15. Repas de famille.

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PDV de Nella :

-Putain de merde, pour une petite maison, elle est bien foutue. s'exprime le mec qui me sert de cousin.

Evelina et Ezio sont actuellement assit sur un canapé fait main, avec des palettes de bois et de minis coussins, dans le sorte de petit jardin. Je suis placer devant eux.

-Alors, ta vie ici ? demande Eve'

-Nul. Chiante. Pathétique. À chier. Dégeulasse. Tout les mots possibles pour décrire que c'est de la merde. répondais-je en repoussant mes lunettes de soleil dans mes cheveux.

-T'es dure quand même. Ezio pose ses pieds sur la table entre nous.

-Absolument pas. Je m'ennuie à en mourir, j'ai un garde du corps qui veut ma mort, je peux pas sortir et, pour finir, je vous vois plus !

-Attends. mon cousin enlève ses pieds de la table puis s'abaisse, les coudes sur les genoux, les doigts entrelacés entre eux. Un garde du corps qui veut ta mort ?

-Ouais !

Il hausse un sourcil, puis mord sa lèvre. Je connais ce mouvement, faut que je raconte, et vite.

-Bon, il a peut-être pointé son flingue sur mon front. je pose ma main sur ma bouche, car je sais très bien que je n'aurais pas dû dire la vérité.

Ses narines se dilatent rapidement, et ses poings se serrent d'avantages. Avant même qu'il puisse se lever, je lui bondis dessus. Mon corps affalés sur le sien, et mes mains sur sa bouche.

-Non..non, non, non. Tu vas laisser tes fesses posées  sur ce canapé tout bizarre. Il en vaut tellement pas la peine. Je préférais que tu salisses tes mains pour quelque chose qui servirait vraiment, même si, je rêve tellement que tu le fracasses en deux. Mais bref, papa va te tuer, toi aussi. Donc, tu te tais, et tu joues le cousin le plus gentil du monde, inteso ? dis-je en fessant de grand geste devant lui, ayant enlever mes mains de sa bouche. ( compris ? )

Ses yeux restent ancrés dans les miens, avant qu'il les lèves au ciel. Il empoigne mes hanches, sûrement pour me jeter autre part, mais je reste accroché à lui et le menace d'un geste du doigt. Il s'affale et souffle.

-Comme tu m'énerves quand tu t'y mets. Moi je rêve de te fracasser toi. Et l'autre trou du cul.

-Il osera jamais. susurre ma cousine, sa main à côté de sa bouche.

Ezio menace sa sœur d'un regard, elle lui envoie un sourire hypocrite. Je roule sur le côté pour atterrir à côté de lui.

-Quelle dure journée. m'exclamais-je en tapant mon front.

Je sursaute lorsque j'entends la grosse voix de mon oncle.

-SALUUUT LES JEUN'S.

-Papà ! s'écrient ses deux enfants.

-Oooh aller quoi, vous dites pas sa vous ?

-No, zio Angelo. Solo tu vecchio lo dici. dis-je en ricanant. ( Non, oncle Angelo. Seuls vous les vieux le dites. )

Le Nostre Anime MorteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant