Chapitre 60 : La cité de la rivière

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Dans les marches menant à la cité d'Ophir Magon tenait toujours le groupe en joue près à tirer. Le ventre de Sancho gargouilla. Magon pointa son arme sur le marin. 

Cole réagis en frappant avec son pouvoir la paroi faisant sortir une colonne frappant Tyrias l'expulsant dans la cascade. Hélas le tir partit vers Mendoza, il ce protégea le visage avec ses mains. Le coup effleura sa main laissant quand même un blessure. 

 - ça va Mendoza ? Demanda Esteban. 

Le navigateur ne répondit rien, il hocha simplement la tête. Content de s'être débarrasser de Magon les marins ne firent pas attention et ils activèrent deux pièges sur la marche sur laquelle ils étaient. Tous évitèrent les colonnes de pierres, mais Pichu n'eu pas cette chance. En le voyant disparaître derrière la cascade Nya utilisa son pouvoir pour ramener le perroquet vers eux. 

Zia le prit dans ses mains pour s'assuré qu'il allait bien. Pixal le scanna et rassura tout le monde, Pichu allait très bien. Zia et Pixal leur servirent de guides pour savoir où mettre les pieds sans activer les pièges. 


Au porte de la cité d'Ophir Ambrosius bouillonnait d'impatience à l'idée d'ouvrir la cité d'Ophir et de trouver la pierre philosophale. 

Isabella regardait en arrière une douleur dans le cœur à l'idée d'avoir perdu Mendoza. Gaspard choisi ce moment pour intervenir.

- Séniorita, la manière dont vous avez sauvé la vie de messire Ambrosius témoigne d'un si noble esprit. Il va sûrement vouloir vous pardonner après cela. Dit Gaspard sur et certains. 

- Je n'attend rien en retour. Répondit froidement Laguerra. 

- Et puis vous voilà par la même occasion enfin débarrassé de Mendoza. Il est malheureux que certains homme n'arrive pas à comprendre à quel point ils sont encombrant. Dit Gaspard. 

Isabella sourit de la stupidité de Gaspard. Yami ce pencha vers Lloyd qui n'était pas d'humeur rieuse. 

- Il est souvent comme ça ? Demanda l'homme à l'adolescent. 

Lloyd ne répondit rien et tourna la tête ignorant Yami.  

Ambrosius s'approcha des emplacement dédier au médaillons, il était tellement excité d'ouvrir sa première cité d'or. Il posa les disques du double médaillon de Rana Ori dans les emplacement prévue.

Les disques double médaillon brillèrent et de la rivière sortit la cité d'Ophir, une cité faite de longue et fine tours avec des sortes de visage ressemblant à des masques africain sculpté dans les tours. En bas de chaque tour il y à des turbines crachant l'eau venant de la rivière car c'est elle qui donnait toute sa puissance à la cité. Quand la cité fut ouverte les disques sortirent de leur emplacement et Ambrosius les récupéra. 

En sortant des profondeur de la rivière tout tremblait. 

- C'est sûr Ambrosius vient d'ouvrir la cité. Dit Zia. 

- Alors on doit l'empêché de prendre son trésor. Dit Pixal. 


A Chambord Tao lisait un livre dans l'atelier de Léonard De Vinci, il était perdu dans ses pensées, il était même préoccupé. Nostradamus entra dans l'atelier et vit le visage préoccupé de Tao. Il lui demanda ce qui n'allais pas, Zane n'était pas loin derrière le jeune alchimiste avec son faucon sur l'épaule. 

- Je me demande si mes amis on ouvert la cité d'Ophir. Avoua Tao. 

- Tu regrette de ne pas être avec eux. N'est-ce pas. Supposa Nostradamus. 

A la recherche des Cités d'OrOù les histoires vivent. Découvrez maintenant