A moi de m'imposer

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        Ça dure comme sa depuis déjà 7 semaines que je vis ici. Presque tous les soirs Frédérick rentre tard et accompagné à chaque fois d'une nouvelle femme aux allure de top model, rien avoir avec mon petit gabarit et mon physique tout simplet. J'en avais déjà marre de cette situation et je n'avais plus la force pour supporter tout ça. J'étouffait dans cette maison et j'étais heureuse de pouvoir en fin repartir à l'école pour le début du 2nd semestre.
          Très tôt le matin, je me suis levée et comme à mon habitude j'ai fait le petit déjeuner. Je savais bien qu'il ne le mangerait pas, il ne le mange jamais d'ailleurs mais c'était mon devoir. Ma mère avant de m'apprendre à être une femme indépendante, m'a apprise à être une bonne maîtresse de maison.

            Je sort de ma douche et j'applique mon lait pour le corps avant de mettre ma crème pour cheveux. Je décide de porter un pantalon jeans noir,débardeur noir et un pull à capuche rouge avec une paire de baskets blanche et de mettre mon sac au dos avant de descendre en trombe les escaliers tellement je suis surexcitée.

-Où vas tu comme ça a?

Tiens! Il es encore là à cet heure lui?

-Ça ne te regarde pas.

-Si ça me regarde tu vis sous mon toit,tout ce que tu fait me regarde.

-Vue que tu tient à le savoir, je vais a l'école. Mon 2nd semestre commence aujourd'hui et a vrai dire je suis fatiguée de rester ici tout le temps.

-Soit! Vas ou tu veux aller. Mais sache que tu doit être ici au plus tard 16h.

-Et pourquoi ça?

-J'ai une réunion avec des potentiels investisseurs très importants ici.

-Pourquoi ne pas faire cette réunion à ton entreprise.

-Et bien  parceque  je ne sais par quel malheur, ils ont appris que je me suis marier. Et vue qu'il sont ici avec leur épouses, ils voudraient que la réunion ce passe ici pour ne pas laisser celles ci s'ennuyer et pour que la réunion se fasse dans un cadre plus convivial.

-D'accord je comprends. Et pourquoi tu n'emmènes pas l'une de tes petasses à la place? Un sourire sadique se dessine sur ses lèvres

-Parceque mes « petasses » comme tu le dit, ne me serve que pour mon plaisir. Me dit il en plantant son regard dans le mien et en s'avançant plus près vers moi. Toi, tu es ma femme.

-Je n'assisterai pas à cette réunion.

-Je déteste qu'on me défie et qu'on conteste ma décision.
-Je me fou de ton autorité.

-TU FERAS CE QUE JE TE DIT DE FAIRE! Me  hurle t'il déçu.

-Ça ne sert à rien de crier sur moi. Tu ne changera pas ma décision.

Il es agacé,  j'aime ca. A son tour de souffrir

-Qu'est ce que tu veut?

-Comment ça a?

-Tu es sourde ou quoi? Je demande qu'est ce que tu veut! Cette réunion est extrêmement importante. Je ne veut pas que tu me la gâche alors dit moi ce que tu veut.

Bien, j'aime ça.

-Tout d'abord, je veut que tu rentres moins tard à la maison.

-Mon travail me prend beaucoup de temps et...

-Et tu doit aussi passer du temps à la maison avec moi. Il pousse un soupire de résiliation.

-Oui c'est entendu. Quoi d'autre?

-Ensuite, tu devras manger tous les repas que je te cuisinerai, j'en ai marre de me tuer a la tache pour te faire un repas et que tu ne le touche même pas.

-D'accord c'est fini?

-En fin, je veux que tu arrête d'emmener des filles à la maison.

-Pardon! C'est encore ma maison à ce que je sache!

-Oui, et non un bordelle!!! Tes Puts tu les vois ailleur si non, ta réunion, tu l'oublies et tes investisseurs avec. Il s'approcha encore plus de moi au point de me caler contre le mur et je sent son souffle chaud sur mon visage et son regard vert émeraude me foudroyé. Et cela, sans mentir, me donne des frissons dans tout le cœur.

Mon Dieu qu'est-ce ce qui m'arrive?

-Tu te crois maligne n'est ce pas? Okay. J'accepte, mais sache ça, tu me le paiera très cher.

-Tes menaces ne me font pas plus peur que ça.

-Tu devrai chéri je ne suis pas du genre à proférerer des menaces en l'air.
     J'arrive à me dégager de son emprise et je me dirige vers la porte.

-Au fait, c'est une soirée chic. Ne t'avise pas à porter tes pauvres jeans et joggings ainsi que tes robes de grand mère que tu as l'habitude de porter s'il te plaît. Ne me souille pas lors de cette soirée. Prend exemple sur mes « petasses » comme tu le dit. Elle au moins on de la classe, elle ne s'habille pas comme des sacs elle!
      Meme si je ne laisse pas cela se percevoir, ce qu'il dit m'affecte quand même. Mais bon, je suis beaucoup trop fier pour laisser percevoir ma peine. Et sans même l'accorder un dernier regard, je me dirige vers la porte.

-Tu rentres à quel heure?

-13h10. pourquoi?

-Non pour rien. Demande au chauffeur de t'y emmener.

-Pas besoin je vais prendre le bus.

-Comme tu veux, a ton aise.

Marié sous contrat à un milliardaire sadique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant