Il était 7h40 et les cours commençaient à 8h. Charlie peiné encore à garder les yeux ouvert devant sa mère dans le même état que lui. Son portable vibra.
De Nolan : Tu es prêt ? Je t'emmène au lycée !
Charlie recula et lui répondit :
A Nolan : Si tu viens on va être en retard babe.
De Nolan : Je ne suis pas à pied sexy boy.
Un klaxon le fit sursauter, il se dirigea vers la fenêtre près de la porte d'entrée et y découvrit une décapotable rouge lustré et à son bord Nolan et ses cheveux en bataille.
- Il faut que j'y aille maman, je t'aime.
Il agrippa son sac et sortit en trombe hypnotisé par l'image savoureuse que lui offrait Nolan et sa belle gueule. Il grimpa, passant ses mains sur le tableau de bord de la caisse.
- Tu veux embrasser le volant ou c'est moi qui est le droit à se privilège ?, demanda Nolan en riant. Charlie prit son visage en coupe sans ses faire prier et l'embrassa lèvres contre lèvres. Il portait un vieux hoodie et une veste en jean trop grande et troué. Il était à tombé, lui qui ne portait que sa vieille veste camoufflage à capuche se sentait franchement moche ce matin.
- J'ai déclaré un truc sur cette voiture, dit Nolan en démarrant.
- Dis moi tout, lui demanda le plus jeune.
- On fera l'amour dans cette voiture, déclara le plus grand arrachant un sourire au propriétaire des yeux verts.
- Quand tu veux, répliqua Charlie.
- J'en prend note monsieur Jones, répondit le premier d'un ton impérial.
Une fois au lycée, Jyli toujours en colère contre Charlie, l'ignora. Comme depuis plusieurs jours. Cependant et alors que Mike parlait à Charlie, en la présence de Nolan et avec la main de celui-ci dans la sienne, elle lui embrassa la joue et lâcha un simple mais efficace :
- Pardon.
Qui fit sourire Charlie de toutes ses dents.
VOUS LISEZ
Sucker for pain
RomanceCharlie aime Nolan. Nolan aime Charlie. Mais à sa façon. "Tu m'aimes, affirma Nolan avec son satané sourire en coin. - Et je me déteste que ce soit le cas, lui répondit Charlie dos à lui partant pour de bon." C'est deux garçons qui s'aiment, si vo...
