Tome 2 // Chapitre 3.

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Mais serait-ce un double update ?? Ouiouioui ! Pour vous remercier d'être de plus en plus nombreux -----> 100k de vues ❤❤❤❤

(Note importante à la fin, j'attends vos réponses !)

☆ Halsey ~ Sorry☆

Samedi 12 Novembre, 21h47

- Maud ? Qu'est-ce que... ?

- Comment tu fais peur là, me dit-elle franchement, tu as un peu près 30 secondes pour arranger la chose.

Elle me dit ça en regardant derrière elle avant de me faire face en souriant. Je fronçais les sourcils sans comprendre ce qu'elle voulait me dire et elle le fit donc à ma place en essuyant le dessous de mes joues et en arrangeant très rapidement mes cheveux. J'allais ouvrir la bouche pour lui demander ce que diable elle faisait mais je vis du mouvement derrière elle. Je me penchais un peu pour y découvrir Antoine en train de galérer à monter les marches. Il avait pas l'air bien là, je croisais mes bras en le voyant s'avancer vers moi. Il s'appuya sur sa sœur tandis que j'ouvris la bouche.

- Si c'est pour venir m'insu..., commençais-je avant de me faire couper par le sportif.

- Je t'aime. Je suis autant amoureux de toi que tu l'es toi. C'est pour ça que je t'ai autant ignoré. Oui tu m'as blessé comme jamais personne ne l'a fait. Mais tu te trompes en pensant que je n'ai pas assez de maturité pour passer au dessus parce que je l'ais. Je l'ai fais à la minute où tu es venue me retrouver à la fin de mon entraînement. J'avais besoin de savoir si tu tenais à moi autant que tu me le disais et tu me l'as prouvé maintes et maintes fois, que ce soit en appelant Théo et Maud pour prendre de mes nouvelles, voir même de les harceler pour hier, ou que ce soit aujourd'hui en ayant pris soin de moi alors que j'étais littéralement insupportable. Alors mainenant c'est à moi de me faire pardonner pour mon comportement. Excuses-moi d'avoir agis comme un gros connard. Enfin j'ai monté tes 15000 marches en galérant comme un idiot donc je mérite bien une récompense, non ?

Antoine pencha sa tête sur le côté avec un petit sourire mignon, vous savez le fameux auquel je ne peux pas résister. J'essuyais rapidement mes larmes qui coulaient sur mon visage sans rien pour autant dire ni sourire. J'avais du mal à réaliser ce qu'il venait de me dire. Voilà 3 putains de mois que j'attend qu'il me dise ça, qu'il me parle même. Alors oui, j'avais juste besoin de deux minutes pour moi, pour mettre mes idées en place. Mais ce que je ne compris pas c'est qu'Antoine attendait que je réagisse au lieu de pleurer face à lui. Son sourire s'estompa au fur et à mesure avant qu'il ne baisse la tête déçu de ma réaction ou plutôt de ma non-réaction.

Maud parraissait elle-aussi un peu paniqué et se demandait surement ce qu'elle devait faire. Je m'avançais d'un petit pas vers le sportif qui avait désormais la tête baissée. Maud se recula faisant réagir Antoine qui releva la tête et je croisais ses yeux désormais embués de larmes. J'avançais ma main vers son visage et il ferma les yeux à mon contact. Je m'avançais encore plus et faufillais mon visage dans son cou tandis que lui entourait son bras autour de moi. Je pris une grande inspiration dans son cou me permettant de remplir mes sens de son odeur qui m'avait tant manqué. J'ai toujours trouvé ça idiot les gens qui disent « ouais il sent trop bon, je pourrais passer ma vie à le sentir blablabla... » mais en fait, je pourrais clairement ne plus me passer de son odeur, parfum et tout ce que vous voulez. Antoine passa sa main sur mes cheveux avant de m'embrasser le dessus de la tête.

- C'est pas que je veux pas, mais ces escaliers de merde m'ont achevés, j'ai besoin de m'assoir, m'informe Antoine en se reculant un peu.

J'entendis quelqu'un monter les escaliers en courant et trouvais Maud un sac de sport à la main. Je ne l'avais même pas entendu partir.

Closer /Griezmann\Où les histoires vivent. Découvrez maintenant