A la recherche des Cités d'Or

Chapitre 50 : Les Chaldis

Dans le désert Laguerra et les jeunes gens fuyaient jusqu'au condor. Kai et Laguerra s'assuraient que tout le monde suivait et que les gardes qui les poursuivaient restaient le plus loin possible. 

Dans la grande salle Gaspard et Zarès mettaient à terre les gardes de Jabar. Les uns après les autres. Une fois tout les soldats à terre Gaspard ce rendit compte que Laguerra n'était plus là. Mais Zarès n'en avait que faire il allait récupérer les voiles de Rana Ori quoi qu'il en coûte. 

Du côté des jeunes gens ils avaient atteint le condor, Laguerra et Kai retenaient toujours les gardes de Jabar. Kai ce battait avec son bras droit. 

- Tu te défend bien pour ton âge. Dit Laguerra à Kai. 

- Je peut dire la même chose pour vous. Répondit Kai en faisant dévaler la pente à un garde.

- Laguerra ! Kai ! Pars ici ! Appela Zia. 

Un garde profita qu'ils aient leur attention ailleurs pour attaqué, il lança une dague qui toucha Laguerra à l'épaule gauche. En voyant ça Kai le frappa au visage et aida Laguerra à ce relever et à gagner le condor. 

- Mais vous faites quoi ?! On va pas l'emmené avec nous quand même ? Demanda Tao scandalisé. 

- Elle nous à sauvé la vie Tao on ne peut pas la laisser ici. Répondit Zia. 

- J'ai une dette envers elle et je paye mes dettes. Dit Kai. Maintenant tout le monde à bord on décolle ! Dit le ninja rouge.

Tous montèrent et la guerrière ne refusa pas la proposition de Kai et Zia dans son état. 

Le condor s'envola hors de porté des gardes et retour à Manfura pour récupérer les voiles. 

Au campement des Bédouins les trois marins étaient présentaient au chef Akim les mains ligoté.

- Pour nous autres gens du désert, voler un dromadaire est l'un des crimes les plus grave qui soit. Pour l'avoir commis vous méritez la mort. Dit Akim très en colère. 

- Mendoza est un homme d'honneur Akim, j'en suis témoin. C'est d'ailleurs pour sauver des enfants en grand dangers qu'ils ont volé des dromadaires. Il faut en tenir compte. Dit Malik en défendant les trois hommes. 

- Je t'entend. Fort bien. J'ordonne donc un duel de justice. Déclara Akim. 

- Qu'est-ce que ça veux dire ? C'est bien ou c'est pas bien ? Demanda Pedro. 

- ça dépend vous devez désignez un champion qui affrontera le champion de notre tribut. Si il réussi à le vaincre vous serez libre. Expliqua Nadim. 

- Et-et-et sinon ? Demanda Sancho craignant la réponse. 

- Vous serez mort. Répondit Malik. 

Le champion des Bédouin approcha, un homme de grande taille et très musclé. Les deux marins furent intimidé par l'homme. 

- La liberté pour moi et mes hommes ne suffit pas. Si je remporte ce combat je veux que vous m'aidiez à retrouver les jeunes gens. C'est ça ou je refuse de me battre. Négocia Mendoza.

- Il m'à sauvé la vie Akim, au péril de la sienne. Dit Malik. 

Akim accepta la condition de Mendoza. 

Dans le condor Zia voulu regarder la blessure de Laguerra mais la femme s'évanouit épuisée. En la scanna Pixal vit que la pression et du stresse avait aussi beaucoup joué.