Alice était heureuse entourée des gens qu'elle aimait. La soirée passa tranquillement, elle profita au maximum de chaque seconde. Tout le monde se mit à chanter, lorsque le gâteau arriva.
- C'est que ma beauté tu prendrais presque goût à ton anniversaire ?
- Grâce à lui. Dit elle en prenant la main de Fred.
- J'ai réussi à te rendre le sourire et en plus à te faire apprécier ton anniversaire.
- Bravo Fred ! Fit Valérie.Ils mangèrent le gâteau tous ensemble puis Alice sortie marcher sur la plage avec son père.
- Pourquoi t'es pas venu me voir depuis trois mois ?
- ça a pas été facile papa, je n'avais pas envie que tu me vois mal.
- C'est Fred ?
- Non Fred il a été merveilleux, il m'a soutenu, il m'a pas lâché une seconde et depuis hier il arrive même à me faire me sentir bien.
- C'est quoi alors ?
- J'avais pas la force de mettre des mots sur tout ça.
- Sur tout quoi ma puce ?
- j'étais enceinte et j'ai perdu le bébé.
- Ma chérie, t'aurais du m'appeler.
- J'avais pas envie qu'on me plaigne. J'avais pas envie qu'on soit triste pour moi. J'avais assez de Fred qui l'était. Je suis désolé papa !
- Ne soit pas désolé. J'ai un petit quelque chose pour toi.
- Tu sais que j'aime pas mon anniversaire ni les surprises.
- Je l'ai chaque année pour ton anniversaire avec moi et j'attendais le jour où tu serais heureuse. Il me semble que aujourd'hui tu l'es. Je t'ai jamais vu aussi heureuse un jour d'anniversaire alors je me suis dit que c'était le bon moment. Tiens !
- C'était le collier de maman.
- Oui. Elle aurait voulu que tu l'es. Il lui venait de ta grand mère.
- Merci papa !Alice fondit en larmes dans les bras de son papa avant d'être rejoint par Juliette, Valérie et Fred.
- Merci d'être là tous les 4 ! Merci mon amour pour cette belle surprise, tu as su m'offrir ce don j'avais le plus besoin, une soirée avec les gens qui comptent le plus dans ma vie. Mon petit papa, ma jumelle, ma petite puce qui a trouvé une grande place dans mon cœur et toi l'être le plus important à mes côtés aujourd'hui.
Juliette ne pu retenir ses larmes en entendant les mots d'Alice et se jeta dans ses bras.
- Oh bah non ma puce mais faut pas pleurer. Dit Alice.
- Merci d'être dans ma vie. Murmura la jeune fille.Alice garda Juliette un moment dans ses bras. Puis tout le monde regagna l'hôtel.
- Vous dormez tous la ?
- Evidemment. Fit Valérie. Je ramène tout ce petit monde à Paris que demain soir. Ton père dort chez toi jusqu'à ce que vous rentrez. La miss je la ramène à sa grand mère qui a eu beaucoup de mal à me la laisser.
- Je suis désolé Val elle est pas facile sa grand mère maternelle mais ça part toujours d'un bon fond.
- T'inquiètes Fred quand t'as eu ma mère tu sais gérer toute les mères de la terre. Bon du coup on se voit demain pour le petit déjeuner ?
- C'est ça ! Fit Fred.
- Bonne nuit les amoureux ! Répondit Valérie.
- Bonne nuit tout le monde ! Enchaîna Jacques.
- Je peux dormir avec vous ? Demanda Juliette.
- Je... Fit Fred en regardant Alice.
- Si tu veux ma puce. Fini par dire cette dernière.Tout le monde monta dans sa chambre, Alice et Juliette passèrent en première dans la salle de bain pour se préparer à dormir. Lorsque Fred sorti de sa douche après elles, il les retrouva endormi, l'une contre l'autre enlacé. Elle c'était endormi en discutant. Il se glissa dans le lit contre sa belle, essayant de ne réveiller personne. Au milieu de la nuit, il fut sorti de son sommeil par la voix d'Alice.
- Qu'Est ce que vous faites au milieu de la nuit comme ça ?
- Mademoiselle à fait un cauchemar, donc je la réconforte.
- Et je disais à Alice que ça faisait du bien de la voir plus heureuse.
- ça c'est vrai que ça fait du bien. Fit Fred en serrant sa compagne contre lui. Par contre mademoiselle quand on rentre à Paris...
- Oui je sais faut que j'essaie de plus dormir avec vous du tout.
- Oui parce que depuis.... Fin tu vois je trouve que tu dors de moins en moins dans ta chambre. Quand c'est pas avec nous c'est dans le salon.
- Je pourrais changer ma déco, c'est celle que j'avais chez maman et des que je regarde partout c'est elle que je vois.
- Tout ce que tu veux ma puce. Tant que tu dors dans ta chambre.
- Je vais finir la nuit dans ma chambre. J'ai bien compris que je te dérange.
- Juliette ce n'est pas un reproche c'est pour toi.
- On en reparlera demain.
