Assis contre la tête de lit dans la chambre de Charlie, un cahier sur les genoux, Nolan faisait ses devoirs consciencieusement. Il s'appliquait à réfléchir sérieusement à la question pour sa dissertation et commença son devoir de math pourtant donné pour la semaine prochaine. S'il parvenait à remporter une bonne note, sa mère l'autoriserait à retaper la veille voiture de son père, encore baché dans le garage pour qu'il puisse rouler avec avant ses 18 ans. Comme son père le voulait. Allongé sur le ventre, une manette dans les mains, Charlie attendait avec impatience que son petit ami finisse ce qu'il avait à faire pour être pleinement sûr d'avoir son attention. Il avait regardé Nolan travaillé pendant au moins 35 minutes avant de se mettre à jouer pour passer le temps. Les études s'étaient important, pour lui comme pour Nolan et il respectait ça. Aillant finit les siens, il s'accordait un moment de détente. Le son de la télévision était au minimum et il pouvait entendre Nolan pardonner les question de son devoir de math. Il souri en se tournant quittant le jeu et éteignant la console avec la manette. Il avait eue raison. Nolan se grattant le front avec son stylo, les sourcils froncés. Il s'asseya alors à ses côtés et lu la question pour l'aider à finir. Nolan se sentait bien alors que Charlie le mettait sur la voix. Ça paraissait plus facile quand il l'expliquait. Au bout d'une heure tout était bouclé. Et le tatoué rangea le tout dans son sac avant de s'étirer. Il se laissa tomber sur le côté, pour que sa tête atterri sur les jambes de Charlie. Le plus petit passa plusieurs fois sa main sur son crâne, faisant fermer les yeux de Nolan.
- Comment il était... ton père ?, demanda Charlie.
Prit au dépourvue, Nolan rouvrir les yeux pour regarder son amoureux. Le brun regardait son épaule où le tatouage dépassait un peu. Il avait l'air gênait mais aussi curieux.
- Il était policier, lui répondit le tatoué. Et sûrement le meilleur père au monde. Il faisait des blagues sur tout et n'importe quoi, il avait la joie de vivre, il passait son temps à soi travailler, soi être enfermé dans la maison avec nous pour rire et discuter. On pouvait tout lui dire. Tout sans qu'il ne juge personne. C'est àdire lui en premier que j'ai dit que j'était attiré aussi par les garçons. Que quelques choses couchait avec moi. Il a juste dit que parfois ca arrivait que rien ne couchait que c'était ce qui devait se passer. Que je restais toujours moi. Il t'aurait vraiment adoré. Il t'aurait même adulé si tu veux mon avis.
- À ce point ?, demanda son petit ami.
- Oh oui, tu es courageux et tu as une force d'esprit. Mon père admirait ça, lui et moi on n'a jamais eue ça.
- Bien sûr que si, dit le brun en fronçant les sourcils. Tu as eue la force d'esprit de te rendre compte de ce que tu faisais et encore plus de force plus de force pour te montrer tel que tu es vraiment. Et tu as eue le courage d'être prêt de moi tout les jours malgré les regard du lycée peu amicaux. Ton père lui, il a eue la force d'esprit de voir toute les horreurs de son métier et de continuer d'avoir cette joie tout les jours en vous regardant et il a eue le courage de se dresser au côté de la justice pour rendre le monde meilleur.
- Tu es incroyable, dit Nolan dans un murmure.
Charlie se contents de déposer ses lèvres sur les siennes un instant. Caressant toujours son crâne, il demanda :
- Il te manque ?
- Tout les jours, comme toute personne qui à perdu quelqu'un. Toi comment il est ton père ?
- Il est avocat. Il est cool, c'est le genre de père qui replace ses lunettes en te disant tout ce que tu veux entendre alors que ta mère désapprouve derrière lui.
Nolan ria à cette description.
- Je suis tombé sur de bons parents, ajoute Charlie. Les autres du foyer sont tombés sur bien pire.
Le tatoué se redressant et se tourna vers Charlie pour de bon. Il le regardait dans les yeux et n'en revenait pas.
- Pourquoi tu ne me l'a jamais dit ?, demanda t'il à son petit ami.
- Peu de gens le savent, il n'y a qu'Hannah et Sam en faite. Et puis avant, toi et moi, on était pas comme maintenant. Alors mon cher petit ami, je suis un enfant adopté.
- Tu as vécu longtemps au foyer ?, réclama le plus grand.
- 3 ans, je n'en ai pas réellement de souvenirs, lui répondit le plus jeune. Je me considère comme chanceux. Ceux du groupe de soutien où mes parents me forcent à aller, sont beaucoup plus à plaindre que moi. Certains sont tombés dans d'horribles famille. D'ailleurs, je parle souvent de toi dans le groupe, tout le monde t'appelle le rebelle.
Charlie se mit à rire. Nolan lui caressa la main.
- Comment est ta mère ?, demanda Charlie.
- Elle est incroyable, elle est infirmière. Elle jongle avec des postes incalculables. Je m'occupe de ma petite soeur pendant qu'elle travaille et je m'occupe de la maison. Elle est tout excité à l'idée que j'ai un petit ami. Elle est définitivement plus cool que n'importe qui au monde. Je veux dire, elle m'a laissé me tatoué. Peu de mère aurait accepté. La tienne elle est comment ?
- Elle est historienne. Elle est donc obsédé par quelques choses pendant des périodes plus ou moins longues et une fois qu'il a épuisé toutes les recherches, elle écrit un mémoire de dieu seul sait combien de page avant de nous rebassiner avec une autre affaire historique. En ce moment c'est la seconde guerre mondiale, vécu par les îles françaises. Je dois dire que c'est fascinant.
Une fois son récit finit, Charlie embrassa délicatement les lèvres de son vis à vis. Avant de dire :
- Tu dois me parler de ta soeur maintenant.
Nolan se mit à sourire un peu gauche. Il devait se lancerl la douleur de ne pas pouvoir être entièrement lui même avec Charlie devait cesser.
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Sucker for pain
RomantizmCharlie aime Nolan. Nolan aime Charlie. Mais à sa façon. "Tu m'aimes, affirma Nolan avec son satané sourire en coin. - Et je me déteste que ce soit le cas, lui répondit Charlie dos à lui partant pour de bon." C'est deux garçons qui s'aiment, si vo...