La constellation de la Lyre ( HP Fanfic)

72. Le sport, c'est mort !

Chapitre 72 . . . J'éspère finir la fic avant d'arriver au chapitre 100 😅

. . . 

Harry fut réveillé par un souffle chaud contre sa joue, lui faisant ouvrir les yeux pour tomber sur une scène particulièrement attachante : Draco dormait, émettant de petits ronflements, comparables aux gémissements des louveteaux. Ses oreilles penchaient vers l'arrière, et ses lèvres rouges étaient si belles sur cette peau de porcelaine. 

Le gryffondor ne pu y résister, et caressa ces lèvres dans un tendre baiser, faisan à son tour ouvrir les yeux du blond. 

- Je suis sur que tu viens de passer dix minutes à contempler ma beauté de dieux endormi, chuchota Draco à son oreille, dans un murmure railleur. 

Harry se mit à rougir, et répondit par un sourire gêné. 

- C'est très mignon Potty, vraiment très mignon. . . Néanmoins. On ne révéille pas un Malfoy sans un payer le prix ! 

Et sur ces paroles, Draco se glissa sur le ventre d'Harry, le bloquant sur le matelas du petit lit qu'il avait partagé durant la nuit. A califourchon sur le gryffondor, il le dominait du regard et affichait un sourrire moqueur. 

- Te voilà à ma merci mon petit ange, alors que pourrais-je faire de toi ? 

- M'embrasser ? Demanda le jeune homme en question, d'une petite voix amplie d'espoir. 

- Je pourrais en effet, en ayant moi même très envie. Mais cela ne serait que t'encourager plus dans tes actions malfaisantes. 

- Malfaisantes ? 

- Réveiller un Malfoy est un crime, et je crois avoir trouvé la punition parfaite. 

C' est alors que le vil Serpentard se mit à chatouiller son petit ami; son ventre, ses bras, son cou, tout y passait, provoquant chez Harry un rire irépréssible tandis que ses ailes se mettaient à battre frénétiquement. 

- A- Arrêtes. . . HA HA - Dr-Draco ! Sss. . . Stop !

Harry tentait de s'exprimait entre deux chatouilles, mais aucunes phrases complètes ne voulaient sortir au milieu de ses rires. 

- Ah ah . . . ST-oop ! Ah ah ah ! 

Ses ailes battaient de plus en plus fort au rythmes des chatouilles de Draco, si bien qu'elles les firent décoller de quelques centimètres. Perdant l'équilibre, ils tombèrent tous deux du lit et se retrouvèrent au sol. 

Profitant de cette distraction, Harry décida de prendre la place de Draco en s'asseyant à son tour sur le ventre du blond. 

- Tu as voulais jouer petit loup, tu vas en payer le prix ! 

Et dans un rire en tonalité vangeraisse, Harry se mit à chatouillait son petit ami. Pourtant, celui-ci restait stoîque. 

- Tu perds ton temps Potty, je ne crains pas le chatouille. 

Frsutré par la manque de réaction, le gryffondor décida d'attaquer par une autre tactique : il glissa alors ses doigts dans les cheveux du blond et caressa ses oreilles si douces. 

- Vil serpent, tu m'attaques par mes points faibles, gémissa Draco en frottant lui même sa tête contre les mains câlines. 

Draco était si beau, se dit Harry en l'observant ; son visage était aussi parfait qu'une poupée de porcelaine, sa peau aussi clair que les premières neiges de novembre, ses cheveux aussi doux que ceux que devaient avoir les anges, et ses yeux, entre le gris et le bleu, comme un ciel nuageux.