Chapitre 53 : Lalibela

105 2 24
                                    

La nuit à recouvert le ciel depuis longtemps dans ce petit village africain quand les chèvres ce mettent à bêlaient. Un homme sort de chez lui pour voir ce qui ne va pas, le prêtre du village sort aussi inquiet. Un troisième homme est là et vois quelque chose dans le ciel.

- Regardez qui est de retour ! S'exclama le troisième homme en pointant la nef qui passait au dessus des maisons. 

Le bateau volant ce stabilisa au dessus du village. 

- Eh bien Gaspard où en sommes-nous ? Demanda Ambrosius à Gaspard qui chargeait le lanceur de Tao, de grenade contenant du liquide soporifique. 

Laguerra les regardaient faire sans rien dire. 

- Et maintenant, dormez brave gens. Dit Ambrosius en lançant les grenades. 

Quand les bombe explosèrent au sol elles lâchèrent la fumée verte plongeant tout le village dans un profond sommeil. 

Une fois sûr que tout le village était endormi, Ambrosius, Gaspard et Laguerra mirent des masque pour descendre dans la fumée (masque qui ressemble à ceux porté par le médecin pendant l'épidémie de la peste noire). Ils descendirent un énorme objet couvert d'un drap. Arrivé en bas Ambrosius retira le drap qu'il laissa s'envoler dans le vent. 


Du côté s'Esteban et ses amis étaient posé et avaient allumé un feu. Esteban faisait les cent pas en frappant dans un cailloux. 

- Si on avait pas perdu tout ce temps dans la cité de Kûmlar à jouer avec les lumino-projections comme des gamins, on aurait trouvé le double-médaillon avant Ambrosius. Maintenant il peut ouvrir les cité d'or sans nous ! Râla Esteban.

- Mais c'est pas tout de pouvoir les ouvrir faut d'abord les trouver, et nous avons un avantage par rapport à Ambrosius. Dit Tao confiant. 

- Ah oui ? Et lequel Tao ? Demanda Esteban agacé. 

- Moi bien sûr. Répondit "modestement" Tao. 

Et il ce venta de nouveau, Esteban leva les yeux au ciel agacé par cette histoire de nacaal. 

- Entre celui qui râle tout le temps et celui qui ce vante en permanence je sais pas lequel m'énerve le plus. Marmonna Nya. 

- T'est facilement irritable ces derniers jours. Fit remarquer Pixal.

Mendoza ce tenait un peu à l'écart perdu dans ses pensées. 

- I-i-i-i-i-il doit pensé à I-I-I-I-Isabella Laguerra. Dit Sancho en le regardant. 

- Parce que t'y crois toi à cette histoire de baisé ? Mendoza allait embrasser cette espionne ? Les jeunes ce sont fichu de nous et toi bien sûr t'as tout gobé. Crois en mon expérience, un capitaine n'à que deux amours dans sa vie. Son bateau et son équipage. Dit Pedro. 

- A-a-a-a-alors pou-pou-pourquoi i-i-il nous nourris pas ? C'est nous l'équipage. Fit remarquer Sancho. 

Zia s'approcha de Mendoza. 

- Je suis sûre qu'Isabella s'en ai sortie. Gaspard l'à emmené avant que la cité ne ce replis. Elle à sûrement eu le temps de rejoindre la nef. Tu sais moi aussi je l'aime bien. Dit Zia rassurante. 

Ces quelques mots redonnèrent le sourire à Mendoza. 

- C'est un beau pays. Tu est déjà venue en Afrique Mendoza ? Demanda Zia. 

- Il m'est arrivé de faire escale sur la côte occidentale. L'intérieur du continent est encore inexploré. On dit que c'est une terre de mystère et de magie. Tu sens ce parfum Zia ? Demanda Mendoza en prenant une grande inspiration. 

A la recherche des Cités d'OrOù les histoires vivent. Découvrez maintenant