Tome 2 // Chapitre 11.

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Beyoncé ~ Drunk in love. 

Dimanche 18 Decembre, 23h54

J'étais sur le point de m'endormir sous les caresses d'Antoine alors que nous avions mis à plat le sujet Erika. Je n'étais toujours pas rassuré à 100% mais qui pouvait l'être ? Mais je fais confiance à Antoine et ça ce n'est pas négligeable. Ma respiration commençait à se ralentir et mes pensées à s'envoler mais Antoine se redressa sur le hamac comme il pouvait.

- Bon aller, c'est partit, me dit Antoine.

- Quoi ? On peut pas dormir là, me plaignais-je.

- Ah non, non, rt-il en se relevant du hamac.

- Oh, grognais-je.

Je me frottais les yeux sous les moqueries d'Antoine qui m'aida ensuite à me mettre debout. Il me prit dans ses bras et embrassa le haut de ma tête.

- Aller, go, s'exclame-t-il.

On dirait un enfant le soir de Noel, il était même plus exité que moi. Alors j'en arrivais à me demander ce qu'il pouvait bien préparer en plus de tout ce qu'il avait déjà fait. Je continuais à grogner avant qu'Antoine ne se penche en avant et je me dépêchais de sauter sur son dos. Il me demande d'attraper mon sac qui était toujours près de l'arbre ainsi que mes chaussures. C'est en étant sur le dos d'Antoine que nous rejoignons la maison. Je remarquais que la table sur laquelle nous avions mangé n'était désormais plus là alors que toutes les bougies étaient toujours présentes autour de la piscine.

- Je pense que la baignade sera pour demain, non, propose Antoine.

Je hochais la tête avant de la poser dans le creux de son cou me laissant guider dans la maison. Antoine monta les marches et s'arrêta devant la porte de sa chambre. Il laissa glisser mes jambes pour me poser par terre et se tourna vers moi quand j'eus décrocher mes bras de son cou. Je regardais Antoine encore plus excité qu'il y a 5 minutes, chose que je n'aurais pas pu penser possible.

- Aller fermes les yeux, me dit-il .

- T'es sérieux, riais-je.

- Très ! Aller bébé !

Il fait une tête assez bizarre qui je pense voulait me faire craquer alors qu'au contraire j'explose de rire. Antoine croisa alors les bras signe qu'il se « fachait ».

- Très bien, très bien, capitulais-je.

Je fermais les yeux avec le sourire aux lèvres et j'entendis Antoine ricaner en ouvrant la porte. Je sentais ses bras m'entourer de derrière et ses mains se placer sur mes yeux. Il me fit avancer en collant son ventre à mon dos. Il avança le long de la chambre avant de s'arrêter. Il ôta ses mains de mes yeux après m'avoir demandé de les laisser fermé.

- Tu es prête, me demande Antoine.

Je hochais la tête et attendais patiemment qu'Antoine me demande d'ouvrir les yeux.

- Vas-y ouvre, me dit Antoine.

J'ouvre les yeux et regardait Antoine avant de tourner sur moi-même ne sachant pas ce qu'il y avait de plus dans sa chambre. Antoine explosa de rire alors que je me retrouvais penaude.

- Mais t'es aveugle c'est pas possible, se moque Antoine.

Il me montra du doigt son lit. Je baissais alors les yeux et découvris une adorable petite chose endormis sur une petite couverture avec un petite peluche.

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Closer /Griezmann\Où les histoires vivent. Découvrez maintenant