PDV de Abigaïl :
J'offre un grand sourire au gardes puis nous entrons dans la grande villa. J'écarquille les yeux devant cette luxure. Putain, de toute façon, y'a que les hijo de puta qui sont riches comme ça. ( enfoiré )
Un garde reste dernière nous comme ci on allait tuer toute cette maison. Bon, quoique..c'est un peu vrai !
Il nous emmène dans un sorte de salon, à la Bridgerton. Des meubles comme à l'ancienne, mais qui coûte un rein. Du rouge, du dorée, du marron. Un arc en ciel à la Carl.
Soit.
Ça me démange de balancer mon pied dans les boules de l'homme derrière moi. Il arrête pas de me coller comme un chien de garde.
Un grand costaud descend l'escalier, les cheveux ébènes, une mine attristée. Et juste à sa tête, je sais qui il est. Lorsque ses yeux rencontrent les miens, mon assurance est descendu d'un coup. Mes poils de bras s'hérissent, j'ai l'impression que rien a son regard, il peut me mettre six pied sous terre.
Je me racle la gorge avant d'arborée mon incontournable faux sourire. Ses yeux me scrutent, passant correctement sur mes courbes sans aucune gêne.
Il revient enfin à mon regard tout en s'approchant de moi, il me tend la main, sans jamais me lâcher des yeux. Je ne la prend pas et lance :
-Je suis sensible au maladie, je n'aime pas toucher la main de n'importe qui.
J'accroche mon meilleur sourire accompagnée d'un clin d'œil, la mine de celui en face de moi change et il laisse tomber sa main le long de son corps. Un rire nerveux sort de sa bouche pendant que sa main caresse sa barbe naissante.
Il fait flipper.
-Bon, vous êtes là pour quoi ? dit-il, enfin, après le long silence.
Son visage s'est refermé, prenant une mine sérieuse.
-J'ai quelque chose pour toi, de la part de Gisèle.
Il fronce les sourcils, puis jette un coup d'œil à la caisse que Gabrièle porte.
-C'est quoi ça ? demande-t-il, un geste du menton vers la caisse.
-J'y viens. C'est des armes. Gisèle t'en envoie.
A l'instant où le mot « arme » a dépassé mes lèvres, un sourire en coin se dessine sur son visage. Il tourne la tête vers un garde puis dit :
-Eh toi là-bas, viens-la.
Le garde s'avance rapidement, se mettant à côté de lui.
-Prends la caisse et regarde dedans. Sur le champs, ordonne-t-il.
Il allait s'emparer de la caisse mais Gabrièle recule brusquement.
-Touches-pas. C'est moi qui les sort, balance-t-il, en fronçant les sourcils.
Le garde regarde son patron, celui-ci attend quelques secondes avant d'acquiescer. Gabrièle avance vers une table, dépose la caisse puis l'ouvre. Nous avançons vers lui, se mettant autour de lui. Le prénommée Carl est en face, inspectant les armes.
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Le Nostre Anime Morte
FanfictionIl donnerait sa vie pour la protéger. En faite, il n'a pas le choix. Costa Nostra, la plus grande mafia d'Italie. Elle se situe à Naples. Nella Sferrazza, fille du parrain de la Costa Nostra, Livio Sferrazza. À cause d'un malentendu, son père en...