3. Doigt.

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Ce chapitre contient des scènes qui peuvent heurter les plus sensibles. ( Torture, sang, ect. )

Par précaution, je préfère vous prévenir à l'avance.

Bonne lecture mes anges <3

PDV de Ezio :

Adossé au mur, cigarette au bec, contemplant la scène qui se passe face à moi.

Un des hommes de Ricardo a essayé de s'infiltrer dans notre propriété, erreur de débutant.

Ce figlio di puttana ( fils de pute ) est attaché à une chaise, les mains ligoté derrière le dos et les jambes autour des pieds de chaise. Son visage est remplit de balafres, un œil gonflé dont il ne peut plus l'ouvrir.

Trois gardes sont positionner autour de lui et Livio devant lui, les mains croisées derrière le dos.

-Non lo dirò più, cosa ci fai qui ? ( Je ne le répéterais pas, qu'est-ce que tu fais ici ? )

Le concerné ne répond pas, mon oncle sert les poings puis ordonne à ses gardes de tenir celui-ci.

J'interviens en posant une main sur l'épaule de mio zio ( mon oncle ), ce dernier respire bruyamment.

-Occupe-toi de cette enfoiré, si il ne ce décide pas à parler. Uccidilo. lance-t-il en grognant. ( Tue-le. )

J'acquise d'un signe de tête puis il sort de la pièce, je m'approche de l'individu et attrape son visage en coupe, il gémit de douleur à cause de ma poigne.

-Apri la bocca. ( Ouvre ta grande gueule. )

Son seul œil ouvert me dévisage, la seconde d'après, sa bouche s'ouvre pour y ressortir un cracha, mélanger avec du sang, en plein dans le mille.

Je ferme les yeux essayant de me contrôler, mais c'est peine perdu. Je m'essuie le visage avec ma manche. De deux doigt, j'exige au gardes de le tenir fermement. Je m'empare de la lame, aiguisé spécialement pour lui, je la fais tourner entre mes doigts tout en m'approchant de lui.

Du bout de larme blanche, je trace le long de son bras, ses gémissement de douleurs sortent de sa bocca ( bouche ), ses dents sont prêtent à exploser sous la pression qu'il exerce, je saisie une chaise et la place devant lui, regardant le sang dégoulinant de son pauvre bras.

J'ordonne au gardes d'emmener une petite table et de la placer entre lui et moi, ils obéissent en déposant cette fameuse table qui en a connu des vertes et des pas mûres.

Je prends sa main et la dépose à plat sur la table, face à moi.

-Lo faremo breve, una domanda, una risposta. Nessuna risposta, un dito in meno. ( Nous allons faire court, une question, une réponse. Pas de réponse, un doigt de moins. )

Ses yeux s'écarquillent, je forme un petit rictus en coin avant de poser ma première question.

-Perché lavori per l'altro boia ? ( Pourquoi travailles-tu pour l'autre bourreau ? )

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