Lorsque le desir prend le dessus

6.5K 424 26
                                    


           J'étais là, placé juste en face de lui, à le regarder dans les yeux. Je ne savais plus quoi dire ni même quoi faire après sa déclaration, mais idées n'était plus clair. Il venais pour la première fois de me dire réellement et clairement ce qu'il ressentait, d'habitude il était toujours un peu flou quand il me parlait comme s'il ne voulais pas qu'on le cerne mais cette fois si, il c'est mis a nu, ses sentiments ont pris le dessus sur son sang froid.
            Non mais je ne sais pas si j'ai rêvé mais... il viens de me dire qu'il m'aimait? Oui! Oui, il l'a bien dit, qu'il était amoureux de moi. Je crois rêver.
            Je suis toujours là à le fixer du regard et lui aussi. J'en arrive même à oublier tout ce qui c'est passé avant ma colère, ma tristesse, mon ressenti. C'est fou l'effet qu'il a sur moi! Il arrive toujours à me faire passer par des tornades d'émotions en quelques instants mais cette fois, ce que je ressentait était beaucoup plus calme, plus doux, plus chaud et me procurait une certaine quiétude interne. C'était la plus belle chose qu'il ne m'est jamais dite, c'était la plus belle chose qu'on ne mais jamais dit.
            A un moment donné, il detacha son regard de moi et se détournait un peu comme s'il venais de prendre conscience qu'il venais de se mettre à découvert lui même. Il recouvra son visage de ses deux mains comme pour remettre ses idées au clair puis, il retira sa veste et se dirrige air vers les escaliers qui mène vers l'étage au dessus.
            Je ne veux pas qu'il s'en aille! Je ne veut pas que sa s'arrête juste là! Il viens tout juste de me dit qu'il m'aimait et il veut partir comme sa, se réfugier dans sa chambre, et demain il fera comme si rien ne s'était passé je le connais très bien. Non! Pas cette fois! Je ne veut rien laisser en suspens.

-FRÉDÉRICK! Il se stoppa net sur la marche du 2em escalier mais sans se retourner. Frédérick ne t'en vas pas, ne me laisse pas seule ici. Je ne me sans pas très bien j'ai un peu mal à la tête.

-Prend des cachets et vas te metre au chaud sous la couette.
Et merde Elii!!!  Trouve quelque chose de mieux à dire. Il s'en vas encore dépêche toi Elissa
-FRED! Frédérick s'il te plais je me laisse pas. JE T'AIME!
       Je le cria tellement fort que sa raisonnais dans toute la maison et se propageait grâce à l'écho. Il se retourne et descend les escaliers.

-Qu'est-ce que tu viens de dire Elissa?

-Que je t'aimais. Dit je le regard perdu dans le siens. Il se reprocha encore plus de moi.

-Dit le encore.

-Je t'aime.

-Dit le encore.

-Je t'aime.

-Encore.

-Je t'aime.

-Encore.

-Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'ai....

          Alors que je voulais répéter, sans même que je ne sache comment, il m'attrape brutalement par la taille et m'embrasse avec fougue. Nos lèvres se mirent alors à danser ensemble sous un même rythme. J'avais attendu se moment avec impatience, le moment où il m'embrasserait encore avec autant de passion que les autres fois et voilà qu'enfin, il l'a fait.
            Il décolla ses lèvres des miennes pour qu'on reprenne notre souffle. Il tenait les joues de ses des grandes mains et il plongeait ses yeux vert émeraude dans les miens et j'en arrive même à oublié qui je suis, où je suis, même mon nom.
             Je ne veut pas que d'un simple baisé cette fois, j'en veut plus, bien plus. Cette fois c'est moi qui colle mes lèvres brutalement sur les siennes et je mets mes mains sur dans ses cheveux. Lui aussi n'est pas récessif à mes caresses. Il m'embrasse avec autant de force que moi, mes lèvres sont emprisonnées dans les siennes, nos langues qui s'entremêlent, nos salives qui se mélangent et nos respirations qui vont au même rythme font de plus montrer la tension entre nous.
          Sa main droite qui jusqu'à présent était sur mes fesses, se faufile dans ma robe, puis dans ma culotte et il me caresse l'entre jambe. Je pousse un léger gémissement ce qui le fait sourire.
-Montons, il se fait tard, nous devons nous reposer.
         Il me lance un léger sourire au coin avant de me prendre la main et nous montons en haut, nous prenons la direction de sa chambre et pour la 2ème fois, je pénètre dans celle ci. Pour la 2ème fois, j'entre dans la chambre de mon mari. Il desserre sa cravate.

Marié sous contrat à un milliardaire sadique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant