De Papa
Un certains Tim a appelé à la maison pour demander si tu étais là, je lui ai dit que tu étais puni et qu'il ne devait plus appeler. J'ai bien fait ?
A Papa
Oui ! Merci Papa.
De Papa
De rien fils !
Charlie remit son téléphone dans sa poche. Il avait encore une bonne vingtaine de ballot de paille à déplacer dans la deuxième grange. Il avait gardé son pull malgrébles recommandation de la vieille propriétaire. Il avait encore froid et il était sûr que ça n'était pas prêt de changer dans les minutes voir les heures à venir. Il recommença le travaille et se sentit pleine occupé, pensant à sa prochaine tache. Après le dernier ballot bien disposé, il accepta le verre d'eau que Madame Collins le tendait et le but d'une traite avant de se mettre en route pour nourrir tout les animaux présents. Il était parti tôt, repartirait sûrement tard et ne croiserait donc pas Tim. C'était bien, c'était très bien. Mais il recommença à y penser et recuira les enclos des bêtes pour s'occuper.
Jiliane ne croyait pas vraiment en l'histoire de la culpabilité débordante de Charlie. Il avait agit comme un con et maintenant que tout lui tombait sur le coin de la gueule, il se sentait tellement mal d'avoir fait tout ça et bla et bla et bla. Bouhou, le pauvre chou. En attendant Nolan avait du être soulevé de son pieux par la peau du cou pour ne serait ce que prendre un petit déj à peu près digne de ce nom. C'est pour cela qu'elle attendait deux maison plus loin de chez lui qu'il revienne de la ferme pour lui parler de connard à garce. Et Dieu seule savait à quel point elle pouvait l'être. Elle voulait des argument, des vrais, plus de baratin, du carte sur table cette fois. Elle vit alors Tim s'arrêtait devant la maison, sa voiture fraîchement lustré et son sourire de gros manipulateur satisfait. Il avait trouvé chaussure à son pied, c'était bien pour lui. Elle allait redémarrer, pleine de rage et prête à tout pour empêcher Nolan de parler à cet enfoiré, lorsqu'elle le vit arriver depuis le coin gauche de la rue, où se trouvait le chemin de l'arrêt de bus. Il eue un mouvement très net de recule lorsqu'il vit la petite raclure. Il se dépêcha presque de rentrer chez lui, en vain puisque Tim avait réussie à attraper son bras et il parlait à présent. Jiliane ouvrit sa vitre pour écouter :
- Je devais te parler, pourquoi tu fuis ?
- J'ai pas envie de te parler Tim, dit Charlie.
- Pourquoi ça ? On s'est bien amusé la dernière fois que l'on s'est vue non ?
- Je voulais pas.
- Tu n'as pas dit non pourtant.
- Ça ne devait pas être toi, dit le brun sans vraiment s'en rendre compte.
- Oh je vois, tu aurais préféré que ce soit Nolan, dit Tim. Mais Nolan ne veut plus te voir, ni te parler, parce que tu es devenue le mec qui s'est tapé son pire ennemie. Parce que quelqu'un d'autre que lui t'a touché.
- Fiche moi la paix Tim, on a fait assez de dégât dans ma vie, dit Charlie en essayant de se dégager.
- Il ne vit plus pour toi, dit Tim. Parce que maintenant tu es une salope au cœur de glace pour lui.
- C'était ça que tu voulais alors ?, comprit enfin Charlie et Jiliane par la même occasion. Couché avec moi pour que Nolan soit le plus mal en point possible et moi avec lui.
- C'était Nolan la cible, dit Tim, confirmant les dires. Toi t'étais un bonus agréable pour une soirée.
- Lâche moi et dégage, dit Charlie avec rage.
- Sinon quoi ?, demanda le châtain.
- Tu vas te prendre ma batte dans les valseuses, intervint la rousse qui était sortie de sa voiture pour venir donner un coup de main.
Batte à la main, elle avait l'air de vraiment y penser et sûrement que c'était le cas.
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Sucker for pain
RomansaCharlie aime Nolan. Nolan aime Charlie. Mais à sa façon. "Tu m'aimes, affirma Nolan avec son satané sourire en coin. - Et je me déteste que ce soit le cas, lui répondit Charlie dos à lui partant pour de bon." C'est deux garçons qui s'aiment, si vo...