Marié sous contrat à un milliardaire sadique.

Un jour tu me fait rêver, le lendemain tu me fait pleurer.

         Je suis rentré de l'école et j'ai passé tout le reste a la journée à la maison, au bord de la piscine, couché tout simplement sur le transat avant de rentrer après faire a manger pour Frédérick, et maintenant je fait la table en l'attendant car il arrive bientôt. Petit à petit, nous nous rapprochons un peu plus et je me dit que, ce mariage n'est pas une si mauvaise idée que sa. Sous ses allures de dictateur sadique, il peut être doux, gentil et bienveillant. Peut être, qui sais... Nous finirons peut être par rester ensemble après ses un an, car je me dit qu'il ressent quand même quelque chose pour moi vue sa manière d'agir depuis ces derniers temps et sans mentir, cette pensée me rend toute chose.
         Je doit dire que cette journée a été assez relaxante en fait. C'est vrai que c'est difficile à l'école maintenant vue que je ne suis pas habitué à ce que tout le monde est l'attention tourné vers moi tout sa pour me faire du lèche botte et être ami avec moi, la femme du célèbre et richissime Frédérick Pieers
Pathétique !
         Sans compter le silence de Jonas depuis un certains temps. Il me regarde à peine et ne me parle presque plus. Cette situation me fait énormément mal. Mais s'il y'en a à  qui cette situation  profite, c'est Shay. Elle se vente de partout d'être amie avec Elissa Pieers.
Hahahahaha
           Elle est folle cette fille et c'est aussi pour sa que je l'aime autant. Elle a même déjà programmé un voyage au caraïbe entre fille, tout à mes frais Biensur!!! A t'elle dit. Mais elle dit que tout sa sera fait pendant les vacances, lorsque Sophia sera de retour à New York
Sophia! Je l'avais même oublié!
            Oh là là, tous ces derniers événements m'ont fait oublier ma meilleure amie! Sa fait des mois que je n'ai plus eu de nouvelles d'elle! Elle doit vraiment m'en vouloir surtout que c'était elle qui m'appelait le plus souvent.

« Ding dong »
          La sonnerie à la porte retentit et me fait sortir de mes pensées, je sais tout de suite que c'est Frédérick. Oh la la! Je n'ai même pas eu le temps de porter un vêtement convenable! Je ne suis vêtu que d'un simple body noir a fine bretelle et d'un petit short moulant jaune. Vue que j'étais seule et qu'il faisait chaud j'ai mis un truc léger.
          Il est en avance, d'habitude il arrive un peu plus tard que sa.
« Diiiiiing dooong »
      Sa seconde sonnerie est plus insistante, sa veut dire qu'il s'impatiente. Je n'ai pas le choix, je doit l'ouvrir la porte comme sa. Je me dirige vers la porte et je l'ouvre.
        L'orque je l'ouvre, il est dos tourné à moi et, en quelques secondes, il fait un demi tour et se place face à moi. Son regard se pose finalement sur moi, je le perçois me scruter dès pied à la tête, d'un ère curieux et un peu pervers à la fois. Il ne se cache même pas en plus. D'habitude il me regarde des fois en cachette, mais cette fois si, il ne s'en donne même pas la peine.

-Tourne toi.

-Pppp... Pardon?

-Je te demande de te tourner. Me dit il plus durement.
        Sans même m'en rendre compte, je m'aperçois entrain de m'exécuter comme si j'etait un robot télécommandé et lui ma télécommande.
          Je sent à ses pas qu'il est entrain de s'approcher de moi tout doucement, comme un prédateur. Je ne le vois pas mais j'imagine très bien sa tête en se moment. Il me juge le corps de partout et n'en laisse pas une miette. Lorsque finalement il s'arrête, je sent  une main qui passe délicatement sur mon ventre et qui m'attrape brutalement par la taille. Il nicha finalement sa tête dans mon coup et le souffle chaud de sa respiration me fait frissonner.  Tout doucement encore, il enlève sa tête de mon cou et colle ses lèvres sur mon oreille droite.
-Hmmmm, tu n'es pas si mal en fin de compte ma chère Elissa, je dirait même que, sous tes allure de garçons manqué toujours sapé de jeans et de grand t shirt, tu caches des choses... De bonne choses meme je doit dire.
           De sa main libre, il empoigna ma fesse gauche brutalement ce qui me fait sursauter et lâcher un petit cris de surprise. Je le sent sourire derrière mon oreille.
        Alors que j'etait toujours pétrifier de surprise, il me laisse planter là et il entre à l'intérieur.
-Tu ne vas pas rester planté là quand même Elissa!
-Euuuuh non! Pas du tout, je... J'entre tout de suite. J'entre rapidement et je ferme la porte. J'ai déjà fait le dîner, j'ai même déjà mis la table. Donc tu peut aller prendre ton bain comme d'habitude et redescendre ensuite.

