I torture you

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- Ça fait du bien de te voir, di tNolan en ajustant l'écran de son ordinateur et sa position peu confortable.

Il voyait le sourire de Charlie pour la première fois depuis au moins trois mois. Charlie ne s'était pas encore rasé. Il venait d'enlever son costume et avait opté pour un pyjama léger et ample. L'un des siens remarqua Nolan. Léo venait de quitter l'appartement pour un cours et lui n'en avait pas de la matinée. Jake était partit il y a quelques semaines ayant terminés ses examens.

- Plus qu'un moi et 4 jours dit Charlie en posant son dos contre son montant de lit.

- Tu tiens un compte toi aussi, ria le tatoué.

- Bien-sûr. Et puis Naomie m'y oblige.

Nolan laissa un nouveau rire s'échapper de sa bouche et un sourire fleurir sur ses lèvres.

- J'ai pensé à toi aujourd'hui, reprit le plus petit.

- Oh... En bien ?

- Je pense toujours à toi en bien.

- Dis moi tout.

- Un garçon a complètement décorer les murs de son lycée pour faire une déclaration au garçon qu'il aimait. J'ai vue les photos et il a beaucoup de talent. Il m'a fait penser à toi.

- Un garçon que tu dois défendre ?

- Oui, pour dégradation de bien publique et tentative de fuite.

- C'est juste un gamin stupide et amoureux.

- Mais c'est pur ça que je le défend mon amour. L'amour rend stupide et fou.

- Tu n'es pas fou, interviens alors Nolan.

- C'est pas grave, balaya Charlie.

- Non ce n'est pas rien. Ça va en ce moment mon cœur ?

- C'est rien tout va bien. J'ai juste hâte que tu revienne.

- Le plus jeune avait détourner le regard de l'écran quelques seconde. Sans pour autant revenir dans ceux de Nolan. Le tatoué devait changer de sujet pour retrouver son petit ami.

- Il a répondue quoi le coup de cœur de l'amoureux transit ?

L'avocat se tourna vers lui de nouveau avec un sourire doux.

- Il est derrière lui pendant les audiences, dit-il. Tu les verrai, ils sont si mignons.

- Chéri ?, tenta Nolan. Certaines personnes ont eue des propos homophobe envers toi ?

Le plus jeune se détourna une nouvelle fois. L'artiste vit, l'espace d'une seconde, son visage se décomposer. Il y avait du avoir des propos plutôt blessant qui ont du lui être craché au visage.

- Ce n'est pas la première fois que l'on me traite de tafiole, l'informa Charlie. Ce n'est qu'un mot d'accord ? Le plus dur c'était de voir ce garçon se faire jeter à la figure les mêmes insultes parce qu'il n'a pas le recule que j'ai sur les choses. Il veut juste aimer qui il veut pour ce qu'il ait vraiment.

- Il a de la chance de t'avoir comme avocat.

- Oh mon dieu s'il avait eue l'un des vieux croulant du cabinet de papa, il aurait été perdu ce pauvre petit.

- Le vieux Richmond est toujours en fonction ?

- Essaye de le faire rester au cabinet toi, répliqua Charlie. Tu vas te marrer. Il a dit à mon père rien qu'hier qu'il ne mourait qu'à deux seuls endroits, soit dans son lit, soit devant un jury.

- Je t'aime.

- Je t'aime aussi.

- Tu vas devoir me quitter et aller te coucher, lui intima Nolan.

- A demain ?

- A demain.

Sucker for painOù les histoires vivent. Découvrez maintenant