Harry était allongé dans le lit d'une chambre du chaudron baveur, le carnet noir de sa mère dans les mains.
Tout c'était passé tellement vite !
Avec l'arrivée de la tante Marge, la semaine avait été infernale pour le Gryffondor
Pourtant il avait bien fait attention à se tenir à carreaux toute la semaine : il était resté calme et n'avait rien répondu aux critiques de Marjorie Dursley. Il avait même était gentil avec Molaire qui avait pourtant essayé de le mordre une bonne dizaine de fois, sur la demande de sa maîtresse.
Mais le soir avant son départ, seulement quelques heures avant, il s'était énervé et tout avait dérapé. Il le reconnaissait maintenant : il y était allé un peu trop fort. Mais il n'avait pas fait exprès de la gonfler comme un ballon et elle n'avait qu'à pas insulter ses parents ! Et encore moins comparer sa mère à ses chiens !
Et alors qu'elle s'envolait vers les cieux, Vernon accroché à sa jambe, Harry avait courrut jusqu'au grenier, attraper le carton comprenant les affaires de sa mère, et l'avait fourré dans sa valise avec le reste de ses affaires.
En quelques minutes sa valise était plié et il était parti, marchant seul dans la nuit noire des rues de Little Whinging. Il était alors tombé sur un grand chien noir qui l'avait fit sursauter. Mais par un heureux hasard, le Gryffondor avait réussi à appeler un bus du monde magique, le magicobus, qui l'avait conduit jusqu'au chaudron baveur, à Londres en un rien de temps, lui faisant oublier momentanément le chien.
Après une petite entrevue avec le ministre de la magie, qui l'avait assez troublé, Harry se retrouvait donc assis dans un lit de la taverne du chemin de traverse, le carnet impossible à ouvrir dans les mains.
Il avait tout essayé pourtant il restait fermé, malgré les nombreux coups qu'il avait subit. Harry en déduit donc que le carnet était fermé magiquement. Il allait devoir attendre son retour à Poudlard la semaine prochaine pour utiliser sa baguette et l'ouvrir.
Résigné, il posa donc le carnet sur la table de chevet et éteignit la lumière avant de s'endormir.
C'est les rayons du soleil qui causèrent son réveil bien trop prématuré à son goût, seulement quelques heures après. Persuadé qu'il ne parviendrait pas à se rendormir, Harry fit un tour dans la salle de bain puis descendit dans le hall afin de déjeuner. Vu l'heure matinale, peu de personnes étaient présentes. Le Gryffondor pu ainsi déjeuner tranquillement puis remonter dans sa chambre.
Il passa la mâtinée à regarder ce que contenait le carton de sa mère et sourit en voyant toutes ses affaires d'enfants. Il y avait des dessins avec des bonhommes en bâtons et des nuages bleus, ( NDA : oui parce que quand on est petit on a la flemme de colorier tous le haut de la feuille en bleu. Du coup on se dit que les nuages ça suffit 😅 enfin pour ma part. . . ) des empreintes de mains faites en peinture et même une carte pour la fête des pères.
Sur chacuns de ces chefs d'œuvres d'enfants, était signé le prénom de sa mère, faisant sourire Harry à chaque fois qu'il voyait l'écriture enfantine. Sa mère avait eu une enfance si douce. . . Puis Voldemort l'avait tué.
Néanmoins, deux mystères persistaient : le carnet noir et le petit garçon sur les photos.
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La constellation de la Lyre ( HP Fanfic)
Fiksi PenggemarAlors que le monde s'effondre, il y a des choses qui ne changent pas. L'été avant sa troisième année, Harry doit ranger le grenier du 4, Privet Drive. Il tombe alors sur quelque chose d'innatendu : pourquoi y a t'il une photo de sa mère et de Snape...