Chapitre 65.

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Cela fais maintenant 6 mois depuis la victoire sur l'ancien Empereur et Marie, et cela fait 4 mois que Léon est mort. Je suis assise dans le salon avec tous mes enfants, Victoria viens tout juste d'avoir 8 ans, et nous fêtons ensemble son anniversaire. C'est alors qu'un garde ouvre en grand la porte, complètement essoufflé.

Que se passe-t-il ? Lui demandais-je curieuse.

Sa majesté le roi, viens tout juste d'arrivé... Répond-t-il à bout de souffle.

Père est de retour ! Cria Victoria folle de joie avant de courir vers l'extérieur du château, mais je l'intercepte en lui faisant comprendre qu'elle devait rester calme, ce qu'elle comprit.

Nous sortons tous ensemble du château pour nous diriger vers la cour extérieur, tout nos soldats sont réunis, y comprit tout nos alliés. C'est alors que je vois François descendre de son destrier, tous comme Laurent de Médicis, mais aussi Jacques d'Ecosse et enfin mon mari. Cette fois-ci, je ne peux m'en empêcher et me dirige vers en lui courant.

Henri ! Criais-je pour qu'il puisse m'apercevoir. 

Celui-ci me voit courir vers lui, et m'intercepte à temps et me serre fort dans ses bras.

J'ai tellement eu peur pour vous ! Dis-je en larme.

Je suis bel et bien de retour, mon amour ! Me répond-t-il fou de joie. Où sont nos enfants ? Me demande-t-il soudainement.

Nous sommes là, père. Répond Richard tout en s'approchant de nous.

Henri s'écarte de moi et prends nos enfant dans ses bras, lorsqu'il s'approche de notre petite dernière, il l'a prend dans ses bras et l'a fait virevolter. Celle-ci rit de bonheur.

Joyeux anniversaire, ma Victoria !

Sauf l'instant de bonheur fut vite interrompu à cause de l'apparition de nos deux ennemis, Marie et Charles.

Je veux qu'ils soient enfermer à la Tour, le peuple les jugeront pour nous avoir tous menacer. Répond Henri d'une voix sérieuse.

François s'approche de nous, tout en nous souriant avec bienveillance.

Ma chère amie ! Dit François d'une voix joyeuse. Je suis heureux que vous alliez bien ! Continu-t-il.

Bonjour François, moi de même, je suis heureuse de vous revoir et de savoir que vous alliez bien. Lui répondis-je à mon tour. 

J'espère que nous allons fêter notre victoire ! Répond François. N'est-ce pas chère cousin ? En demandant cette fois-ci à Henri.

Celui-ci acquit en souriant, mais il se souvint d'une chose et se tourne vers notre fille Aliénor.

Voulez-vous voir votre futur belle-fille ? Demande à François.

Avec grand plaisir ! Répond celui-ci.

Aliénor, approchez s'il vous plaît. Lui dis-je d'une voix douce.

Celle-ci s'approche de nous, le dos droit et le sourire aux lèvres. François s'approche d'elle et lui sourit gentiment.

Vous ressemblez beaucoup à votre mère, ma chère. Répond-t-il simplement. Je suis sûr que mon fils Henri s'entendra à merveille avec vous.

J'espère aussi, votre majesté. Répond Aliénor d'une voix douce.

En parlant de mon fils, je voudrait vous le présentez maintenant. Répond le roi de France.

Cet fois, un jeune homme apparaît devant nous. Il a les cheveux court et brun, les yeux bleu et je dois bien avoué qu'il est bien bâti, pour un homme de son âge. Mais je vois qu'il y a aussi Diane de Poitier. 

Si je me souviens bien, Diane est déjà la maîtresse d'Henri. 

Bizarrement, Aliénor fronce les sourcils, j'ai comme l'impression qu'elle avait deviner mes pensés, et qu'elle était d'accord avec moi.

Et qui est cette femme ? Demande ma fille en désignant Diane.

Elle s'appelle Diane et c'est une amie de la famille. Dit François, le fils du roi.

Bien trop proche à mon goût...

Je vois... Répond Aliénor.

Le fils du roi commence à se sentir mal à l'aise, sentant surement qu'Aliénor avait deviner ce qui se passait entre lui et Diane.

Allons, je suis sûr que vous êtes tous affamés. Dis-je. Isabelle ? Appelais-je.

Oui, madame ? Répond-t-elle d'une voix douce.

Je voudrait que vous demandiez au personnel de préparer un banquet pour notre victoire et de préparer les différentes chambres pour nos invités. Lui dis-je.

Très bien, votre majesté... Me répond-t-elle.

Nous entrons tous au château, quant à Henri et moi nous nous dirigeons dans notre chambre. Après avoir refermé la porte de notre chambre, Henri me retourne brutalement et m'embrasse sauvagement.

Vous m'avez tellement manqué ! Dit-il en m'embrassant de nouveau.

Il me déshabille et je fais de même avec lui. Après nous êtres déshabiller, il m'allonge sur notre lit et se place à califourchon sur moi. Je peux voir son membre dressé comme un pic, je me mord légèrement ma lèvre inférieur voulant qu'il me prenne au plus vite. Mais Henri décide le autrement. Il m'approche au bord de notre lit, quant à lui il s'agenouille devant moi et embrasse l'intérieur de ma cuisse droite, puis il embrasse l'autre cuisse. Ma respiration se fait de plus en plus erratique, je place mes mains dans ses cheveux, pour qu'il puisse passer à la vitesse supérieur.  Et à mon plus grand bonheur, sa langue touche mon clitoris. Lorsque je me sens atteindre le plaisir ultime, il se redresse et sans même me laisser respirer, il entre en moi. Nos gémissement deviennent des cris et nous jouissons enfin. 



A Travers Le Temps. Tome 2, l'Âge des Tudors. (Terminer, Non corriger).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant