14| Inconnu

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Nami : 15 ans

On m'avait redirigé vers le vestiaire de ma classe. Pendant que les autres filles se changeaient tout en discutant de leur ressenti, je réfléchissais aux potentiels épreuves qui pouvaient m'handicaper.

J'en avais conclu que toutes celles mettant en comptent le physique plus que le mental ou l'alter allaient être difficile pour moi. Sachant que tous les championnats que j'ai visionné commençaient par une courses d'obstacles variant chaque année, j'étais dés le début désavantagée.

Mais, je savais qu'il suffisait de finir dans les 30 premier pour être sur d'être qualifié. Et il ne fallait surtout pas finir première car UA avait une fâcheuse tendance à le désavantager a la deuxième épreuve.

Conclusion: mon objectif principal étant de me faire remarquer, il faut que je termine 2e ou 3e. Mais, du moment que je suis qualifiée pour la suite du tournoi cela ne me dérangeait pas d'être moins bien classé. A cause de cette réflexion, je n'avais même pas remarqué Kawasaki juste devant moi entrain de détailler mon uniforme, posé sur le banc, à voix haute.

Je me suis précipitée pour le reprendre mais elle le plaça beaucoup trop haut pour que je puisse l'attraper :
« Oups, pardon j'aurais peut être du te demander avant de prendre un bouton non ? »s'exclama la jeune fille en me regardant avec un sourire sarcastique. Puis, elle me jeta mon bouton dessus avant de partir en courant suivie de ses petites chiennes de compagnie. Je soufflais en le ramassant et le fourrai dans la poche de l'uniforme retombé.

Je me suis attaché les cheveux et ai rejoint ma classe. Nous entendions presentmic hurlait à la foule le discours de chaque année: « Bienvenue à tous pour le commencement de l'événement que vous attendez tous !!!! LE CHAMPIONNAT DES SECONDES DE UA !!!! »

Une foule d'applaudissements le succéda. Puis il poursuiva en appelant les classes:
« Sans plus tarder, appelons la classe de seconde A en filière héroïque !!!! »

Nous entrâmes sous un tonnerre d'applaudissements et j'essayais de me faire la plus discrète possible tandis que Kawasaki et Ito faisaient les stars. Notre professeur appela les autres classes et nous nous réunîmes tous devant une scène où Midnight était debout: «  Nous allons maintenant commencer par l'indétrônable course d'obstacles !!! Vous allez devoir faire le tour du stade tout en traversant les obstacles que nous vous avons préparé !!! Je vous pris d'aller vous placer devant le départ !!! »

Tout le monde se déplaça pensant qu'elle avait fini de parler mais je jure avoir entendu « et surtout n'oubliez pas qu'aucuns des obstacles ne peuvent être mortels... ». J'ai pris ça comme un indice. Je m'étais placé tout derrière sachant que peut importe notre endroit c'est à partir du gong que cela commencé. Car l'effet de foule est présent et franchir la porte risque d'être compliqué, alors, la décomposition me semble être une bonne solution...

Midnight avait commencé un décompte de dix secondes, je me préparer à prendre le meilleur chemin afin de pas trop être gêné. Pour éviter les risques de brûlures avec les altères de chaleur, je décidais de faire pleuvoir quelque gouttelettes afin d'éteindre un potentiel incendie. Alors au top, quel fut la surprise des élèves de voir de la pluie tomber. Tout le monde se piétiner alors que moi je passais entre eux telle une ombre. Je commençais à me recomposer à mi parcours. Quand je fus sorti presentmic s'écria : «  Et notre première candidate à commencer le parcours est, YUNAMI HISUKI !!!! ».

Je râlais à l'entente de mon nom complet avant de me mettre à courir le long du stade, je savais que je n'allais pas tarder à être rattrapé. Alors, je fus étonnée de voir une petite souris venir à mon niveau, je me doutais de qui s'était, puis ce qu'il s'agissait d'Hori ( rappelons qu'elle peut prendre la capacité de n'importe quel animal).

Nous arrivâmes au premier obstacle en même temps, suivis de près par d'autres concurrents. Nous nous dressons devant une crevasse ayant l'air très profonde. Discrètement j'y fus tomber un caillou, je n'entendu ni bruits d'eau ni bruits de terre ce qui signifiait qu'il y avait sûrement autre chose que ça, là dessous. Mais quoi... Je réfléchissais tandis que les personnes ayant un alter leur permettant de traverser le faisaient.

Tout le monde attendais en espérant que quelqu'un saute pour voir ce qu'il y avait. Quand Kawasaki arriva à mon niveau elle souffla: « eh merde, je vais me faire éliminer dès le premier tour si personne se décide... ». Nous ne pouvions pas entendre les commentaires de notre professeur d'ici donc nous étions livrés à nous mêmes.

L'adolescente (Kawasaki)à côté de moi en eu marre et s'adressa à moi:
« Eh, le cure dent, ça te dirait de sauter pour tester !!! »elle m'attrapa par le col de ma veste et me pencha vers l'arrière. Je criai, mais, comme d'habitude personne ne vint. Je serrais le poignet de ma camarade tellement fort que je devais lui couper la circulation. J'avais arrêté de me débattre en pensant à ce qu'avait dit ma professeur. Puis Kawasaki poursuiva: « Aller, tu m'en diras des nouvelles !!! » sur ces mots elle me lâcha et je tombai en chute libre vers l'inconnu.





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La vague du tsunamiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant