Chapitre 74

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Alice et Fred rentrèrent chez eux tranquillement. Valérie et Martin passèrent prendre le goûter.

- On à un truc à vous dire ! Fit Valerie en prenant la main de Martin.
- Alors ? Demanda Alice.
- Bah on veut que Fred et toi vous soyez le parrain et la marraine de notre fils.
- De votre fils ? S'étonna Fred.
- Eh oui mon petit Fred je vais avoir un fils. S'exclama fièrement Martin. Et toi alors ?
- Moi y en a deux en route en même temps et que des filles.
- Soit pas déçu mon amour, tu sais une fille sa voue une réelle admiration pour son papa et la t'en auras trois pour t'admirer.
- Vu comme ça.

Fred embrassa sa femme, puis ils continuèrent leur petit moment entre amis. Ils savourèrent ce moment partagé avec leur meilleurs amis. Ils montrèrent les visuels de leur maison qui était en cours de construction depuis plus de deux semaines maintenant.

- Vous devez avoirs hâte ! Fit Valérie.
- Oui elle va être magnifique notre maison et puis des que les jumelles sont nées, on part vivre la bas.
- Une nouvelle vie ?
- Oui une nouvelle vie et ça me fait un bien fou d'essayer de construire quelque chose de nouveau, sans cadavre. Et des que la maison est fini on y emménage et on vous invite.
- Vous allez où en attendant ?
- Il y a une partie de l'hôtel qui est un logement. Après on le louera.
- Et la maison de ta mère ?
- La maison de ma mère je continue à la louer, je me vois pas y vivre.
- Oui je comprend.
- Maman !
- Oui mon petit cœur ? Tu joues avec tes animaux ?
- Ca-i-in
- Viens la faire un câlin alors !

Mina se leva et couru dans les bras de sa maman pour lui faire un câlin.
Trois semaines plus tard, Alice continuait à se traîner en espérant accoucher.

- Mon amour tu devrais pas être debout !
- Je prépare le biberon de Mina, t'étais à la douche j'allais pas la laisser hurler.
- Mouais.
- Et Juliette dort encore. Puis faut bien que je bouge un peu.
- Bah maintenant que t'as bougé un petit peu tu peux aller t'allonger.
- Oui Oui. Laisse moi passer alors parce que je peux plus me faufiler entre toi et plan de travail.

Fred se décala et au moment où elle fut à son niveau il la prit dans ses bras, lui déposa un baiser dans le cou, lui passant la main sur son ventre.

- Il est dur ton ventre.
- Ah Oui tiens ! Ouh! Dit elle en attrapant la main de Fred pour la serrer.
- Contraction ?
- Oui.
- va t'allonger.

Alice alla au toilette avant d'écouter son mari. Lorsqu'elle revint dans le salon, son visage C'était décomposé.

- Ma chérie ça va ?
- Reveille Juliette faut qu'on aille à l'hôpital.
- Qu'Est ce qui se passe?
- Je perds du sang.
- On respire.
- Oui Oui mais dépêche toi.

Fred se dépêcha de prévenir sa fille qu'elle devait s'occuper de Mina car avec Alice il devait aller à l'hôpital. La jeune fille se leva tout heureuse faut dire que son avion pour Chicago était dans une semaine elle voulait voir ses petits sœurs avant de partir. Une fois à l'hôpital Alice était vraiment inquiète. Fred lui attrapa la main, en essayant de la réconforter, de lui dire que ce n'était pas grave.

- Il a raison votre mari, faut pas trop regarder de film. Un saignement si prêt de l'accouchement ce n'est pas forcément très grave. Le travail va commencer, on attend encore un petit peu. Je repasse d'ici une heure. Si vous perdez les eaux par contre faudra appeler.
- D'accord merci.

Alice passa une bonne partie de la journée à essayer de marcher pour provoquer la perte des eaux.

- Je vais être à bout de force avant que l'accouchement commence. Fit Alice en pleurant.
- Mon amour ca va Aller ! Je suis là, je te lâche pas. Dit il en la prenant dans ses bras. Ça va aller d'accord.
- Madame Marquand vous pouvez vous réinstaller que je vois ou en est le travail ?
- Euh Oui.
- On va pouvoir percer la première poche des eaux.

Et puis un jour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant