Chapitre 49 : Les voiles de la princesse

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Dans le désert les bédouins et Mendoza guetté la personne ou l'animal s'approchant d'eux. Passa au milieu des personnes et des bêtes Pedro et Sancho poursuivit par le dromadaire qu'ils montaient plus tôt sans faire attention devant qui ils venaient de passer. 

Mendoza ne crut pas ce qu'il venait de voir, il les regarda courir en haut d'une dune, arrivé en haut quand ils redescendirent Pedro et Sancho tombèrent et dévalèrent la pente avant d'arriver en bas. Leur dromadaire ne les suivit pas et partit de son côté. Mendoza alla aider ses hommes à ce relever de leur descente. 

- M-m-merci. Dit Sancho. 

Quand ils virent leur capitaine ils crurent à un mirage et Mendoza en ria. 

- Mais qu'est-ce que vous faite là vous deux ? Je vous croyez en mer à bord de l'Esperanza. Demanda Mendoza heureux de revoir ses compagnon de route. 

- He ben on s'inquiétait pour toi pardi. Répondit Pedro. 

Les trois marins firent un câlins de retrouvailles. 

- Parce que partir comme ça en laissant tout seuls t'est deux meilleurs copains...enfin marins. C'est que tu devais pas aller très bien. Dit Pedro. 

- C-c-c'est vrai ça ! On-on-on pouvait te laisser dans cet état. D-dans qu-quel pé-pétrin tu t'mettrais sans nous. Ajouta Sancho. 

- C'est vrai je me l'demande. Dit Mendoza en riant. Et votre projet de taverne ? Demanda t-il. 

- Ben on à fait un rêve prémonitoire à ce sujet. Répondit Pedro. 

- Et-et f-faut au-aussi re-revoir la-la répa-partition du travail. Dit Sancho. 

- Je vois. Venez on va retrouver les autres. Dit Mendoza en les ramenant au feu de camps avec les bédouins. En tout cas ça fait sacrément plaisir de vous revoir. Dit le navigateur. 


A Manfura tous étaient couché dans la grande salle. Profitant du silence et que personnes ne soit réveillé les sept amis qui faisaient semblant de dormir ce levèrent et quittèrent le salle en silence. 

- Ce sera un miracle si on arrive jusqu'au condor sans ce faire repérer. Chuchota Tao. 

Ils atteignirent la porte pour voir qu'il y avait des gardes qui étaient postés devant et qui faisait bien le travail de surveillance. Il y avait d'autre grade sur les remparts. Donc il était impossible de sortir sans ce faire remarquer. 

Ils allèrent à l'arrière de la salle où il y avait une sortie vers l'extérieur. Kai sorti la boussole de sa poche parce qu'il la sentait remuer. Il l'ouvrit vit que l'aiguille pointé une direction, mais ce n'était pas celle du condor. 

- La boussole à détecté de l'orichalque. Dit le maître du feu. 

- Jabar est en affaire avec Zarès. Il doit garder tout ces pièces en orichalque quelque part par là. Dit Zia. 

- On à pas temps, il faut sortir d'ici avant d'être repéré. Dit Esteban. 

- Ou ça détecte un objet mûain très important, il faut vérifier. Dit Tao en emportant Kai par le bras.

Les autres n'eurent d'autres choix que de les suivre pour qu'ils ne leur arrive rien. Kai les guidèrent jusqu'à un escalier qu'ils montèrent arrivé en haut lui et Tao s'immobilisèrent, Esteban et Nya leur rentrèrent dedans. 

- Zia est là j'espère. Demanda Tao apeuré. 

Ils ne comprirent pas et regardèrent devant leur amis pour vois une panthère noir qui gardait une porte. Elle les vit et s'approcha d'eux. Esteban et Tao prirent peur et commencèrent à fuir avec Pichu. 

A la recherche des Cités d'OrOù les histoires vivent. Découvrez maintenant