Chapitre 3.

1K 50 2
                                    

Nous sommes le 20 Février et cela fait maintenant 4 mois que je suis enfermée dans la Tour de Londres. C'est aujourd'hui qu'à lieu mon exécution sur le Bûcher...

Les Gardes m'ont ramené chemise blanche, pour la première fois depuis que je suis ici, je suis sereine. Peut-être parce que je sais que je vais mourir et j'ai enfin réussi à être en Paix ?

Ma mère, ma souvent dit que beaucoup de personnes étaient toujours sereine lorsqu'elles s'avaient qu'elles allaient mourir.

Le soleil est haut dans ciel, cela veut qu'il doit être proche de Midi. Ce Matin, un garde est entré dans ma cellule et m'a annoncer que mon exécution aura lieu ce Midi. Lorsque je m'approche de la fenêtre, je peux voir le bûcher qui m'attend.

C'est l'heure... Dit une voix grave.

Je me tourne vers cette voix et voit le même garde qui m'a annoncer l'heure de mon exécution. Il ouvre la porte de ma cellule et je m'approche de lui, toujours aussi sereine. Nous descendons doucement les marches de la Tours, puis nous sortons à l'extérieur. Et cette fois-ci, je peux voir l'immense foule qui encercle mon bûcher, nous avançons avec lenteur. C'est alors qu'un homme arrive. Il est habillé d'un immense manteau en fourrure noire, une chemise blanche et des bottes noires. Il porte aussi un immense collier rouge et d'une chaîne avec une croix. C'est un noble grand, athlétique, beau charismatique. Il a les cheveux bruns, court, une petite barbe et des yeux bleus. Il est accompagné d'un autre noble. Cet autre noble, quant à lui, avait les cheveux mi- longs, bouclés, brun et des yeux marron. Il est habillé d'un manteau en fourrure marron, une chemise blanche et pantalon noir. Il porte autour de son cou, une chaîne en or.

A ce moment-là, je suis au pied du Bûcher, mais je suis aussi muette qu'une Carpe. La peur est-elle revenue ? Je ne ressens rien, donc ce ne peut être cela...

C'est alors que le destin changea enfin, un homme fonça sur le noble armé d'un couteau.

Attention ! Criai-je.

L'homme qui porte le manteau marron se mit devant son ami et le protégea en recevant le coup de couteau en plein ventre. La foule paniqua et se met à courir dans tous les sens. Le garde qui m'accompagna se mit en chasse de l'agresseur quant à moi, je décide de courir auprès du blessé.

Je dois faire vite !

Je retire son manteau et sa chemise pour mieux voir sa blessure. C'est une petite blessure, mais profonde, car je peux voir quelque chose de jaunâtre. Mais un garde m'intercepte.

Éloignez-vous du Baron ! Dit le garde d'une voix froide.

Je peux le soigner ! Dis-je.

Vous êtes une sorcière !

Je ne...

Laisser la faire ! Dit l'autre Noble d'une voix grave.

Mais...

Oseriez-vous discuter mes ordres ! Continu le noble.

Non... Répond le garde.

Lorsque le soldat s'éloigne de moi, je déchire un bout de tissu de ma robe et le pose sur sa blessure.

Nous devons l'emmener en lieu sûr. Dis-je au noble.

Il acquit de la tête, ordonne au garde de porter son ami quant à moi, je maintiens le tissus sur sa blessure. Nous l'emmenons à l'intérieur de la Tour. Nous entrons dans une salle à manger très simple. Nous nous dirigeons à la table.

Allonger-le ici ! Dis-je.

Le garde l'allonge sur la table à manger.

Préparer-moi dans un bol, de l'eau avec du savon et un tissus propre ! Dis-je au soldat.

Le garde regarde le noble.

Dépêcher-vous ! Lui ordonnais-je.

Le noble foudroya du regard le soldat et celui-ci partit aussitôt récupérer ce que je lui ai demandé de faire. 5 minutes plus tard, il me pose tout sur la table. Je prends le tissu propre et le plonge dans de l'eau remplis de savon. Puis je nettoie les contours de la blessure tout en évitant que le savon entre en contact avec la blessure pour éviter l'irritation.

Apporter moi du fil et une aiguille pour que je puisse refermer sa blessure.

Nous n'avons pas cela au sein de la Tour. Répond le soldat.

Peut-il tenir jusqu'à Hampton Court ? Me demande le noble.

Il est à combien d'ici ? Lui demandais-je.

Deux heures. Répond-t-il.

Il ne pourra jamais tenir seul sur un cheval. Lui dis-je. Il nous faut une charrette pour le transporté. Lui expliquais-je.

Le noble regarde le soldat d'un regarde qui vous glace le sang.

Veuillez récupérer une charrette.

Le soldat acquit de la tête et s'en va.

A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant