Il n'ya rien de plus douloureux que la perte d'un etre cher

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Comme à mon habitude je me rend dans la maison de repos après les cours pour mon travail de bénévole. J'adorais sa! Ces petits vieillards étaient si adorable, ils avaient tant d'histoire passionnante et étaient très chaleureux mais mon préféré était sans aucun doute Mr Frédérick Robert. C'est une homme de la soixante dizaines d'années très sympathique. Il m'appelle son petit papillon c'est tellement mignon! Les autres personnes âgées dont je m'occupent étaient un peu jaloux de notre relation mais bon... on ne pouvait rien y faire.

J'arrive aux vestiaires et j'enfile mon uniforme blanc composé d'une petite robe à manche rose, qui s'arrêtait nette sur mes cuisses. Je mis mes petites tennis blanches à lacets et j'attachais mes cheveux en arrière devant le miroir tout en sifflotant. Une fois prête, je me précipitait presque dans la chambre de Mr Robert. Hier il avait commencé à me raconter une histoire mais vue qu'il se faisait tard, il ne put la terminer. Et aussi, c'est bientôt l'heure pour lui de prendre c'est médicament en plus de sa, je lui est un petit cadeau , mes fameux bronnies aux chocolats, il en raffolait! Des qu'il les voyait, il devenait comme un enfant de 5ans, tout souriant et avec des yeux tous brillants.Il n'y a que comme sa qu'il acceptait prendre ses médicaments.

C'est étonnant! Le couloir qui mène à sa chambre qui d'habitude est si brouillant à cause de son vieux poste radio qu'il laissait allumé tous les jours est aujourd'hui étrangement silencieux.
C'est bizarre sa!

Arrivée devant sa porte, je vis des infirmièrs et quelques occupant de la maison de retraite devant la porte de Mr Robert.

-Eh bien, qu'est ce que vous faite là tous? Y'a un soucis avec Frédérick, il c'est encore maladroitement bloqué dans sa chambre?

Rita, l'une des infirmières de la maison de retraite me regardait avec des yeux tristes presque en larme.

-Oh la la, ma chérie, je suis vraiment désolé.

À cet instant je compris qu'un truc clochait car tout le monde me regardait bizarrement, Laura l'une des vieilles dames les plus souriante de ma maison ce mis à pleurer et là, je pris peur. Alors sans perdre de temps, j'entra dans la chambre de Mr Robert et là, rien. Aucune trace de lui.
-Mr ROBERT, Mr ROBERT OÙ ÊTES VOUS?

Je m'affolait encore plus sous les yeux remplis de pitié de mes spectateurs. C'est là où, Mr Shesfield le directeur de l'hôpital pris son courage à deux mains et un vint vers moi.

-Ma chère Elissa, ce que je vais te dire risque de te peiner au plus au point car nous tous ici présent connaissons la complicité qu'il y'avait entre Mr Robert et toi .

- Qui y'a t'il Mr? Dis je d'une voix éraillée.

-Désolé mais, Mr Robert n'ai plus parmi nous, il nous a quitté tôt ce matin, dans son sommeil nous sommes vraiment désolé.

Tout d'un coup, je sentis mes jambes faiblir, ma gorge se sécher et la respiration se bloquer. J'étais comme paralysé et en manque d'oxygène à la fois je n'arrivais pas à y croire! Non! Non pas lui! Pas Mr Robert! Tout d'un coup je sentis ma vue devenir flou et mes joues s'humidifier et devenir chaude. Sans m'en rendre compte je me suis mis à pleurer.

-Non... Non c'est impossible, hier encore on jouait aux cartes et il me racontait une histoire de sa vie. Je lui ai quitté à 22h après l'avoir aider à se mettre au lit et tout allait bien. C'est... c'est impossible.

- Je ne sais quoi te dire ma chère mais cela n'est y pas une blague. Tient, on à retrouver ceci sur son lit ce matin
Le directeur me tant une enveloppe avec mon nom inscrit déçu. Je reconnue tout de suite l'écriture si raffinée de Mr Robert.

Ma cher Elissa,
Je suis sur qu'en ce moment tu doit être effondré à cause de moi et je suis désolé.
En effet, comme on vas te l'annoncer, je suis mort. Je souffre du cancer du cœur arriver en phase terminale depuis bientôt 2ans. Lorsque je sentis que ma mort approchait je suis allé me terrer dans cette maison de retraite pour y mourir en paix et je me suis renfermé sur moi même. C'est là que tu es arrivée. Avec ton jolie sourire et ta joie de vivre tu m'as fait passer les dernier instant de ma vie dans la joie et la gaité. Tu m'as fait voir que ce n'est pas parce que bientôt je m'en vais que je doit arrêter d'être heureux et je t'en remercie pour cela. Tu a fait en quelques mois plus que ce que ma propre famille n'a fait pour moi durant toutes ses années et je t'en remercie.
Mon magnifique papillon ne me pleur pas trop s'il te plaît. Après tout, je ne suis qu'un vieillard, tôt ou tard j'allais partir mais grâce à toi je suis partie heureux. Continue à propager ta joie de vivre au monde entier.
À Dieu mon petit papillon.

Frédérick Pieers.

Alors c'était donc vrai!

Marié sous contrat à un milliardaire sadique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant