La journée continua très calmement. Alice profita de ses proches. Le soir venu il fut difficile pour elle de les voir s'en aller. Même si elle profita au maximum des jours avec Fred. Le retour à Paris après 5 jours fut très compliqué, surtout que sur la route il fut appeler pour intervenir sur une nouvelle scène de crime. Alice sorti de la voiture en jean basket, c'était assez rare de la voir comme ça sur une scène de crime.
- Bonsoir Madame la juge ! Commandant !
- Djibril qu'est ce que l'on a ? Demanda Alice.
- Une jeune de femme de 26ans, elle était sans emplois c'est son petit ami qui l'a retrouvé en rentrant du travail, on a déjà vérifié son alibi.
- Merci.
Ils se dirigèrent vers le corps, Alice souffla en voyant Jérôme.
- T'espérais qu'il soit malade ? Chuchota Fred.
- Oui. Ou mieux qu'il est décidé de demander sa mutation.
- rien que ça. Ria Fred.
- Oh Alice tu es magnifique !
- La victime Jérôme, la victime ! Fit Fred.
- Oui pardon. Elle est morte pars strangulations, vu les traces dans son cou je dirais que c'est sûrement une femme vu la traces des ongles. Ou alors un homme avec des ongles plutôt long.
- D'accord, Merci. Répondit Fred en s'éloignant.
- Euh Alice ?
- Oui ?
- Je voulais savoir si tu serais d'accord d'aller dîner avec moi un soir ?
- Jérôme ce n'est pas sérieux. Il me semble avoir été clair y a 15ans.
- Oui... Mais comme on a évolué tout les deux... je me disais...
- Tu te disais rien du tout.
Alice rattrapa Fred et lui attrapa la main sous l'œil suspicieux de Jérôme, se sentant observée elle s'arrêta pour l'embrasser tendrement.
- C'est votre manière d'officialiser madame La juge ?
- il était temps non ?
- C'est vrai. Il nous regarde c'est ça ?
- Je pense qu'il est sûrement au bord de la crise cardiaque mais ce n'est pas grave. Puis y a mon lit qui m'appelle.
Fred sourit passant son bras dans le dos de sa belle. Ils avancèrent heureux, sur le chemin vers leur voiture ils s'arrêtèrent pour faire un dernier point avec Djibril. Puis ils rentrèrent chez eux. A peine arrivé Alice fila se coucher et s'endormit avant même que Fred eu le temps de la rejoindre. Il la regarda un moment avant de s'endormir à son tour.
- Mon amour !
- hmm.
- Djibril a appelé faut que j'aille en intervention.
- il est que 5 heures.
- Je sais bien mais tu peux continuer à dormir un petit peu.
- Tu fais attention à toi ?
- Promis.
Il l'embrassa tendrement avant de quitter la pièce. Alice se rendormit difficilement. Lorsque son réveil sonna, elle râla en voyant l'autre côté du lit vide se rappelant qu'il était parti. Elle voulait retourner en week-end.
- Le petit déjeuner de madame est servi !
- Je croyais que tu partais en intervention.
- Je l'ai mis au frais en t'attendant et en voyant l'heure je me suis dit que tu devais dormir encore alors je suis repassé à la maison.
- T'es trop mignon.
- Notre fin de week-end à été un petit peu prématuré, le petit déjeuner ce matin, c'était un minimum.
- Et ce soir un bain en amoureux ?
- Ce soir je récupère Juliette chez Agathe je vais en entendre parler pour ton anniversaire. On verra en fonction de la soirée ? Et au pire demain ?
- ça me va demain aussi, tant qu'au milieu de ta fille et de notre travail on arrive à se trouver des moments tout les deux, tout me va.
- ça fait du bien de te retrouver comme ça, tout sourire.
- J'ai envie de rester comme ça dans tes bras toute la journée.
- Je me doute mais va falloir aller travailler.
- On en est où ?
- On en est qu'on a arrêté son meilleur ami qui lui envoyer des menaces par messages.
- Le cliché du meilleur ami amoureux, jaloux ?
- Je ne sais pas c'est la piste qu'on a pour l'instant.
- Si il avoue ça serait presque trop beau.
Fred et Alice profitèrent aussi maximum de ce début de matinée avant qu'Alice ne s'éclipse dans la salle de bain. Fred en profita pour débarrasser le petit déjeuner. La journée fut longue. Leur suspect était assez coriace. Fred vers 17heures, alla au palais chercher sa belle avant d'aller chercher Juliette.
