Chapitre 8 : Entre la vie et la mort

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PDV Esméralda

Nous sommes toutes installées à table. Grand-père est chez Monsieur Alanzo, qui l'a invité à manger un morceau.

Tobias annonce avec enthousiasme : « J'ai une bonne nouvelle ! »

Je demande : « Laquelle ? »

Tobias répond : « Je vais commencer à donner des cours de danse ! »

Nana demande à Amelia : « Oui, Amelia, donne-lui du soutien, s'il te plaît ! »

Amelia, avec un sourire, dit : « Mais il n'y a rien de mal ! Je suis fière de toi, et si tu as besoin d'aide, je suis là ! »

Tobias la remercie : « Merci, au moins une personne qui me soutient. »

Alfred ajoute : « Moi, je suis d'accord, mais tu dois te mettre au travail sérieusement ! »

Tobias réplique : « T'inquiète, je serai à fond. »

Moricio intervient : « C'est ce qu'on dit tout le temps. »

Tobias se défend : « Rhooo ! Toi, commence pas, tu dois me féliciter au lieu de me décourager. »

Moricio répond : « Je ne te décourage pas, je dis simplement la vérité. »

Je tente de calmer le jeu : « Vous n'allez pas vous disputer pendant le repas ! Ne faites pas comme Véronica et Amelia. »

Alfred plaisante : « Ces deux-là, on ne peut pas les arrêter. »

Nana intervient : « Nous sommes à table avec vous ! »

Amelia ajoute : « C'est vrai, nous ne sommes pas invisibles. »

Je ris et dis : « MDR, bref, passons au dessert ! »

Nous avons commencé à manger le dessert, puis nous avons joué à des jeux de société. En plein match de tête-à-tête, le téléphone fixe se met à sonner.

Je décroche : « Oui, allô ? »

Une voix au bout du fil demande : « Esméralda ? »

Je réponds : « Oui, c'est moi. C'est qui ? »

La voix continue : « C'est Martin. Je ne sais pas comment te l'annoncer, mais... »

Je m'inquiète : « Mais quoi ? »

Martin dit : « C'est ton grand-père. Il a fait un malaise. Nous sommes en route pour l'hôpital d'Esperanza ! »

Je suis sous le choc : « Mais comment ça... »

Martin ajoute : « Rejoins-nous. »

Je raccroche, le cœur battant. Non, pas mon grand-père !

Nana demande : « Que se passe-t-il ? C'était qui ? »

Je réponds, inquiète : « C'est grand-père. Martin vient de me dire qu'il a fait un malaise. Ils sont en route pour l'hôpital d'Esperanza ! »

Amelia s'écrie : « Grand-père ! »

Alfred propose : « Allons-y ! Moricio, prends la deuxième voiture ! »

PDV Martin

Quelques heures plus tôt

Nous étions à table avec Papa, le grand-père d'Esméralda, David, Martin, et Marina. Ma mère avait une réunion importante.

Nous mangions tranquillement le dessert.

Je demande à grand-père : « Tu vis toujours à Veracruz avec tes petites-filles ? »

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