Il avait encore plus apprécié que la veille.
Son estomac encore retourné lui faisait voir toutes les couleurs de l'univers tandis que sa conscience, secouée, semblait sortir d'une hypnose ténébreuse en se frottant les yeux, l'envoûtement encore à semi présent au fond des pupilles.
Il avait adoré le côté mignon, adorable, frêle, soumis que cette bande son avait dégagé en rayons lumineux, que ses yeux s'étaient empressés d'happer avec désir, sans aucun remord. Il se demande un instant s'il n'avait pas rêvé sa précédente extase au vu de l'irréalité, du peu plausible de la situation.
Il avait encore pris son pied uniquement sur des gémissements, sur l'ombre seulement d'un acte sexuel, et il avait bien plus aimé que le véritable acte avec cette fille quelques heures auparavant.
<<Jungkook chéri, on mange ! SORS DE TA TANIÈRE !>>
Il se leva de sa place chaude, nettoya sa main à l'aide d'un mouchoir et vérifia qu'aucune trace de débauche ne se trouve encore sur la surface douce de ses draps avant de respirer pour reprendre un semblant de contenance et d'ouvrir silencieusement sa porte.
Son frère le fixait avec un regard suspicieux au bout de la table et lorsqu'il s'assit pour commencer à manger, il baissa les yeux sous la perfidie de ceux de celui-ci. Il l'avait entendu, c'était certain. Pourtant il était sûr d'avoir retenu le maximum de bruits possibles.
Lorsqu'il remonta dans sa chambre, angoissé en pensant à l'idée qui devait fleurir en roses déjà fanées au fond du crâne manipulateur de son frère, il laissa ouverte sa porte pour le laisser passer.
Le frère la referma derrière lui, comme pour que leurs géniteurs soient tenus à l'écart de leur discussion, qui allait être sans doute dangereuse pour le noiraud.
<<Bah alors Jungkook, tu te touches en rentrant quand tu as promis à maman de réviser à la bibliothèque ?>>
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-𝐄𝐀𝐑𝐆𝐀𝐒𝐌 ᵏᵛ
FanfictionEARGASM, KOOKV FIC [ OEUVRE EN PAUSE/TERMINÉE?] Lorsque Jungkook se met à écouter pour se "détendre" les doux gémissements d'un artiste nommé vante; sa vie prend un tournant inédit auquel il n'aurait même jamais pu rêver. Parce que mêmes les choses...