ai hâte de savourer ses moments avec ton père.
- Il doit avoir hâte aussi.
- Oh oui il est complètement gaga. Et toi ma belle comment tu prends tout ça ?
- Je sais pas je réalise pas trop pour l'instant mais je suis contente.
- Tu sais que si tu as envie d'en parler, de ça ou d'autre chose je suis là ?
- Oui je sais. Merci Alice.
Alice prit la jeune fille dans ses bras jusqu'a être coupé par la sonnerie de la porte d'entrée. Alice fila ouvrir.
- Bonsoir Joséphine !
- Alice vous êtes rayonnante ! Le bébé pousse.
- Oh oui pour pousser, il pousse. Mais c'est quoi tout ça ?
- C'est Noel non ? Et le dernier cadeau est encore dans le coffre.
- Mais fallait pas. Mettez sous le sapin.
- Fallait pas mais vous vous êtes pas gêné.
- C'est votre fils pour le bébé la majorité des cadeaux. Noël dans le ventre de maman et deja pourri gâté.
Alice répéta exactement la même conversation lorsque son père arriva, les mains chargées. Il redescendit avec Joséphine pour l'aider à monter son dernier cadeau.
- Non mais vous êtes fou ! Ça me gêne.
- Mais non c'est normal.
- Je vous laisse avec Juliette je vais voir où reste traîner mon homme.
- Oui vas y ma puce ! Fit Jacques.
Alice s'éclipsa dans sa chambre en espérant re trouver les bras réconfortants de Fred.
- Qu'Est ce qu'il t'arrive mon amour ?
- Ils ont tous débarqué avec des cadeaux pour le bébé... ça m'angoisse. C'est plus un petit carton qu'on peut cacher dans un coin.
- Mon amour, rappelle toi ce qu'à dit le docteur hier. Tout va bien. Et si vraiment ça t'angoisse n'oublie pas que ton père comme ma mère sont capable de comprendre que c'est compliqué pour toi.
- J'ai peur de les décevoir.
- ce qu'on va faire c'est qu'on va ouvrir certains paquets et si jamais tu ne te sens pas de tous les ouvrir on les mettra dans sa chambre et on les ouvrira plus tard quand tu seras prête.
- Merci mon amour !
Fred lui déposa un baiser sur le front avant de la prendre dans ses bras pour l'entraîner vers le salon.
- Mon Pipou comment tu vas ?
- Ça va maman ! Vous avez braqué le père Noël en route ? Vous savez qu'Alice est tout juste enceinte de 5 mois. Vous avez lui offrir quoi à la naissance ?
- On trouvera ne t'en fais pas pour ça.
- Pourris gâté qu'il va être ce bébé ! S'exclama Alice en s'installant dans le fauteuil.
- Assez parlé des cadeaux, de toute façon ce n'est pas pour tout de suite. Fini par dire Fred.
Il servit un verre à tout le monde en apportant un plateau avec ce qu'il avait préparé pour l'apéritif.
- C'est super bon mon petit Fred.
- Merci Jacques !
- cet homme est un vrai cordon bleu. Et il a passé l'après midi en cuisine pour ce soir. Fit Alice en passant sa main sur le bras de Fred.
- Ça doit te changer ma chérie, toi qui n'est pas une grande cuisinière.
- C'est vrai.
- Elle c'est nettement améliorée en un an. Affirma Fred.
- il dit ça mais il arrête pas de répéter à mon ventre qu'il va lui apprendre à me cuisiner de bons petits plats.
Tout le monde ria avant de se diriger vers la table qu'avait dressé Alice et Juliette pour l'occasion. Fred profita de ce mouvement pour glisser des mots doux à l'oreille de sa belle et lui déposer un baiser dans le cou. Alice posa sa main sur sa joue profitant de ce tendre moment pendant que Fred lui caressa le ventre.
