A la recherche des Cités d'Or

Chapitre 17 : Dans le passage

Depuis la prairie Zia et Gourban observaient l'endroit où il l'avait prise. 

- Pourquoi tu ne resterait pas ici avec nous ? C'est vrai, tu aime les chevaux et les chevaux t'aimes ça ce voit, tu pourrais être des notre. Proposa Gourban et Gris Cendre appuya les mots de son maître en tournant la tête vers Zia. 

- C'est gentil Gourban mais je doit retrouvé mes amis. Dit Zia.

- Si les chinois les ont fait prisonniers ils ont du les emmené sur un autre chantier. Ils relèvent la muraille partout où elle s'est effondrait. Ce Li Chuang ne peut pas voir deux pierres parterre sans vouloir les mètrent l'une sur l'autre. Dit Gourban en riant.

- Qui ça ? Demanda Zia en espérant avoir bien entendu. 

- Li Chuang, c'est leur chef ici. Mon père dit que c'est un homme honorable, pas comme le capitaine des gardes. Répondit Gourban. 

- Li Chuang, c'est lui que je doit rencontré. Il sauvera mes amis. Dit Zia avec un sourire confiant. 

Gourban accepta d'aidé Zia à rencontré Li Chuang et il avait même un plan en tête. 

A la muraille devant un chantier le seigneur Li Chuang venait prendre des nouvelles des ouvriers. 

- Les ouvriers sont-ils maintenant suffisamment nourris capitaine ? Demanda Li Chuang au capitaine de la garde. 

- Nous avons suivit vos instruction excellence. Répondit le capitaine.

- Tien Cheng, et cette fièvre ? Demanda Li Chuang au garde qui était là. 

- C'est passé excellence. Encore merci pour votre remède. Remercia le soldat. 

- Je suis content de te revoir sur pieds mon ami. Dit Li Chuang. 

Le capitaine lui fit un rapport de ce qui s'était passé la veille avec la tempête et les mongoles. en disant qu'ils avaient volé leur chevaux alors qu'il s'agissait des leur et ça Li Chuang lui à rappelé. 

A ce moment Gourban arriva et commença à faire des acrobaties pour impressionné tout le monde permettant à Zia de ce faufilé parmi les travailleurs. Elle arriva à trompé m'attention d'un garde en portant un panier et cachant son visage derrière. Mais ce fut gâché par un perroquet vert qui n'était pas au courant de ça. En voyant la jeune fille Pichu vola vers elle en l'appelant par son prénom faisant comprendre au garde que la personne venant de passé n'était pas une chinoise. Il commença à lui courir après, Zia lui lança le panier qu'elle portait, il le trancha en deux avec son arme pendant qu'elle montait quatre à quatre les marches menant en haut de la muraille. Arrivé en haut le capitaine de la garde lui bloqua le passage, le garde arriva et attrapa la jeune fille. 

- Lâchez moi ! Je doit parler au maître Li Chuang ! C'est très important ! Criait la jeune fille. 

- Tu va d'abord parler à mon sabre. Lui répondit le capitaine. 

- Lâcher immédiatement cette jeune fille. Dit Li Chuang en s'approchant. Je suis Li Chuang. Ce présenta t-il. 

- Ecouté moi s'il vous plaît. Je viens de la par de maître Yu Chune. Aidez moi, je vous en prit. Mes amis on étaient fait prisonniers par vos gardes. Expliqua Zia, Li Chuang vit pendu au cou de l'enfant le médaillon des cités. 

- Capitaine ? Demanda Li Chuang avec énervement dans la voix. 

- C'est exacte excellence, deux garçons, deux étrangers, deux espions des mongoles ! Ils sont en route pour les travaux forcé. Répondit le capitaine fière.