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Ses lèvres touchaient pratiquement la surface du micro, tandis que la fraîcheur de la taie d'oreiller cajôlait tendrement son membre, commençant à lui faire ressentir de légères palpitations dans son ventre, dues aux papillons voltigeant sous le plaisir.

Cette fraîcheur faisait un contraste succulent avec l'embrasement délicieux qui parcourait furieusement la surface de son épiderme.

Ses cheveux argentés tombaient en boucles indisciplinées sur son front suant, bougeant au rythme de ses vas et viens langoureux.

Il releva le haut de son corps en s'appuyant sur ses avants-bras, qui se trouvaient alors autour du traversin, comme s'il se trouvait juste au-dessus d'une personne. Il adorait se faire plaisir comme ça, en imaginant ne pas être seul. Sous lui se trouvait, donc, ce bel homme énigmatique, avec ses magnifiques yeux noirs de désir, inspirant et respirant une convoitise abominablement captivante, le fixant se glisser sournoisement sur lui, lui soufflant au creux sensible de l'oreille des mots doux et osés, qui feraient honteusement s'empourprer jusqu'aux joues de Lucifer.

C'est alors qu'il se mit à fixer insidieusement son micro, prêt à perfidement rendre fou ses auditeurs, et plus précisément ce Jungkook, dont le nom possédait des sonorités si délectables qu'il se sentait légèrement fébrile.

Alors qu'il laissait son bassin, enlisé dans le péché, s'abandonner capiteusement aux flammes de la luxure, allant plus vite pour satisfaire les besoins devenus irrémédiables de se lâcher pour le Nirvana, sa voix prenait plus de sons délicieusement aiguës. L'allure de ses gestes devenait excessive, dévorante, se débridait exagérément, sous les rougeurs des anges qui se retenaient durement de laisser leurs orbes s'échouer sur cet homme, dont l'intempérance attirait sauvagement. l'attention.

Ses gémissements étaient horriblement plaintifs, comme s'il cherchait à forcer son fantasme tristement fantaisique et imaginaire sous lui à sortir complètement du concept même de décence, le pousser à le prendre bestialement, hors de lui-même, le changer en bête sauvage.

Il tentait de les garder au fond de sa gorge, mais ils s'extirpaient de lui tout de même, en jérémiades intenses qui lui-même, lui donnaient terriblement envie.

Il mourrait de chaud, crevait de plaisir, seul en apparence, devant une foule en réalité. Il ne le voyait pas, mais il possédait un charme fou à cet instant, un pouvoir aphrodisiaque incroyable, imprimant en une marque indélébile l'image même de la débauche.

Soudainement, alors que la cadence devenait effrénée, vertigineuse, complètement frénétique, il vint poser ses lèvres à même le micro, pour y déposer un baiser papillon, doux. Il y mit tout son coeur, comme s'il portait tout un amour inconsidéré pour cet objet. Un deuxième baiser fut déposé sur le micro, plus prononcé, qui se trouva entrecoupé de respirations lourdes et erratiques qui, il le savait, rendraient ses fans complètement accros. Il se ferait mystifier à coup sûr, et il voulait que le plus touché soit cet homme aux messages particuliers.

À cet instant il se tortillait misérablement contre les draps, frétillait presque, inconsolable finalement de ne pas être touché par un autre être humain, pris à son propre jeu, et les perles d'euphorie tombaient lentement de ses yeux comme en preuve visible de ce fait.

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Bon finalement j'ai pu l'écrire pour ce soir mais demain matin très honnêtement je pense que c'est mort

C'est pour ça que ce chap fait 530 mots au lieu de 300

J'vous aime toujours au fait

-𝐄𝐀𝐑𝐆𝐀𝐒𝐌 ᵏᵛ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant