－𝐄𝐀𝐑𝐆𝐀𝐒𝐌 ᵏᵛ

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Encore une fois attention au chapitre précédent jlai poste grave tard

Faut que je me remette un rythme

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Taehyung avait cette motivation toute particulière qui coulait comme un liquide d'or dans la chaleur de ses veines, dans tout son corps, jusqu'au vermeil nuancé de ses joues.

Il avait prévu une chemise bien trop large, sa préférée, la blanche avec des lignes fines verticales, anthracites.

Il avait prévu de la laisser de manière faussement involontaire dévorer son corps de sa blancheur rayée seulement à partir du dessous de ses omoplates, laissant une vision pure du caramel fabuleux de sa peau, avec ses iridescentes vagues mordorées. On pouvait admirer à sa guise la gourmande tentation qu'était la forme finement sculptée de ses clavicules, alors que son cou se trouvait barré d'un ras-du-cou noir, en tissu doux. Son pantalon en faux-cuir emprisonna le bas décadent de sa chemise, moulant allègrement ses courbes encore plus pulpeuses et voluptueuses que jamais.

Enfin, les quelques touches finales qui allaient faire de lui un être surnaturel semblèrent le réjouir. Il prit le temps, à l'aide d'un pinceau exagérément fin, de manière précise et réfléchie, de créer une fresque tout le long de ses clavicules, de ses épaules à l'aide d'un miroir et de ses pommettes.

Il s'agissait de constellations célestes peintes en pigments opalins, cette candeur incroyable, créant une véritable voie lactée sur les voûtes et les volutes merveilleuses de son corps, scintillant dans un contraste irréel sur le hâle de son épiderme, aggripant sauvagement le regard. Il était sublime, il le savait. Jamais il n'avait souhaité être plus beau qu'aujourd'hui. Les ombres d'étoiles sur son corps semblaient lui donner une impressionnante vision de lui-même.

Puis il attrapa son crayon khôl noir, pour en appliquer autour des pierres précieuses qui constituaient son regard, avant de boucler somptueusement le bas grisé de ses cheveux, assénant le coup de grâce à la perfection déjà établie.

Il était prêt à suivre les ordres de son beau noiraud, véritablement.

Une fois, il lui avait dit "j'adore quand tu le donnes des ordres."

Cette fois était la plus délectable preuve de cette ancienne parole.

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Ça va commencer à se corser attention

Je vois la fin au loin ça me rassure j'avais peur de tourner dans le vide il y a quelques temps