L'enfant de Livai Ackerman.

Lemon

Sans cesser de l'embrasser, il le guida jusqu'à son lit et s'allonge à avec lui en continuant à le caresser et à attiser le feu qui envahissait son corps. Lorsqu'il abandonna ses lèvres, ce fut pour se concentrer sur les boutons de sa chemise et les défaire un à un. Quand il eut finit, il prit ses doigts son bout de chair et le caressa en insistant sur son téton dur par le plaisir.

-Lili...

-Non dis rien, ordonna-t-il en reprenant ses propres mots.

-Encore..., murmura-t-il quand même.

-Je n'ai pas l'intention de partir.

Sur ces mots, il lui ôta sa chemise pour lui déposer de mille baisers et pour passer la langue sur ses bout de chair. Alors qu'il soupirait de plaisir, il sentit qu'il ouvrait d'une main son pantalon pour glisser sa main sous son caleçon et le caresser.
Il laissa échapper un cri et se mit à onduler au rythme de son plaisir, jusqu'au moment où il eut besoin de sentir le contact de leurs corps nus l'un contre l'autre.

-Déshabille toi, susurra-t-il dans un souffle.

Il l'embrassa encore, puis se leva pour se débarrasser de ses vêtements. Tout en le dévorant des yeux, il enleva son pantalon, impatient de sentir de nouveau son corps puissant et brûlant contre le sien. Mais il s'arrêta brusquement.

-Que se passe-t-il ? demanda-t-il.

-Nous ne pouvons pas faire ça.

-Pardon ?

Il poussa un soupir de frustration.

-Je n'ai pas de préservatif. L'époque où j'en avais toujours sur moi est loin.

Cette remarque lui fit le plus grand plaisir.

-Oh ! s'exclama-t-il en riant. Pendant une seconde, j'ai cru que tu avais changé d'avis.

-Certainement pas. Mais à moins que tu...

-Dans le tiroir de la table de chevet, dit-il pour qu'il revient au plus vite.

Il ouvrit le tiroir et le regarda avec un air amusé.

-Tu es équipé, à ce que je vois.

Il ne put s'empêcher de rire.

-En fait, admit-il, je garde cette petite réserve plus par espoir que par nécessité. Je me dis qu'il vaut mieux les avoir et ne pas en avoir besoin que l'inverse.

-J'aime les hommes prévoyants, déclara-t-il en ouvrant un paquet pour se protéger.

-Prouve le moi.

Sans se faire prier plus longtemps, il le rejoignit sur le lit et s'étendit au dessus de lui, le faisant soupirer de bien-être. Il lui avait tellement manqué. Son parfum, le goût de ses lèvres, sa force et sa sensualité mêlés...

Le saisissant par la taille, il roula pour le faire venir au dessus de lui et referma les mains sur ses fesses. Il se pencha pour l'embrasser tout en écart les jambes et en ondulant pour attiser leur plaisir.

L'atmosphère de cet instant était tout simplement magique. Eren en rêvait depuis la seconde où il avait ouvert la porte et vu Livai sur le seuil de sa maison. En se redressant lentement, il lui caressa le torse et vit une étincelle allumer son regard.

Finalement, il se mit à genoux et prit son sexe dans sa main pour le faire entrer en lui. Quand il l'eut pénétré, il laissa échapper un long murmure de délice tandis qu'il prenait ses bout de chair entre ses doigts experts.

Il bougèrent d'abord lentement, savourant chaque seconde de l'étreinte qui les menait pas à pas vers la jouissances.
Soupirant à l'unisson, ils gardaient les yeux fixés l'un sur l'autre tout en suivant le rythme de leur désir.

Finalement, il abandonna ses bout de chair pour poser les mains sur ses hanches et le guider dans son mouvement.
Ils se mirent à bouger plus vite, plus fort, et comme il approchait de la délivrance, il mit sa main sur son sexe pour accentuer encore un peu plus son plaisir.
Tout en criant son nom, il accéléra pour s'envoler avec lui vers les cimes de la volupté. Ce ne fut que lorsqu'il eut atteint l'extase qu'il se laissa aller à son tour, le regard empli d'une émotion qui ne fit qu'intensifier le plaisir qu'il avait ressenti.

Ce soir, il s'était de nouveau abandonné entre ses bras et, en plongeant les yeux dans les siens, il rêva de le voir accepter enfin de lui ouvrir son cœur.