Tome 2 // Chapitre 19.

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×× Taylor Swift ~ New Year's Day××

Mercredi 15 Février, 16h20

Je passais le pas de la porte avec de grands yeux. Je regardais et examinais les moindres recoins de la maison tout en avançant dans les pièces. J'entendais Antoine rentrer, déposer le sac de voyage par terre et parler à Marley. Je me retournais vers lui en souriant tandis que Marley courrait déjà dans chaque pièce de la maison.

- Tu es fou Antoine, dis-je doucement.

- Fou de toi ? Oui, en effet, me dit-il en souriant et en passant son bras autour de ma taille pour me rapprocher de lui.

- Arrête avec tes disquettes Mr le Loveur, riais-je.

- Tu me l'as déjà dit mais je sais que tu aimes ça, me dit-il en souriant à son tour. Je suis content de te voir sourire, finit-il par avouer.

- Ça va Antoine, vraiment. C'était sur le coup. Tu n'avais pas besoin d'en faire autant, le réconfortais-je.

- En plus je n'étais pas là pour la saint Valentin donc me voilà et ce soir, je cuisine.

- Toi cuisiner, me moquais-je.

- Figure-toi que oui ! Je vais te faire le seul truc que je sache faire.

- Qui est ?

- Tu verras ! Mais ce ne sera pas des pâtes, je te promets !

J'embrassais ses lèvres une première fois avant qu'il ne refasse la même chose dès que j'eu décollé mes lèvres des siennes.

- Et si on commençait par visiter la chambre, me demande Antoine contre mes lèvres.

- Ouais ce n'est pas une mauvaise idée ça, Griezmann, comme quoi tu peux en avoir des fois !

Il m'attrapa par les hanches en se baissant pour me faire passer par-dessus son épaule, me faisant lâcher un petit cri de surprise. Je me retrouvais face à ses fesses que je m'empressais de taper, le faisant grogner. Je ris et il se mit à courir pour nous emmener dans la chambre me faisant grogner de douleur puisque son épaule me rentrait dans le ventre.

19h16

Je tournais la tête vers Antoine qui était déjà tourné vers moi, couché sur le côté et en appuie sur son bras. Je lui souris, les joues rouges, en remontant un peu la couette sur ma poitrine. Antoine me sourit à son tour en traçant les traits de mon visage de son doigt.

- Alors que vas-tu nous concocter ce soir, lui demandais-je en prenant sa main entre les miennes.

Le sportif se laissa tomber sur le dos et m'entraina vers lui. Je me retrouvais donc dos à lui, son bras autour de mon ventre et nos jambes emmêlées. Je soufflais alors de bien être avant de commencer des papouilles le long de son bras.

- Aha, ça tu n'as pas le droit de savoir, me dit Antoine.

Je sentis qu'il souriait quand il embrassa mon crâne. Je me retournais alors vers lui pour lui faire face.

- Mais si tu veux je peux t'aider ?

- Tu as aussi peur que je t'empoisonne ou quoi, se vexe gentiment Antoine.

- Mais non, mais j'aime bien quand on cuisine les deux !

- Mathilde, ce n'est jamais arrivé, se moque-t-il.

- Eh bah voilà, raison de plus, riais-je.

- Qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi, dit-il en embrassant mon front.

Closer /Griezmann\Où les histoires vivent. Découvrez maintenant