Used to doing bad, now we feel like we just now getting it

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Charlie se sentait bien. L'université était vraiment un exutoire. Il avançait sur ses cours, rentrait chez lui et voyait ses amis épuisés pour rire et profiter des uns et des autres, allait en thérapie le samedi et profitait de son dimanche pour écouter sa mère parler de tous ses morceauxbm d'histoire inconnu qu'elle avait découverte après une dur journée de travail chez les Collins. Ses parents étaient sortie pour un genre de gala qui récoltait des fonds pour la recherche contre les maladies infantiles. Il y avait pas mal de snob alors ses parents lui avait juste dit de rester à la maison et de se commander une pizza. Ce qu'il avait fait, double pepperoni, double fromage. Il avait aussi prit un peu d'avance sur ses cours avant de mettre de la musique dans la pièce et de préparer son sac et ses vêtements pour le lendemain. Il dansait en pyjama, sa bonne humeur retrouvait sur une vieille chanson. Lorsqu'il se tourna, il sursauta en remarquant Nolan devant l'encadrement de sa fenêtre, appuyé contre le mur, les bras croisés.

- Continue vas-y, lui affirma-t-il. Je profite du spectacle.

- Tu m'as fichu la trouille, lui intima Charlie. Je ne savais pas que tu venais.

- C'était un coup de tête, l'informa le tatoué.

- Ta grand mère ?, demanda le plus petit.


- Ma grand mère, lui répondit le brun. Je te jure que parfois, elle mets mes nerfs à rude épreuves. Je l'aime hein, je l'adore mais j'ai envie de lui jeter des trucs au visage. Ma mère m'a dit d'aller prendre l'air quand Sisi à fait une énième réflexion sur la couleur des rideaux et qu'elle a réussie à glisser que la bouffe de ma mère était dégueux.


- C'est à ce point ?, demanda Charlie.

- Attend, elle ne sait pas encore que tu es un mec, dit le tatoué. Pour elle Charlie, c'est le diminutif de Charlotte, elle va encore m'appeler le déviant pendant tout son séjour.


- C'est immonde, dit le plus jeune.

- Elle est vieille et aigrie, dit Nolan. Elle n'a pas accepté que ma mère épouse un flic qui a des origines mexicaines. Quand il est mort, elle a dit à ma mère qu'elle l'avait prévenue. Je me souvient que grand-père et devenue fou de rage et qu'il l'a traité de vieille peau aigrie. Elle était outré que son mari est put lui dire ça. Tu l'aurait vu tout à l'heure, il contre disait tout ce qui pouvait sortir de sa bouche.

Charlie sourit alors que Nolan l'attirait vers lui pour le prendre dans ses bras. Mais s'est un baisé qu'il récolta. Ce qui ne lui déplus pas du tout. Ils avaient le cœur qui s'emballaient aux mêmes rythmes en un simple baisé.Nolan avait posé ses mains sur le visage et la nuque de Charlie alors que le second avait enroulé ses bras autour de la taille du plus grand. Il y avait des choses qui ne changeait jamais et pour eux, c'était ses sensations là, réconfortante et qui les réchauffaient. C'est Charlie qui fit le premier pas en enlevant délicatement la veste à capuche de Nolan. C'est ici que le tatoué eue le déclic, ça faisait déjà trois mois qu'ils étaient de nouveau ensemble et il n'avait pas eue plus intime que cela entre eux. Pas plus intime qu'un baisé chaste. Pourtant, il sentait que quelques choses étaient différents des autres fois où ils avaient pu être aussi proche. Pas parce que Charlie était en train de le déshabiller lentement. Ou parce que ça faisait longtemps. Mais simplement parce qu'il avait la nette impression qu'ils s'aimaient plus. Que les épreuves les avaient rapprocher bien plus que n'importe quelle autres choses. Il souleva alors le t-shirt de Charlie et s'asseya sur le lit. Attendant avec impatience ce que le plus jeune lui réserver, ce qu'il voulait faire de lui. Charlie ne fit rien cependant et le tatoué se laissa tomber sur le lit torse nu regardant toujours son petit ami.

