☡☡☡ Il y en a qui vont être contente, je dis ça je dis rien 🍋🍋☡☡☡
Dimanche 21 Aout, 09h22
J'avais décidé de faire un peu de pâtisserie puisque ce soir Antoine jouait son premier match de la saison. D'ailleurs ils jouaient super tard, à 22h15. Donc je disais que je faisais de la pâtisserie puisque je tenais compagnie à Beatriz car elle ne voulait pas emmener le petit Izan au stade, ce qui était complètement normal. Il y avait aussi deux autres femmes de joueurs mais je ne me souviens plus qui, avec leurs enfants.
Je regardais la télévision depuis la cuisine qui parlait juste d'aujourd'hui, qui était la reprise de la plupart des clubs espagnols. Je terminais de nettoyer les plats que j'avais utilisés quand je sentis deux bras s'enrouler autour de ma taille et une tête se poser dans mon cou. Je souris directement tout en m'essuyant les mains sur un torchon.
- Salut champion, le saluais-je.
Il m'embrassa dans le cou pour me saluer et je tournais la tête pour le voir les yeux fermés. Je ris en passant mes mains sur les siennes.
- Bien dormis, lui demandais-je.
- Ouais, mais je comptais trouver ma copine à côté de moi en me réveillant mais non elle préfère cuisiner que rester coucher à côté d'un Dieu.
- Aha, eh bien loupé, j'ai dit à Bea que je ferais à manger donc faut que j'avance, lui dis-je.
- Non mais attends vous êtes 6 à manger, pas 15, grogne-t-il.
J'allais répondre quand il me souleva et me porta jusqu'à retourner dans la chambre. Il me jeta sur le lit avant de se coucher à côté de moi. Je ne pus m'empêcher de rire en le voyant se débattre avec la couette. Il fit par me la coller sur le visage avant de me rapprocher de lui. C'était n'importe quoi ! J'avais beau essayer de me débattre rien n'y faisait. Antoine finit par passer une jambe par-dessus les miennes pour me maintenir en place. Enroulé de la couette et du corps d'Antoine, ma température augmenta d'un coup. Je sortis ma tête de la couette pour découvrir Antoine les yeux rieurs de me voir galérer autant.
- Je meurs de chaud, Anto, là-dessous, lui fis-je remarquer.
- Ah ça assume plus de dormir avec une couette maintenant, hein, se moque-t-il.
- Mais ... mais, je ne finis pas ma phrase puisque je me mis à rire comme une idiote.
Antoine se desserra et je pus enfin retrouver l'air frais de la chambre. Je me couchais sur le côté pour faire face à un Antoine complètement réveillé, qui passa un bras par-dessus ma hanche.
- Putain, comment t'es relou comme gars, lui fis-je.
- T'aimes ça, fais pas genre, me dit-il en riant.
J'explosais de rire avant de reprendre contenance et de poser ma main sur le bras d'Antoine, lui faisant des papouilles.
- Alors, chaud pour le match, lui demandais-je.
- On va dire ça oui ! On verra ce soir, si je suis titulaire déjà.
- Il n'y a pas de raison que tu ne le sois pas, lui dis-je doucement.
- Je sors d'une grosse compétition donc si, me dit-il.
- Eh bien, je te supporterais que tu sois sur le terrain ou sur le banc, t'inquiètes, m'exclamais-je le faisant sourire.
- J'espère bien, attends !
Antoine se rapprocha et colla son front au mien. Je sentais son autre main passer sous mon oreiller et venir caresser mes cheveux. Il frotta doucement son nez contre le mien me faisant sourire.
VOUS LISEZ
Closer /Griezmann\
Fanfiction- Aller Anto, faut te lever ! - Hmmpfg - Debout Graisse-man ! - Répètes là ? - Je t'aime bien tu sais ? - Seulement bien ? - J'allais poser mes fesses sur ton siège et bah dommage ! - Je suis sur qu'il préfère qu'elle pose ses fesses ailleurs...