Prisonnier à plus d'un titre

Chapitre 52

PDV Taehyung

La début de ce chapitre comportera des préliminaires donc je vous laisse le choix de le lire ou non. Si vous continuez, je vous souhaite une bonne lecture 😉

Je ne comprends pas le sens de ses propos tout de suite mais tout s'éclaire quand il percute ses lèvres contre les miennes et force ma bouche à s'ouvrir. Je m'accroche à ses cuisses pour me raccrocher à la réalité. Je suis au paradis. Il enlève sa bouche tout aussi rapidement qu'il l'a mis. Je poursuis ses lèvres voulant à tout prix retrouver la divine sensation d'il y a quelques secondes. Il repousse mon torse contre le matelas, enchaînant avec un sourire railleur.

"- JK: Reste tranquille Taetae.
- Tu resterais tranquille si le plus bel homme de l'univers se trouvait au-dessus de toi?
- JK: J'y suis bien arrivé moi. Maintenant tais-toi et profite."

Il lèche toute ma joue de sa longue langue, ça m'allume d'une manière bizarre, je dois avouer ne jamais avoir eu un de mes partenaires qui a fait ça. Une première fois avec Jungkook ! Sa langue descend de mon menton jusqu'à ma gorge où il s'acharne pour me faire le plus de suçons possible.

"- Bébé, tu vas trouver mon sang si tu mets autant de force.
- JK: Si je ne le fais pas, ils vont guérir trop vite et tout le monde va te draguer. Tu es à moi, ils devraient tous se tenir loin de toi.
- Tu sais que je les repousserais tous pour toi?
- JK: Mouais, si tu t'en rends compte...
- Tu repenses encore à Jisoo c'est ça? Tu as bloqué son numéro tu te souviens.
- JK: Je me souviens... Je ne l'ai pas intimidé. La prochaine fois que quelqu'un te fais du rentre dedans alors qu'on lui a dit pour nous, je l'humilie et je l'envoie dans le décor. Je m'attends à ce que tu supprimes de toi-même les éventuels numéros de téléphone.
- Bébé tu es tellement sexy quand tu deviens jaloux.
- JK: Je ne suis pas jaloux.
- Ha oui?
- JK: Oui.
- Tu sais le photographe dont je t'ai parlé, il a encore voulu qu'on aille boire un verre ensemble, il m'a même dit qu'il pourrait être mon sal petit secret.
- JK: Comment ose-t-il! Lui as-tu même dit que tu étais pris?
- J'avais des suçons aussi gros qu'un manoir sur mon cou, mes clavicules et mes épaules.
- JK : Tu ne lui as pas dit.
- Je lui ai dit que j'avais un fiancé merveilleux, intelligent, gentil, sublime et qui était aussi très jaloux et possessif.
- JK: Tu n'es pas allé boire un verre avec lui rassure-moi.
- Jamais.
- JK: Je vais continuer ce que j'avais initié alors."

Il allait me laisser en plan après que ce soit lui qui ait insisté pour que je me branle en le regardant ? Il envahit ma poitrine formant encore d'autres suçons douloureux, il effleure un téton ce qui me donne une sensation entre le très désagréable et le plaisir. Je dois avouer que ça n'a jamais été trop mon truc. Voyant que l'effet escompté n'a pas été réalisé, il n'insiste pas plus. Il va plutôt droit au but et souffle sur mon caleçon, je peux ressentir le souffle froid malgré la barrière, mon érection augmente de volume au traitement. Sa langue passe tout autour de l'élastique, parfois franchissant un petit centimètre en dessous mais jamais plus. Il me regarde pendant toute la manigance, m'envoyant des regards brûlants et sensuels qui vont vous savez où. Il lèche une bande sur le dessus récoltant une partie du préjaculat et gémit, je jure bruyamment et agrippe avec force ses fesses. Il glousse à mon manque de contrôle et s'amuse à me torturer. En me le faisant deux autres fois. Il m'offre une si belle vue, fichus yeux innocents alors qu'il me lèche sans vergogne.

"- JK: Comment me veux-tu ? Mon cerveau à court-circuiter, je n'arrive pas à comprendre sa question. Il le remarque et se moque de moi. J'ai fini de m'amuser, c'est à ton tour maintenant.
- Allonge-toi sur le dos, jambes écartées. Je lui donne les ordres qu'il doit effectuer d'une voix ferme. Est-ce que je peux jouir sur toi?
- JK: Tant que tu m'emmènes à la salle de bain et que tu me baignes ensuite oui."