- Ça va ?, demanda-t-il.

- Je ne sais pas, lui répondit Charlie. C'est comme-ci, je ne savais plus comment faire. Ou si j'arrive à le faire. Et si je te fais mal ? Ou qu'une crise revient ?

- Déstresse tout se passera bien d'accord ? On va pas à la guerre, on va simplement s'allonger et on verra bien.

- Je ne veux pas m'allonger, objecta Charlie.

- Qu'est-ce que tu veux alors ?, demanda le tatoué.

- Je veux que tu me touche, avoua Charlie. Mais pour de vrai, pas seulement pour me rassurer ou me calmer. Parce que tu en a envie, parce que ça te plairait de le faire mais... C'est... J'ai cassé quelques choses. Je l'ai cassé et je ne suis plus comment le réparer. La dernière fois qu'on a fait l'amour, tu m'as donné quelques choses de précieux et juste après je t'ai trahie comme une merde. Je ne sais même pas si tu veux que je te touche après ça.

Nolan se leva et prit le visage de son amoureux en coupe.

- Tout va bien, lui dit-il. Calme toi. On a passé presque trois mois séparé et on est ensemble depuis plus de trois mois. On a dépassé tout ça d'accord, je ne t'en veux pas. Tu n'as rien cassé puisqu'on est là. Toi et moi, ensemble.

Et il l'embrassa pour de vrai, comme lapremière fois, sans qu'aucun sentiment ne change. C'est lui qui prit les devant alors, il enleva le t-shirt de Charlie avec une douceur réfléchit, parce qu'il en avait besoin autant que le plus petit. Il glissa des baisés le long de sa mâchoire et de son cou avant de retirer son propre haut. Charlie passa la main sur le tatouage qui le représentait sans vraiment s'en rendre compte, juste hypnotisé par l'image en elle même. Cette image qui lui prouvait que rien n'était vraiment perdu avec Nolan qu'il ne manquait qu'une petite étincelle pour toujours raviver ce qu'il y avait entre eux. Le plus grand posases doigts sur la main du brun et sourit.

- Il sera toujours là et toi aussi, dit-il.

Charlie ne prit pas la peine d'être doux et sauta sur la bouche de Nolan comme un assoiffé. Dans un baisé des plus passionné, peut-être le plus passionné qu'ils aient eue. Il défit le jean du tatoué avant que l'autre ne reprenne le dessus et le soulève pour le poser sur le lit, se laissant tomber avec lui. Il descendit ses baisés de son cou à son bas ventre avant de lui enlever ses deux dernier vêtements d'un seul mouvement. Le Nolan sûr de lui, le Nolan passionné, le Nolan puissant était de retour et Dieu que Charlie aimait ça. Pourtant et alors que le plus grand allait commencé la plus douce des tortures qu'il connaissait, il prit le dessus, s'installant nu sur ses cuisses. Nolan passa ses mains sous sa tête attendant que Charlie lui dise quoi faire. Le jean était défait mais pas enlevé alors Charlie le baissa légèrement en laissant traîner ses lèvres par-ci, par-là sur letorse du plus vieux. Il lui enleva totalement son pantalon avant de baisser son caleçon du mieux qu'il pu. Nolan se redressa alors, se trouvant à quelques centimètre du visage de Charlie qui lui offrit un énième baisé et alors qu'ils étaient l'un contre l'autre la température était à son comble, Charlie ne put retenir un gémissement indécent quand Nolan et lui ne firent qu'un. Les jambes autour de la taille de son petit ami qui avait de plus en plus de mal à retenir ses coups de rein tandis qu'il savourait chaque expression du visage qu'il aimait tant admirer. Charlie enfonça ses doigts dans les épaules du tatoué qui ne comptait pas s'arrêter sur cette simple petite note de plaisir.

Sucker for painOù les histoires vivent. Découvrez maintenant