-Non, pas ce soir. Aujourd'hui, je mange d'abord et ensuite je prendrai mon bain.
      Sans m'accorder un second regard, il se dirige vers la cuisine et s'assoit à la petite salle à manger qui y est où nous avions l'habitude de manger.
-Alors, qu'est ce qui est au menu ce soir? J'avoue que j'ai plutôt très faim.

-J'ai fait des lasagnes et des spaghettis ce soir en fait.
-Hmmmm, comment tu sais que j'aime manger italien?
-Qui n'aime pas manger italien? Dit je en souriant et lui il me répond pas un léger sourire avant de se servir des spaghettis et de prendre une part de lasagnes.

-Qu'est-ce que le docteur a dit tout à l'heure?

-Et bien, il a dit que ce n'était rien de grave. Juste un petite fatigue dû au surmenage je te l'avais déjà dit.
-Surmenage? Qu'est ce que tu fait pour être autant surmené?

-Et bien j'ai des examens à passer dans quelques semaines qui sont très importants pour ma moyenne de fin d'année et je me met un peu trop la pressions. Il m'a demandé de baisser un peu plus le rythme et de me reposer un peu plus.
-A vrai dire, je ne vois pas pourquoi tu fréquentes encore.

-Pardon?

-Tu m'as bien entendu. Je suis milliardaire, même si j'arrête de travailler aujourd'hui, j'ai déjà amassé assez d'argent pour vivre heureux et sans problèmes  jusqu'à ma troisième génération au moins. Je ne vois pas pourquoi tu veut souffrir à fréquenter pour travailler. Ton rôle c'est de rester à la maison et faire à manger et à prendre soin de moi.

-Non mais tu t'entend parler!!!

-Oui très bien même.

-Donc pour toi, la femme n'est réduite qu'à sa? Une simple et bonne boniche! Une femme au foyer simple et fade!

-Tu as tout compris bébé. Dit il avant de mettre un morceau de lasagne dans sa bouche.

-Sa fait déjà plusieurs années que le monde a dépassé sa, nous ne sommes plus au moyen age! Et en plus, travailler ce n'est pas que pour avoir de l'argent mais aussi pour pouvoir s'occuper, se rendre utiles et de faire en sorte que notre travail profite à plusieurs personnes. Se construire une carrière.

-Et alors? Ma mère, elle est bien connu et se rend utiles grâce à ses œuvres caritatives, cependant, elle ne travaille pas et, ne s'en plein pas.
-Mais ta mère c'est ta mère ! Et moi c'est...

-TOI TU ES MA FEMME! Et il est or de question que tu travailles! Tu peux fréquenter pour t'instruire, mais travailler, or de question.

-ET MOI JE TE DIT QUE SI!!! Je vais finir mes études et travailler mon cher « mari »

-Elissaaa, je t'ai déjà demandé à plusieurs reprise de ne plus me tenir tête.

-Et alors quoi? Je doit accepter tout ce que tu me dit à la lettre et me courber pour te dire merci à chaque fois que tu me fait une remarque que je soit d'accord ou non? Non Mr! Je ne suis pas de ce genre! Moi on m'a appris a m'exprimer, a donner mon opignon, et a taper le point sur la table quand cela est nécessaire.

          Tout en me fixant, il baisse doucement sa fourchette et m'observe longtemps dans le blanc des yeux. Je sais qu'il est énervé, mais il se retient juste de m'attraper par la gorge. Il déteste quand on lui tient tête, on sent qu'il est habitué à avoir toujours raison. Non Mr, pas de sa avec moi.

-D'ailleurs même, cette discussion n'a pas lieu d'être vue que dans moins d'un an maintenant, nous nous séparerons et chacun prendra son chemin. Tu es libre de fréquenter, de travailler et d'aller même sur la lune si tu veut.

Aïe! Sa sa fait mal!
       Il savait qu'il allait toucher sur ma corde sensible en disant cela et il a réussi. Lorsque vit mon visage se décomposer, il eu un légers sourire puis, repris à manger.
         Il a raison, à quoi bon me faire tout ses films, lui et moi, ce n'était que pour un délais déterminé. Après sa, nous nous séparerons.
          Je pense que je me faisais dès idées lorsque je me disait qu'il avait peut être un faible pour moi. A près tout, je ne suis pas son style de fille ni même de sa classe, il ne pourrait rien avoir entre nous.
           Un jour tu te comportes comme un prince, le chevalier servant de mes rêves et le lendemain, tu redeviens mon bourreau, froid et insensible avec moi. Tu as l'art de me faire mal et de me briser le cœur Frédérick Pieers, pourquoi tu me fait sa?